Occident, armes nucléaires, économie :
les points clés du message de Poutine au Parlement russe
Comme tous les ans, le Président russe a tenu ce 29 février un discours devant l’Assemblée fédérale. Cette année, il a été axé sur les taches stratégiques.
Opération spéciale en Ukraine
- La Russie a prouvé qu’elle peut répondre à tous les défis.
- La majorité absolue des Russes a soutenu l’opération militaire spéciale en Ukraine.
- Les forces armées russes ont acquis une expérience colossale.
- Les militaires russes possèdent l’initiative, l’armée avance de manière ferme sur nombre d’axes et libère de nouveaux territoires.
- La Russie fera tout pour mettre fin au conflit, éradiquer le nazisme et réaliser toutes les tâches de l’opération spéciale.
- Les conséquences des éventuelles interventions [occidentales] seront beaucoup plus tragiques.
Armes
- Les forces nucléaires stratégiques russes sont complètement prêtes.
- L’Occident choisit des cibles en Russie pour la frapper, elle a donc besoin d’armes. Moscou possède déjà des armes capables d’atteindre des cibles dans les pays occidentaux.
- Le complexe Sarmat a été livré aux troupes, nous le dévoilerons bientôt.
- Le complexe hypersonique basé en mer Zircon a déjà été utilisé au combat, ce système est déjà en service.
- Les missiles du complexe hypersonique Kinjal sont utilisés efficacement au cours de l’opération militaire spéciale.
- Les tests du missile de croisière nucléaire Bourevestnik et du drone sous-marin capable de transporter une charge thermonucléaire Poseïdon se terminent.
Menace nucléaire
- Les nouvelles tentatives pour intervenir en Russie sont lourdes d’un conflit d’envergure avec recours aux armes nucléaires.
- La désinformation sur les prétendues armes nucléaires russes dans l’espace vise à entraîner la Russie dans des négociations inégales.
- Tout ce que propose l’Occident fait peser réellement le risque d’un conflit avec des armes nucléaires, ce qui aboutira à la destruction de la civilisation.
- L’Occident tente d’entraîner la Russie dans une course aux armements, pour répéter l’expérience de l’URSS dans les années 1980.
Sécurité en Europe
- L’Occident a provoqué les conflits en Ukraine, au Proche-Orient et continue de mentir.
- En déclarant que la Russie veut attaquer l’Europe, l’Occident délire.
- Les actions des États-Unis détruisent le système de sécurité en Europe.
- Sans une Russie souveraine et forte, un ordre mondial durable est impossible.
Défense de la souveraineté russe
- Ce n’est pas nous qui avons commencé la guerre dans le Donbass, mais nous ferons tout pour la terminer, pour déraciner le nazisme.
- L’Occident, avec ses habitudes coloniales, voudrait voir au lieu de la Russie un espace dépendant, mourant, en déclin.
- L’Occident choisit des cibles en Russie pour la frapper, elle a donc besoin d’armes. Moscou possède déjà des armes capables d’atteindre des cibles dans les pays occidentaux.
- L’Occident détruit délibérément les normes morales et l’institut de la famille, alors que la Russie choisit la vie et les valeurs traditionnelles.
- La Russie a été et reste un bastion des valeurs traditionnelles, notre choix est partagé par la majorité des peuples du monde.
- Nous ne permettrons à personne de s’immiscer dans nos affaires intérieures.
- Il est nécessaire de renforcer le groupe militaire russe dans l’ouest du pays compte tenu de l’adhésion à l’Otan de la Suède et de la Finlande.
- Il est nécessaire de former un nouveau contour de la sécurité mondiale. La Russie est prête au dialogue avec tous les pays.
- Le dialogue de la Russie avec l’ASEAN, l’Afrique et les pays arabes se développe de manière positive.
- Nous voyons de grandes perspectives dans la construction d’un vaste partenariat eurasien.
Lire l’article entier sur fr.sputniknews.africa
« Chers sénateurs !
Députés de la Douma d’État !
Chers citoyens de Russie !
