On reparle de Cyberpolygon, je vous conseille d’écouter, pour ne pas être pris de cours, une fuite de document indique que la CTIL et des agents israéliens (et d’autres pays) sont infiltrés dans tous les serveurs des infrastructures critiques américaines ou ils ont même des «portes dérobées» (backdoor), grille énergétique, centrales nucléaires, barrages, hôpitaux, etc., qu’ils «protègent»… pro bono aka «gratuitement», là déjà on se dit qu’il y a un loup, et ils semblent qu’ils vont tout faire planter, pour masquer leurs magouilles financières, et faire imposer l’identité numérique, de plus ils sont capables d’usurper l’identité d’autres acteurs pour les blâmer de leur méfait (ex : Iran, Russie, etc.), encore une fois préparez-vous dans la réalité…
Ceci est tout sauf de la fiction. Encore une fois bravo à Whitney Webb qui fait un travail formidable pour nous informer, et depuis longtemps…
Pour Profession Gendarme, qui suit cet ex banquier Suisse depuis son entrée en résistance, il ne fait aucun doute que cette vidéo visant tous les malfaisants installés à Genève a provoqué la fermeture de son compte.
Nous vous laissons apprécier le contenu non équivoque de son message.
La belle Genève a une partie sombre. L’ombre du démon y règne.
Jugez plutôt...
Alimenter les humains et les animaux avec des farines d’insectes, beaucoup d’industriels en rêvent mais bien peu se soucient des dangers encourus par les consommateurs, de toutes façons le problème est ailleurs car jamais nos élites ne consommeront ces produits. Donner à manger de l’oxyde de graphène à des insectes pour les consommer ensuite, peut-on imaginer plus abominable en termes de mauvaise idée ? Parfaitement, plein d’autres même, vous n’allez pas en revenir. Merci à nos « anonymes » et bonne lecture.
Le Forum Économique Mondial (FEM) propose de remplacer une partie des protéines animales habituellement consommées par des protéines d’insectes. Le FEM craint une crise alimentaire imminente et au lieu de promouvoir une agriculture différente, il préconise des solutions industrielles : production de viande en laboratoire et incorporation d’insectes dans l’alimentation (https://www.weforum.org/agenda/2021/07/why-we-need-to-give-insects-the-role-they-deserve-in-our-food-systems/). Le FEM promeut aussi une sorte « soft » de cannibalisme (production de steak humain en laboratoire https://childrenshealthdefense.org/defender/insect-farming-maggots-food-menu-cola/). Pour faire avaler ces horreurs, le FEM propose d’abord d’introduire les insectes sous forme de farines invisibles dans l’alimentation.
Un groupe de scientifiques et médecins qui préfèrent rester anonymes ouvre le débat sur le blog de l’AIMSIB en faisant part de ses craintes d’un point de vue toxicologique à propos de cette innovation. L’aspect économique et éthique devra être aussi discuté plus tard !
L’union européenne (UE) a signé plusieurs conventions afin d’autoriser la mise sur le marché d’insectes entiers et produits dérivés d’insectes comme les farines d’insectes (ou poudres d’insectes). Ces farines d’origine animale, seront mélangées à divers aliments de consommation courante. Deux conventions ont été signées début janvier 2023...
L’élite mondiale prévoit de contraindre les gens à se faire implanter des micropuces afin d’avoir accès aux monnaies numériques, au revenu de base universel (RBU) et à d’autres services, a averti un ancien membre du Forum économique mondial.
L’économiste allemand et ancien « Global Leader for Tomorrow » du FEM devenu dénonciateur, Richard Werner, a incité à la prudence sur les technologies émergentes lors d’une discussion l’année dernière au Sommet international de la science 2022, affirmant que le FEM s’est volontairement abstenu de montrer aux gens à quoi ressemblerait une monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) parce qu’elle impliquera un implant sous la peau de la taille d’un grain de riz.
[...]
J’avais l’honneur d’être convié par Yurie Roșca à participer sur place à l’événement international organisé en décembre à Chișinău, ainsi qu’au troisième forum tenu dans la capitale moldave en septembre 2019. Quelques années plus tard, le 9 septembre 2023, à l’occasion de la quatrième édition du forum, intitulée « L’Agenda 21 de l’ONU et le Great Reset – La chute du libéralisme dans la technocratie et le transhumanisme », Yurie Roșca me faisait l’amitié de m’inviter à prendre la parole à nouveau. Je suis intervenu cette fois à distance avec un article et une vidéo pour en résumer le contenu.
