Ce weekend, le journaliste américain Tucker Carlson est arrivé à Moscou pour interviewer le président Vladimir Poutine. Une interview importante et attendue par bien des citoyens tant américains que d’autres nationalités.
Sur les réseaux sociaux, les spéculations sur le contenu de l’interview vont bon train. Celle-ci ayant fait l’objet d’une fake news, immédiatement soulevée par France-Soir après confirmation auprès de l’équipe de Tucker Carlson à Moscou.
Ce lundi 6 février, Tucker Carlson a publié une vidéo sur son compte X expliquant les raisons de cet entretien avec le chef du Kremlin, rappelant avant tout le devoir du journaliste et le droit du public de savoir. Carlson a bien sûr taclé les médias mainstream qui ne font plus un travail d’information pour le public, mais de propagande. Tucker Carlson a aussi confirmé qu’Elon Musk avait accepté de publier cette interview sur le réseau social X afin de garantir au plus grand nombre l’accès à ce contenu qui sera probablement censuré par les médias mainstream. Un tweet vu par 47 millions d'internautes...
De nos jours, dans les écoles, l'image d'élèves absorbés par leurs téléphones est devenue la norme, qu'ils soient jeunes ou adolescents. Cependant, la Russie vient d'opérer un changement radical : l'interdiction des smartphones dans les écoles primaires et secondaires.
La Douma a approuvé un amendement à la « loi sur l’éducation », imposant une interdiction stricte des outils de communication, dont les smartphones, au sein des établissements scolaires. Cette modification entrera officiellement en vigueur dès le 1er décembre 2024, marquant ainsi un tournant radical dans les politiques éducatives du pays.
Le document a été publié sur le portail officiel d’information juridique.
Conformément à cette réglementation, l’utilisation des téléphones portables sera strictement réservée à des fins éducatives ou en cas d’urgence. L’année dernière, la Russie avait déjà proscrit l’usage des téléphones portables en classe dans les écoles primaires et secondaires, une mesure visant à prévenir la distraction des élèves et à maintenir leur concentration sur le contenu des cours.
04:10– Conférence de presse de V. Poutine :
• Poutine vs IA
• De Gaulle & Poutine vs US
07:55– Économie :
• Pays-Bas vs gaz russe
• Gazprom et l’Europe
• Bilan économique 2022
• Hyperindustrialisation
• Poutine vs inflation
• Moscou, la plus attractive des mégalopoles
• Renouveau industriel à Marioupol
13:39 – Politico-diplomatique :
• Zelensky & Milei vs Lula
• Zelensky à Washington
• UE : Ukraine et Moldavie futurs membres
• Orbán l’incorruptible
• CIA vs Irak
• Entretien Netanyahou – Poutine
• Poutine vs Macron & LCI
23:20 – Terrorisme :
• Terrorisme US vs Europe
• Zelensky et la guérilla
• Kiev, ville russe
26:20 – Armement :
• 800 milliards de dollars pour le Pentagone
• 200 millions de dollars pour Kiev
• Pistorius : 200 000 obus pour Kiev en 2024
• F-16 magiques
• Dents de dragon kiéviennes
• WSJ : misère des arsenaux occidentaux
• Conquête spatiale chinoise
34:53 – Considérations militaires générales
• LCI et les pertes russes
• 617 000 soldats russes vs 600 000 soldats kiéviens
• Gamelin Perruche
• Prozac Boys
45:30 – Carte des opérations militaires
«C'est notre pays, le monde russe, qui a plusieurs reprises dans l'histoire, s’est opposé à ceux qui prétendent aujourd'hui être les maîtres du monde», a déclaré ce 28 novembre Vladimir Poutine, lors d’une allocution aux participants de la XXVe séance plénière du Conseil mondial du peuple russe. «Nous sommes contre une dictature, une hégémonie», a notamment précisé le chef d’Etat. «C’est notre pays qui aujourd’hui est aux avant-postes de la justice mondiale», assure-t-il.
«Sans une Russie souveraine, il n’y a pas d’ordre mondial possible», a-t-il poursuivi, pointant du doigt l’Occident. Face à un pays «vaste et diversifié», dont la «diversité de cultures, de traditions et de coutumes» constitue à ses yeux un «énorme avantage concurrentiel», Vladimir Poutine a mis en garde contre un Occident, qui selon lui «en principe, n'a pas besoin d'un pays aussi grand et plurinational que la Russie, avec ses traditions, ses cultures, ses langues».