Chaque discours à l’Assemblée fédérale est avant tout un regard vers l’avenir. Et aujourd’hui, nous parlerons non seulement de nos projets immédiats, mais aussi des tâches stratégiques, de ces questions dont je considère la solution comme d’une importance fondamentale pour le développement confiant et à long terme du pays. »
Ce qui se joue en ce moment est très grave. Il apparaît clairement que l’État profond US cherche à entrer en guerre frontale avec la Russie, première puissance nucléaire mondiale, et à envoyer les peuples d’Europe au massacre contre l’armée russe, après avoir anéanti 500.000 Ukrainiens.
Dans ce contexte explosif, tout dirigeant politique ayant le sens des responsabilités doit faire preuve de la plus grande prudence face aux événements, notamment face à l’annonce de la mort subite de Navalny.
Car, que l’on aime Poutine ou pas, force est de constater qu’il n’avait surtout pas intérêt à la mort de cet agent US, perdu dans une prison de Sibérie et oublié de tous.
Poutine venait en effet de réussir un coup de maître avec l’entretien télévisée de Tucker Carlson, vu par 1 milliard de Terriens, dans lequel il apparaît – à la grande fureur de la CIA – comme un dirigeant raisonnable, ayant des arguments solides, avec lequel on devait pouvoir bâtir un plan de paix.
En revanche, s’il y a bien un camp qui trouve un grand intérêt dans la mort de Navalny, c’est l’État profond US et ses satellites de l’UE.
Car cette mort :
▪️ relance à point nommé le narratif US-EU sur la monstruosité de Poutine
▪️ ruine le bénéfice mondial tiré par Poutine de son interview de Tucker Carlson
▪️ rend politiquement et médiatiquement difficile aux parlementaires Républicains de continuer à refuser de voter une aide supplémentaire de 96 Mds $ à l’Ukraine
▪️ permet de faire silence sur le nouveau désastre militaire ukrainien : les forces russes ont remporté la ville stratégique et symbolique de Avdiivka.
Toutes ces raisons invitent donc à la plus grande prudence sur les causes exactes du décès de Navalny,si opportun pour l’OTAN.
En outre, les caractéristiques du défunt (néo-nazi, raciste, génocidaire, escroc patenté et arrêté pour cela, agent financé par la NED US) devraient inciter tous les dirigeants politiques à avoir la décence minimale de ne pas en faire un Saint de la démocratie et des libertés fondamentales !
Ce sont pourtant ces "éléments de langage" "made in CIA" que tous les faux "opposants" médiatisés ont entonnés à l’unisson, comme tous les dirigeants US-EU.
- Le Pen pleure le « militant politique engagé dans la défense de la démocratie »
- Bardella s’incline devant le « défenseur des droits humains et des libertés fondamentales »
- Zemmour affirme que Navalny « entre la tête haute dans l’histoire » pour être « tombé sur le champ de bataille de la liberté »
- Bellamy cite Soljenitsyne en comparant la mort de Navalny au « sacrifice d’un être bon et démuni »
- Glucksmann affirme que ce néo-nazi – qui se filmait en expliquant comment il fallait écraser tous les musulmans comme des insectes nuisibles – « était le courage fait homme »
- Manon Aubry « soutient l’opposition démocratique russe » et prévient que « Poutine devra répondre de ce crime »
- Mélenchon lance : « honneur à la mémoire de Navalny et à la résistance des démocrates russes »
Cette reprise en chœur de la propagande US-EU, présentant le néo-nazi criminel et escroc qu’était Navalny sous les traits d’un Saint et Martyr, en dit long sur la docilité aux États-Unis de toute notre classe politique médiatisée,en particulier des PSEUDO-OPPOSANTS RN, RECONQUÊTE, LR et LFI.
Ceux-ci portent une écrasante responsabilité puisqu’ils CONFORTENT LA PROPAGANDE QUI NOUS MÈNE TOUT DROIT À LA GUERRE.
Car, pour reprendre l’expression de Manon Aubry, comment amener Poutine à « répondre de ce crime », sinon en faisant la guerre à la Russie ?
Ces faux opposants ne disent d’ailleurs rien contre le nouvel Accord Macron-Zelensky qui vole encore 3 milliards € aux Français pour financer l’Ukraine et préparer la guerre !
Ce weekend, le journaliste américain Tucker Carlson est arrivé à Moscou pour interviewer le président Vladimir Poutine. Une interview importante et attendue par bien des citoyens tant américains que d’autres nationalités.