La Grande Réinitialisation, ou Great Reset en anglais, est un programme d’inspiration cybernétique visant à informatiser totalement les sociétés humaines au point de « fusionner le biologique et le numérique », selon les mots de Klaus Schwab, président du World Economic Forum (WEF, forum de Davos). L’informatique doit devenir omniprésente, un passage obligé de chaque instant, un goulot d’étranglement universel, pour mener une existence normale. Plus largement, il s’agit de dépasser la condition humaine pour nous acheminer vers le transhumanisme au moyen d’un encadrement complet de la vie quotidienne par les technologies NBIC – nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Les organisations du capitalisme occidental (WEF, FMI, GAFAM) soutiennent ce programme avec enthousiasme.
La Russie fait-elle partie, elle aussi, du Great Reset et du « Nouvel Ordre mondial » ? Est-il vrai qu’aucun État ne peut résister au mondialisme et que tous les pays suivent son agenda ?
« Je voudrais remercier notre ami d’Allemagne, Peter Töpfer, d’avoir noté mon intervention lors de la récente conférence internationale sur la multipolarité. Et si ma modeste contribution a été remarquée, c’est parce que j’ai essayé de souligner qu’en ce moment, malgré des conflits majeurs entre différents pays, ils suivent tous docilement le même agenda mondialiste. J’ai mentionné qu’il s’agit de ce qu’on appelle le Great Reset, Agenda 21 ou Agenda 2030 pour le développement durable, adopté au sein de l’ONU. Et si tous les pays, sans exception, suivent le même ordre du jour, le résultat qui sera atteint sera commun à toute l’humanité. (…) Les cercles occultes qui se cachent derrière des organisations telles que le WEF (Forum économique mondial), la Commission Trilatérale, le CFR (Council on Foreign Relations), le Groupe Bilderberg, le Club de Rome, etc. et qui opèrent par le biais d’organismes internationaux officiels tels que l’ONU, l’UE, l’OMS, l’OMC, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux, etc. ont des instruments de domination, devant lesquels aucun État ne peut résister. »
Une femme ayant survécu au régime communiste chinois brutal a mis en garde le Forum économique mondial et les démocrates américains contre la transformation du pays en une « dictature marxiste prolétarienne ».
« J’ai vécu le régime communiste le plus brutal de Chine », a déclaré Xi Van Fleet. « J’ai été témoin de beaucoup de choses. Et maintenant, je vais vous raconter l’un des moments les plus sombres dont j’ai été témoin. Lorsque l’ancien président des États-Unis a été inculpé et pris en photo dans une prison de Géorgie. »
« Je dois dire que l’Amérique devient rapidement un pays communiste et que notre État de droit a été transformé en dictature prolétarienne », a averti Xi. « Le parti au pouvoir s’en prend à l’opposition politique, et pas seulement au président, mais aussi à des gens comme les activistes. Ils sont maintenant en prison. Ce sont des prisonniers politiques dans ce pays « libre » que sont les États-Unis. »
« Bienvenue dans la Chine de Mao en 2030 »
Le Great Reset, l’horizon 2030 promis par le mondialiste Klaus Schwab, signifie la destruction progressive du travail indépendant, du CDI, de l’industrie, et derrière, de la production nationale au profit d’une économie tertiaire numérisée qui rend la masse des travailleurs corvéable à merci, soit le retour au XIXe siècle de Marx. La crise énergétique a déjà mis à genoux des milliers de TPE.
Quand ils voient un petit commerce ou un artisan qui ferme, un agriculteur se pendre ou un marin-pêcheur pointer à Pôle emploi – rebaptisé France Travail par une inversion orwellienne de toute beauté –, beaucoup de Français ne voient pas le plan d’ensemble, la tendance statistique lourde. C’est l’histoire de la grenouille au fond de son trou qui prend le disque de ciel qu’elle voit pour le ciel tout entier.
Or, ce ciel entier est bien noir aujourd’hui, pour les Gaulois : Macron, qui veut renquiller un 3e mandat – la Banque cherche à imposer son employé zélé 5 ans de plus sur le trône –, avance à marche forcée vers ce fameux horizon, où l’on ne possédera plus rien, où l’on sera des nomades au sens attalien, où tout sera ubérisé, l’éducation comme la santé, c’est-à-dire désocialisé. On voit les germes de ce plan chaque jour, avec une insécurité grandissante à tous les niveaux, pas la peine de revenir sur la destruction programmée des services publics et le chaos qui en résulte.