Les Occidentaux «sont contre tous les peuples de la Russie»
Des Occidentaux, ou plus précisément des élites occidentales, dont il fustige la vision du monde. «La Russie, ils la considèrent comme une prison des peuples», a-t-il lancé. «La russophobie, d'autres formes de racisme et le néonazisme sont pratiquement devenues l’idéologie des élites dirigeantes occidentales», a estimé le dirigeant russe. Une approche, selon lui, non seulement dirigée contre les Russes, mais également «contre tous les peuples de la Russie».
«N’importe quelle ingérence de l’extérieur – ou toute tentative de générer des conflits religieux – sera combattue», a mis en garde Vladimir Poutine. «Nous lutterons contre le terrorisme comme instrument de lutte contre nous, nous réagirons», a-t-il insisté. «Nous ne permettrons pas de diviser la Russie qui doit être une», a encore assuré le président russe.
Ils savaient très bien que s’ils taquinaient le Kremlin au sujet de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, celui-ci serait obligé de réagir militairement, tout comme le feraient les États-Unis si quelque chose de similaire se produisait au Mexique. C’est pourquoi les autorités américaines, quelques mois avant les hostilités, ont affirmé qu’elles allaient se déclencher – parce qu’elles les avaient elles-mêmes provoquées. Moscou a tenté de faire valoir ses intérêts lors des négociations de décembre 2021, en exigeant des garanties de sécurité. Puis elle a commencé de manière démonstrative à faire rouler des chars le long de sa frontière. Mais, bien entendu, rien n’a eu d’effet. Tout le monde était volontairement sourd.
La guerre signifiait la rupture définitive entre la Russie et l’Europe, censée affaiblir les deux et éliminer les sérieux concurrents de Washington dans l’économie mondiale et dans la puissance militaire. Elle a stoppé la création d’un centre de pouvoir mondial dans l’Union européenne.
Dès que Poutine a fait ce qu’il était obligé de faire, les politiciens américains et leurs valets européens ont commencé à fantasmer follement sur la façon dont ils pourraient le vaincre à moindre coût aux mains des Ukrainiens et continuer à détruire la Russie. Au printemps 2022, Biden était tellement excité qu’il a directement parlé de renverser le président russe. «Bon sang, il ne peut pas rester au pouvoir !» a-t-il crié.
La Commission gouvernementale du Congrès américain sur la sécurité et la coopération en Europe, également connue sous le nom de Commission d’Helsinki, avait des projets encore plus audacieux. Elle a convoqué des conférences de dissidents russes, avec lesquels elle a discuté de la manière dont ils pourraient travailler ensemble pour «décoloniser» la Russie. En termes simples, couper les territoires du pays. Cela a été considéré comme un «impératif moral et stratégique».
Les dirigeants européens étaient également déterminés et ne se demandaient pas ce qu’ils gagneraient du conflit. Contrairement aux clichés diplomatiques habituels sur un règlement pacifique, Josep Borrell a déclaré dès les premiers mois que la victoire serait remportée sur le champ de bataille. Les dirigeants de l’UE n’ont jamais fait preuve d’une telle confiance, même sur les questions les plus urgentes pour les citoyens. De plus, il a promis que l’Ukraine deviendrait plus forte après la guerre qu’elle ne l’était auparavant.
Les Européens ont dépassé tous leurs autres intérêts pour réaliser cet étrange rêve. Ils se sont coupés des matières premières bon marché, ont rompu les chaînes d’approvisionnement et se sont empêchés d’accéder au vaste marché de l’investissement et de la vente de biens technologiques. Bien entendu, les Russes et les Chinois ont occupé les niches libérées.
Les plus grands enthousiastes, comme Boris Johnson, ont continué de croire jusqu’à l’hiver 2023 que Kiev parviendrait à reconquérir la Crimée. Cela a été en partie alimenté par les échecs de l’armée russe à l’automne 2022. Cependant, même à cette époque, de tels fantasmes ont suscité des doutes à Washington. L’administration Biden a commencé à comprendre que la prise de la péninsule ne s’arrêterait pas, mais aggraverait la guerre, et cela commençait déjà à devenir ennuyeux. Par conséquent, le pari a été mis sur la dernière contre-offensive, qui forcerait finalement les Russes à des négociations défavorables, et tous les problèmes pourraient être résolus.
Aucun film hollywoodien n’a été annoncé de manière aussi intrusive que cette opération. Comme la pratique l’a montré plus tard, la médiatisation massive était une erreur. Trop d’espoirs sont placés dans les forces armées ukrainiennes. Tout s’est terminé par une avance de 5 à 10 milles et des excuses honteuses du genre «nous ne sommes pas tombés dans le panneau, nous sommes tout simplement en retard».