Sur les réseaux sociaux, les spéculations sur le contenu de l’interview vont bon train. Celle-ci ayant fait l’objet d’une fake news, immédiatement soulevée par France-Soir après confirmation auprès de l’équipe de Tucker Carlson à Moscou.
Ce lundi 6 février, Tucker Carlson a publié une vidéo sur son compte X expliquant les raisons de cet entretien avec le chef du Kremlin, rappelant avant tout le devoir du journaliste et le droit du public de savoir. Carlson a bien sûr taclé les médias mainstream qui ne font plus un travail d’information pour le public, mais de propagande. Tucker Carlson a aussi confirmé qu’Elon Musk avait accepté de publier cette interview sur le réseau social X afin de garantir au plus grand nombre l’accès à ce contenu qui sera probablement censuré par les médias mainstream. Un tweet vu par 47 millions d'internautes...
De nos jours, dans les écoles, l'image d'élèves absorbés par leurs téléphones est devenue la norme, qu'ils soient jeunes ou adolescents. Cependant, la Russie vient d'opérer un changement radical : l'interdiction des smartphones dans les écoles primaires et secondaires.
La Douma a approuvé un amendement à la « loi sur l’éducation », imposant une interdiction stricte des outils de communication, dont les smartphones, au sein des établissements scolaires. Cette modification entrera officiellement en vigueur dès le 1er décembre 2024, marquant ainsi un tournant radical dans les politiques éducatives du pays.
Le document a été publié sur le portail officiel d’information juridique.
Conformément à cette réglementation, l’utilisation des téléphones portables sera strictement réservée à des fins éducatives ou en cas d’urgence. L’année dernière, la Russie avait déjà proscrit l’usage des téléphones portables en classe dans les écoles primaires et secondaires, une mesure visant à prévenir la distraction des élèves et à maintenir leur concentration sur le contenu des cours.
04:10– Conférence de presse de V. Poutine :
• Poutine vs IA
• De Gaulle & Poutine vs US
07:55– Économie :
• Pays-Bas vs gaz russe
• Gazprom et l’Europe
• Bilan économique 2022
• Hyperindustrialisation
• Poutine vs inflation
• Moscou, la plus attractive des mégalopoles
• Renouveau industriel à Marioupol
13:39 – Politico-diplomatique :
• Zelensky & Milei vs Lula
• Zelensky à Washington
• UE : Ukraine et Moldavie futurs membres
• Orbán l’incorruptible
• CIA vs Irak
• Entretien Netanyahou – Poutine
• Poutine vs Macron & LCI
23:20 – Terrorisme :
• Terrorisme US vs Europe
• Zelensky et la guérilla
• Kiev, ville russe
26:20 – Armement :
• 800 milliards de dollars pour le Pentagone
• 200 millions de dollars pour Kiev
• Pistorius : 200 000 obus pour Kiev en 2024
• F-16 magiques
• Dents de dragon kiéviennes
• WSJ : misère des arsenaux occidentaux
• Conquête spatiale chinoise
34:53 – Considérations militaires générales
• LCI et les pertes russes
• 617 000 soldats russes vs 600 000 soldats kiéviens
• Gamelin Perruche
• Prozac Boys
45:30 – Carte des opérations militaires
«C'est notre pays, le monde russe, qui a plusieurs reprises dans l'histoire, s’est opposé à ceux qui prétendent aujourd'hui être les maîtres du monde», a déclaré ce 28 novembre Vladimir Poutine, lors d’une allocution aux participants de la XXVe séance plénière du Conseil mondial du peuple russe. «Nous sommes contre une dictature, une hégémonie», a notamment précisé le chef d’Etat. «C’est notre pays qui aujourd’hui est aux avant-postes de la justice mondiale», assure-t-il.
«Sans une Russie souveraine, il n’y a pas d’ordre mondial possible», a-t-il poursuivi, pointant du doigt l’Occident. Face à un pays «vaste et diversifié», dont la «diversité de cultures, de traditions et de coutumes» constitue à ses yeux un «énorme avantage concurrentiel», Vladimir Poutine a mis en garde contre un Occident, qui selon lui «en principe, n'a pas besoin d'un pays aussi grand et plurinational que la Russie, avec ses traditions, ses cultures, ses langues».