Certes, un revenu universel (RU) sera octroyé aux (nouveaux) pauvres désœuvrés, mais il permettra tout juste de survivre, sous une surveillance administrative et policière de tous les instants : les JO 2024 dans un Paris en état de guerre serviront de laboratoire. Quel bénéficiaire du RU (fils du RSA) osera s’opposer à un Système qui le nourrit avec pitié et le flique avec dureté ?
Les naïfs demanderont pourquoi une économie choisit de se saborder. C’est l’oligarchie qui la sacrifie, pour dégager des superprofits là où c’est possible, rapide et facile : la France à la découpe, c’est le projet de Macron depuis 2014, le moment où le duo Minc-Attali l’a mis en selle. En d’autres termes, la production carbonée à l’ancienne, avec ses machines et ses hommes, ses usines et ses investissements, c’est du passé. Le profit contemporain, c’est celui de la finance, qui gagne de l’argent avec l’argent, et qui n’a plus besoin de l’emploi humain. D’où la neutralisation des lois du travail sous la houlette de Bornstein. Le XXe siècle a été celui de la disparition du métier ; le XXIe sera celui de la disparition de l’emploi, qui était déjà une dégradation du métier.
Dans un article de 2016 (Welcome To 2030 : I Own Nothing, Have No Privacy And Life Has Never Been Better*), le magazine Forbes en proposait une description complète qui ne manquera pas d’attirer l’attention des lecteurs !
*Bienvenue en 2030 : Je ne possède rien, je n'ai aucune vie privée et la vie n'a jamais été meilleure
“Bienvenue en l'an 2030. Bienvenue dans ma ville - ou devrais-je dire, "notre ville". Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun électroménager ni aucun vêtement.
Cela peut vous sembler étrange, mais c'est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est devenu un service. Nous avons accès au transport, à l'hébergement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. Une par une, toutes ces choses sont devenues gratuites, donc cela n'avait plus de sens pour nous de posséder beaucoup.”
Cependant la description, au demeurant fort intéressante de cet agenda, avait déjà été proposée voici une trentaine d’années par des Américains dans un document intitulé "Des armes silencieuses pour des guerres tranquilles".
Quelques passages des objectifs et des stratégies sont repris ci-après pour illustrer cet article.
L’analyse proposée dans ce document aurait a priori été établie par des membres du Groupe Bilderberg et par des officiers américains ou des membres de la CIA. Toutes ces informations sont précisées dans l’introduction dont une lecture intégrale est fortement recommandée. Il a été rédigé et signé par Gregory Allan en 1996.
La mission de l’entreprise résulte naturellement de son seul objet social
Il faut commencer par préciser que donner « une mission » à l’entreprise n’est en rien une innovation par rapport à l’existence de l’objet social. En effet, c’est l’objet social qui explique la mission de l’entreprise, point n’est besoin de rajouter d’autres missions ; sauf, bien sûr, à poursuivre un objectif politique qui n’a rien à voir avec l’organisation libre et honnête de l’économie via le concept d’entreprise.
Cette nouvelle « mission de l’entreprise » est en réalité une contrainte règlementaire supplémentaire destinée à peser sur les entrepreneurs – qui n’en peuvent déjà plus avec toutes celles existantes. Afin de ne pas apparaître pour ce qu’elle est, cette nouvelle contrainte se déploie sur la base du volontariat, tout au moins dans un premier temps, en période de test.
Ne doutons pas, que ce volontariat sera, un jour, transformé en forme juridique obligatoire afin de répondre, sous prétexte de changement climatique, à l’objectif écologique dit « zéro carbone », largement véhiculé au niveau mondial par des organismes tels que le GIEC, la COP 21, l’ONU et Davos.
Infiltration du droit anglo-saxon dans les pays de droit continental
Lorsque l’on a longtemps travaillé sur les méthodes d’infiltration du droit commercialo-maritime anglo-saxon dans notre droit traditionnel, il est aisé de détecter la méthodologie que les anglo-saxons appellent improprement soft law. Improprement car, si l’apparence première se présente comme étant soft – comprendre non obligatoire – le résultat final ne l’est jamais : nous sommes au contraire bien dans le dur, ou hard law.