La pression économique a également échoué. Alors que l’économie allemande s’effondre de 0,6% et que des entreprises ferment à cause du carburant trop cher, le PIB de la Russie, malgré toutes les sanctions et les tentatives visant à priver les revenus pétroliers et gaziers, augmente de 2%. Au second semestre 2023, le rythme s’est même accéléré pour atteindre 5,5%. Le pays reçoit 20 milliards de dollars ou plus par mois de la seule exportation de pétrole et de produits pétroliers. Ces montants couvrent largement le volume total de l’aide occidentale à l’Ukraine.
C’est ce projet, et non pas la déclaration unilatérale d’indépendance israélienne qui a été validé par les Nations unies. C’est pourquoi, « il est impossible de résoudre le problème sans la création d’un État palestinien avec Jérusalem pour capitale ».
Le président Poutine s’est déclaré surpris de l’annonce états-unienne de l’envoi du porte avion USS Gerald Ford et de son groupe naval, le croiseur USS Normandy et les destroyers USS Thomas Hudner, USS Ramage, USS Carney et USS Roosevelt, au large de Gaza. « Je ne comprends pas pourquoi les États-Unis entraînent un groupe naval là-bas ? Que vont-ils y faire ? ».
Enfin, il s’est déclaré désagréablement surpris par la recherche de bouc-émissaire. « L’Iran est accusé de toutes les choses graves, comme toujours, sans preuve », s’est-il exclamé.
Cette prise de position ne marque pas de changement dans la doctrine de la Fédération de Russie, cependant jusqu’à présent, Moscou s’abstenait de l’expliciter.
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Attaques massives russes dans la profondeur
Considérations sur la guerre palestino-israélienne
36:45 Carte des opérations militaires
Le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours le 5 octobre lors de la session plénière de la 20ème réunion du Club de discussion international Valdai à Sochi et a souligné les changements tectoniques et irréversibles qui se produisent dans l’ordre mondial.
Selon Poutine, les mondialistes, dont Schwab et ses proches conseillers, sont des «cibles militaires légitimes» parce qu’ils ont activement tenté de prendre le pouvoir illégalement par le biais d’un coup d’État mondialiste.
Il y a seize ans, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, Poutine a déclaré aux dirigeants occidentaux que le type naturel de système international était la multipolarité, montrant clairement que la Russie s’opposerait à la création d’un nouvel ordre mondial fondé sur l’ordre international libéral basé sur des règles et poussé agressivement par l’élite mondialiste et ses politiciens libéraux dans les démocraties occidentales.
L’heure de vérité a sonné, selon Poutine, et les plans de l’élite mondiale pour un nouvel ordre mondial reculent sous nos yeux tandis qu’un nouveau monde multipolaire, dans lequel les cultures traditionnelles conservent leur héritage à l’intérieur de leurs propres frontières, se lève comme un phénix.
Poutine expose six principes de civilisation pour le monde de l’après-Nouvel Ordre Mondial...
Dans cette vidéo, nous analysons comment cette décision stratégique de la Russie pourrait changer la donne économique mondiale.
L’inflation, la récession, et l’impact sur les marchés mondiaux : tout est passé en revue. Ne manquez pas cette analyse approfondie de la nouvelle arme économique de la Russie.
J’espère que les Occidentaux prêteront attention à ce qu’il a dit, c’est pourquoi je présente l’intégralité de ses remarques à la suite d’une présentation du directeur du service de renseignement extérieur. Sur la base d’informations de source publique et de renseignements recueillis par la Russie, cette dernière pense que la Pologne prévoit de s’emparer du territoire ukrainien à l’ouest du fleuve Dniepr, alors que la contre-offensive ukrainienne tant vantée s’effondre.
Si la Russie voit la Pologne commencer à masser des troupes à la frontière de l’Ukraine (et n’oublions pas que les États-Unis ont déployé au moins deux brigades blindées en Pologne), cela attirera certainement l’attention des dirigeants du Kremlin. Poutine a répondu longuement à l’exposé de Narychkine. Cela ne ressemble pas à des remarques préparées à l’avance. Il semble s’exprimer de manière extemporanée et tracer des lignes rouges très claires pour l’OTAN.
«La politique du régime ukrainien ne nous concerne pas. S’ils veulent abandonner ou vendre quelque chose pour payer leurs patrons, comme le font généralement les traîtres, c’est leur affaire. Nous n’interviendrons pas.
Mais la Biélorussie fait partie de l’État de l’Union, et lancer une agression contre la Biélorussie reviendrait à lancer une agression contre la Fédération de Russie. Nous y répondrons avec toutes les ressources dont nous disposons»
Je ne suis pas là pour répondre définitivement à ces questions, car nous ne connaîtrons jamais vraiment la vérité.
Cela dit, si ce que je pense qu’il s’est passé est proche de la vérité, il s’agit peut-être de l’une des plus grandes victoires de l’histoire moderne qui n’ait pas eu lieu sur un champ de bataille.