Les Occidentaux «sont contre tous les peuples de la Russie»
Des Occidentaux, ou plus précisément des élites occidentales, dont il fustige la vision du monde. «La Russie, ils la considèrent comme une prison des peuples», a-t-il lancé. «La russophobie, d'autres formes de racisme et le néonazisme sont pratiquement devenues l’idéologie des élites dirigeantes occidentales», a estimé le dirigeant russe. Une approche, selon lui, non seulement dirigée contre les Russes, mais également «contre tous les peuples de la Russie».
«N’importe quelle ingérence de l’extérieur – ou toute tentative de générer des conflits religieux – sera combattue», a mis en garde Vladimir Poutine. «Nous lutterons contre le terrorisme comme instrument de lutte contre nous, nous réagirons», a-t-il insisté. «Nous ne permettrons pas de diviser la Russie qui doit être une», a encore assuré le président russe.
Ils savaient très bien que s’ils taquinaient le Kremlin au sujet de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, celui-ci serait obligé de réagir militairement, tout comme le feraient les États-Unis si quelque chose de similaire se produisait au Mexique. C’est pourquoi les autorités américaines, quelques mois avant les hostilités, ont affirmé qu’elles allaient se déclencher – parce qu’elles les avaient elles-mêmes provoquées. Moscou a tenté de faire valoir ses intérêts lors des négociations de décembre 2021, en exigeant des garanties de sécurité. Puis elle a commencé de manière démonstrative à faire rouler des chars le long de sa frontière. Mais, bien entendu, rien n’a eu d’effet. Tout le monde était volontairement sourd.
La guerre signifiait la rupture définitive entre la Russie et l’Europe, censée affaiblir les deux et éliminer les sérieux concurrents de Washington dans l’économie mondiale et dans la puissance militaire. Elle a stoppé la création d’un centre de pouvoir mondial dans l’Union européenne.
Dès que Poutine a fait ce qu’il était obligé de faire, les politiciens américains et leurs valets européens ont commencé à fantasmer follement sur la façon dont ils pourraient le vaincre à moindre coût aux mains des Ukrainiens et continuer à détruire la Russie. Au printemps 2022, Biden était tellement excité qu’il a directement parlé de renverser le président russe. «Bon sang, il ne peut pas rester au pouvoir !» a-t-il crié.
La Commission gouvernementale du Congrès américain sur la sécurité et la coopération en Europe, également connue sous le nom de Commission d’Helsinki, avait des projets encore plus audacieux. Elle a convoqué des conférences de dissidents russes, avec lesquels elle a discuté de la manière dont ils pourraient travailler ensemble pour «décoloniser» la Russie. En termes simples, couper les territoires du pays. Cela a été considéré comme un «impératif moral et stratégique».
Les dirigeants européens étaient également déterminés et ne se demandaient pas ce qu’ils gagneraient du conflit. Contrairement aux clichés diplomatiques habituels sur un règlement pacifique, Josep Borrell a déclaré dès les premiers mois que la victoire serait remportée sur le champ de bataille. Les dirigeants de l’UE n’ont jamais fait preuve d’une telle confiance, même sur les questions les plus urgentes pour les citoyens. De plus, il a promis que l’Ukraine deviendrait plus forte après la guerre qu’elle ne l’était auparavant.
Les Européens ont dépassé tous leurs autres intérêts pour réaliser cet étrange rêve. Ils se sont coupés des matières premières bon marché, ont rompu les chaînes d’approvisionnement et se sont empêchés d’accéder au vaste marché de l’investissement et de la vente de biens technologiques. Bien entendu, les Russes et les Chinois ont occupé les niches libérées.
Les plus grands enthousiastes, comme Boris Johnson, ont continué de croire jusqu’à l’hiver 2023 que Kiev parviendrait à reconquérir la Crimée. Cela a été en partie alimenté par les échecs de l’armée russe à l’automne 2022. Cependant, même à cette époque, de tels fantasmes ont suscité des doutes à Washington. L’administration Biden a commencé à comprendre que la prise de la péninsule ne s’arrêterait pas, mais aggraverait la guerre, et cela commençait déjà à devenir ennuyeux. Par conséquent, le pari a été mis sur la dernière contre-offensive, qui forcerait finalement les Russes à des négociations défavorables, et tous les problèmes pourraient être résolus.