En l’occurrence, avec la « société à mission » nous sommes dans une phase intermédiaire de droit positif facultatif autrement dit de hard law facultative… la créativité règlementaire des dominants économiques n’a décidément aucune limite.
Origine impérialiste et globaliste du droit commercialo-maritime anglo-saxon
Ce droit commercialo-maritime, fut élaboré pour les besoins de la cause impérialiste développée par Olivier Cromwell ; il fut entièrement ab initio sous le contrôle financier de la City of London.
Ce type de « droit » s’est largement répandu au niveau international, via de nombreuses institutions ad hoc. Parmi ces institutions, « la compagnie des Indes » britannique occupe une place à part : celle d’élaborer un modèle de développement extraterritorial de l’État financier britannique. Ce schéma se retrouve aujourd’hui dans le « Forum économique mondial » (FEM) qui se réunit régulièrement à Davos. Ce « FEM » n’est rien d’autre que la synthèse mondiale des « chambres de commerces internationales » agissant sous la direction de la Haute finance britannique.
Cette entité particulière, le FEM, a pour objectif de réaliser l’accaparement généralisé des richesses. Ses modes d’expression traditionnels sont le génocide et l’esclavage, sur le modèle précis de ce que furent les Compagnies des Indes, particulièrement les compagnies britannique et hollandaise ; lesquelles se sont historiquement développées autour de ce qu’il est aujourd’hui convenu d’appeler le « partenariat public-privé » (PPP).
Dès 1956, le Time Magazine avait consacré une publication à la science alors déjà fort prometteuse du « biocontrôle » :
« Une horreur bien connue des amateurs de science-fiction, c’est l’esclave dont les pensées et les actions sont régies par un gadget électronique greffé dans son cerveau. Il pourrait y avoir une part de vérité dans cette fiction affirme l’ingénieur électricien Curtiss R. Schafer, qui conçoit et développe des instruments électroniques pour la Norden-Ketay Corp. de New York. L’électronique, pense-t-il, pourrait épargner beaucoup de travail aux endoctrineurs et aux contrôleurs de la pensée du futur. […]
Le biocontrôle est la nouvelle science du contrôle des processus mentaux, réactions émotionnelles et perceptions sensorielles par des signaux bioélectriques. […] Déjà, grâce au biocontrôle, les scientifiques ont changé le sens de l’équilibre des gens. Et ils ont fait en sorte que des animaux avec le ventre plein aient faim – ou qu’ils aient peur quand ils n’ont rien à craindre. »
« Les neurotechnologies nous permettent de mieux influer sur la conscience et les pensées. Ceci inclut un décodage affiné de ce que l’on pense grâce à de nouveaux produits chimiques et des interventions qui peuvent influencer nos cerveaux pour y corriger les erreurs ou en améliorer le fonctionnement. […] Des technologies spécialisées telles que les microélectrodes modernes sont capables d’enregistrer l’activité d’un neurone individuel – ou de l’activer, quand on en a besoin. […] Pouvoir « lire et écrire dans » le cerveau va créer de nouvelles industries et de nouveaux systèmes de création de valeur… »
Amplement documenté, le Forum économique mondial (FEM) a joué un rôle déterminant dans l’approbation du programme militaire des États-Unis et de l’OTAN en ce qui concerne l’Ukraine.
Cet événement Cyber Polygon de juillet 2021 (qui s’est produit 8 mois avant la guerre en Ukraine) était-il destiné à créer des divisions politiques au sein de la Fédération de Russie en établissant des partenariats avec un certain nombre de puissants médias, de communications, institutions bancaires et financières russes, etc.
Il n’y avait pas un seul représentant de la République populaire de Chine. La simulation du cyberpolygone (juillet 2021) était-elle destinée à favoriser la confrontation entre la Chine et la Russie ?
Quelques mois plus tard, à partir de mars 2022, la Russie a été mise sur la liste noire du FEM, les institutions russes ont été exclues de la participation à la fois au Forum économique mondial de mai 2022 et de janvier 2023 à Davos.
« Je crois qu’il y aura une autre crise. Ce sera plus important. Ce sera plus rapide que ce que nous avons vu avec la COVID. L’impact sera plus important et, par conséquent, les implications économiques et sociales seront encore plus importantes. »