Commençons par ce que nous savons. Depuis des mois, Prigojine dénonce le manque de soutien du ministère russe de la Défense, alors que ses hommes ont fait le gros du travail à Bakhmout. Ses problèmes avec le ministre de la Défense, Sergueï Shoïgu, sont bien connus. Il est également probable que Prigojine et le général Valeri Gerasimov ne s’entendent pas non plus.
Les concours de « à qui pissera le plus loin » entre commandants militaires ne sont pas rares, après tout.
On pourrait facilement avancer l’argument selon lequel Wagner a été nommé pour réparer les dégâts causés par Choïgou, tandis que Gerasimov a entrepris la tâche plus importante de réorienter l’armée russe en abandonnant les groupes tactiques de bataillons (BTG) au profit d’une armée centrée sur l’infanterie, plus à même de prendre et de conserver un territoire.
En plus, il y a cette guerre imminente contre l’OTAN.
On pourrait aussi facilement avancer l’argument selon lequel ses succès ont permis à Prigojine d’exiger des changements et de commencer à prendre la grosse tête.
Maintenant, faisons intervenir le facteur externe, l’ennemi, l’OTAN. Mais en réalité, ce sont les néoconservateurs américains et britanniques qui ont passé chaque heure à frapper la Russie au visage avec des mesures d’escalade flagrantes pour essayer d’attirer la Russie et Poutine hors-jeu.
Nordstream 2, l’attentat à la bombe sur le pont du détroit de Kertch, la mise en scène du massacre de Boutcha, l’explosion du barrage de Kakhovka, les attaques de Belgorod, la contrebande d’armes vers Odessa sous les auspices de l’« accord sur les céréales »… La liste est presque infinie.
Nous avons appris que le FSB russe avait déjoué une opération de contrebande de césium 137 vers l’Ukraine afin de simuler une attaque nucléaire. Pensez-en ce que vous voulez, mais dans le monde dans lequel j’ai appris à vivre, il n’y a presque rien, aucune ruse assez basse, que les Britanniques et leurs complices américains n’essaieraient pas, en désespoir de cause.
Dans ma vision du monde, le MI6 et le ministère britannique de la Défense passent leurs journées à trouver un nouveau moyen de justifier un conflit plus large entre l’OTAN et la Russie. La destruction et la balkanisation de la Russie sont, après tout, leur raison d’être depuis plus de 300 ans.
Et, jusqu’à présent, cette heuristique s’est avérée quasi parfaite pour prédire la suite des événements.
Alors, arrêtons les conneries, d’accord ?
Il ne s’agit en aucun cas d’une affaire spontanée. Cela fait des mois qu’elle se construit. Mais qu’est-ce qui a été construit ?
Entre autres exploits, il a fait de tout l’Occident collectif un cul absolu, intergalactique, des grands médias – une fois de plus.
Il a rallié pratiquement tous les Russes pour mettre fin plus rapidement à l’opération militaire spéciale (OMS) ou à la « quasi-guerre » (selon certains milieux d’affaires).
Lui-même et le FSB ont dressé une liste impressionnante de traîtres et de membres des 5e et 6e colonnes, qui seront traités comme il se doit.
Et il jouit désormais d’une liberté illimitée pour déployer de facto des pouvoirs de loi martiale dans le cadre d’opérations antiterroristes (CTO).
Autant Poutine a aidé l’éternel Loukachenko en août 2020, empêchant un changement de régime en Biélorussie, autant le bon vieux Luka a empêché la Russie de sombrer dans la guerre civile en juin 2023.
Une vaste opération complexe de lutte contre le terrorisme est désormais en cours à Moscou et au-delà, tandis que les spécimens occidentaux de sous-zoologie sont stupéfaits, hébétés et confus : n’était-ce pas censé être le moment où Poutine rencontrait son tsar Nicolas II ?
Un premier coup d’œil sur l’échiquier nous apprend que toutes les pièces semblent tomber au bon endroit.
- Prighozin obtient un parachute doré en Biélorussie.
- Shoigu est peut-être sur le point d’être limogé, peut-être même Gerasimov (oui, il y a des couches profondément dysfonctionnelles au sein du ministère de la défense).
- Les musiciens de Wagner seront incorporés en tant que corps d’armée régulier.
- Ils peuvent continuer à faire des affaires en Afrique : la demande est énorme.
Que s’est-il réellement passé après Le jour le plus long ?
Des fonds considérables de la CIA ont peut-être changé de mains. Mais en fin de compte, le « coup d’État » pourrait s’avérer être la plus grande opération de trolling russe jamais réalisée contre l’Occident.
La mère de tous les Maskirovkas