Aucun film hollywoodien n’a été annoncé de manière aussi intrusive que cette opération. Comme la pratique l’a montré plus tard, la médiatisation massive était une erreur. Trop d’espoirs sont placés dans les forces armées ukrainiennes. Tout s’est terminé par une avance de 5 à 10 milles et des excuses honteuses du genre «nous ne sommes pas tombés dans le panneau, nous sommes tout simplement en retard».
La pression économique a également échoué. Alors que l’économie allemande s’effondre de 0,6% et que des entreprises ferment à cause du carburant trop cher, le PIB de la Russie, malgré toutes les sanctions et les tentatives visant à priver les revenus pétroliers et gaziers, augmente de 2%. Au second semestre 2023, le rythme s’est même accéléré pour atteindre 5,5%. Le pays reçoit 20 milliards de dollars ou plus par mois de la seule exportation de pétrole et de produits pétroliers. Ces montants couvrent largement le volume total de l’aide occidentale à l’Ukraine.
C’est ce projet, et non pas la déclaration unilatérale d’indépendance israélienne qui a été validé par les Nations unies. C’est pourquoi, « il est impossible de résoudre le problème sans la création d’un État palestinien avec Jérusalem pour capitale ».
Le président Poutine s’est déclaré surpris de l’annonce états-unienne de l’envoi du porte avion USS Gerald Ford et de son groupe naval, le croiseur USS Normandy et les destroyers USS Thomas Hudner, USS Ramage, USS Carney et USS Roosevelt, au large de Gaza. « Je ne comprends pas pourquoi les États-Unis entraînent un groupe naval là-bas ? Que vont-ils y faire ? ».
Enfin, il s’est déclaré désagréablement surpris par la recherche de bouc-émissaire. « L’Iran est accusé de toutes les choses graves, comme toujours, sans preuve », s’est-il exclamé.
Cette prise de position ne marque pas de changement dans la doctrine de la Fédération de Russie, cependant jusqu’à présent, Moscou s’abstenait de l’expliciter.
02:00 Joyeux anniversaire Vladimir Vladimirovitch
02:30 Economie
Shutdown aux Etats-Unis
Explosion de la dette US
Destruction industrielle en Allemagne
Indice PMI : Russie en tête
Pénurie de main-d’œuvre en Russie
06:45 Politico-diplomatique
13 milliards pour Orban
Forum de Valdaï
De Gaulle en force
Nord Stream 2 prêt à fonctionner
Doctrine nucléaire russe
Wagner
Approche orientale des relations internationales
19:10 Armement
4 Léopard en 4 mois
Visite de Lecornu à Kiev
Gamelin Trinquand
28:38 Considérations militaires générales
Le retour de Wagner
335 000 volontaires russes
France : 15 jours de réserve
Offensive des plagistes kiéviens en Crimée
Attaques massives russes dans la profondeur
Considérations sur la guerre palestino-israélienne
36:45 Carte des opérations militaires
Le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours le 5 octobre lors de la session plénière de la 20ème réunion du Club de discussion international Valdai à Sochi et a souligné les changements tectoniques et irréversibles qui se produisent dans l’ordre mondial.
Selon Poutine, les mondialistes, dont Schwab et ses proches conseillers, sont des «cibles militaires légitimes» parce qu’ils ont activement tenté de prendre le pouvoir illégalement par le biais d’un coup d’État mondialiste.
Il y a seize ans, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, Poutine a déclaré aux dirigeants occidentaux que le type naturel de système international était la multipolarité, montrant clairement que la Russie s’opposerait à la création d’un nouvel ordre mondial fondé sur l’ordre international libéral basé sur des règles et poussé agressivement par l’élite mondialiste et ses politiciens libéraux dans les démocraties occidentales.
L’heure de vérité a sonné, selon Poutine, et les plans de l’élite mondiale pour un nouvel ordre mondial reculent sous nos yeux tandis qu’un nouveau monde multipolaire, dans lequel les cultures traditionnelles conservent leur héritage à l’intérieur de leurs propres frontières, se lève comme un phénix.
Poutine expose six principes de civilisation pour le monde de l’après-Nouvel Ordre Mondial...
Dans cette vidéo, nous analysons comment cette décision stratégique de la Russie pourrait changer la donne économique mondiale.
L’inflation, la récession, et l’impact sur les marchés mondiaux : tout est passé en revue. Ne manquez pas cette analyse approfondie de la nouvelle arme économique de la Russie.