Les journalistes du mainstream aiment y piocher les informations introuvables ailleurs. Mais ce labeur effectué de main de maître a un coût. Dénicher des vérités peut vous coûter cher, voire très cher : fermeture de compte bancaire personnel et professionnel sur demande du gouvernement, visite de votre domicile, accusation d’antisémitisme, de raciste, de complotisme, convocation à la police, plaintes en tous genres, maison incendiée… Voici l’interview de Xavier Poussard qui vous plonge dans la réalité du travail journalistique jusqu’à toucher le seuil interdit où le mainstream ne s’aventure jamais, au bord de la vérité. Les fans de Truman Show connaissent le scénario…
Selon l’humoriste et commentateur politique Russell Brand, les débats sur la récente acquisition de Twitter par Elon Musk ont fait rage entre les défenseurs de la liberté d’expression qui se réjouissent de cette opération et les démocrates néolibéraux qui s’inquiètent de voir un seul milliardaire contrôler la plateforme.
Dans sa dernière vidéo, Russell Brand soulève des questions sur les plans de Musk pour Twitter qu’aucun des deux camps ne pose.
Brand fait valoir que le paysage médiatique a changé. Aujourd’hui, de nombreux journalistes et personnalités des médias sont de plus en plus opposés à la liberté d’expression.
L'humoriste George Carlin est à l'origine d'une loi — bien malgré lui — de la Cour suprême des États-Unis. Il s'agit d'une liste de sept mots obscènes interdits à la télé américaine : shit, piss, motherfucker, cocksucker, fuck, cunt et tits. Si vous ne les connaissez pas — ou ne les devinez pas — vous les trouverez sur internet, sans aucun doute. Bien entendu George Carlin ne s'est jamais gêné pour les employer. À sa mort, selon ses dernières volontés, ses cendres ont été dispersées devant diverses boîtes de nuit où il a joué à New York.
« J’en ai marre de ces stars écolos cocaïnées du cinéma et de la musique »
Carl Sagan explore les nombreux types de tromperies dont nous pourrions être victimes, de la voyance au fanatisme religieux, en passant par la recommandation déloyale de produits par des « spécialistes » rémunérés pour le faire, au carrefour des croyances, des pseudo-sciences et des marchands en blouse blanche sur petit écran. Il tenait d’ailleurs ces derniers en piètre estime, considérant que leurs actes « révèlent le mépris qu’ils éprouvent pour l’intelligence de leurs clients » et « altèrent insidieusement les attitudes des peuples face à l’objectivité scientifique ».
Le kit proposé ici est bien plus qu’une simple ressource scientifique : il propose une démarche sceptique salutaire applicable à la vie de tous les jours. Appliqué au monde des réseaux sociaux, il devient véritablement vital tant la désinformation, les « infomercials » (faux articles commerciaux qui font la promotion d’un produit tout en prétendant informer), les fakes ou les manipulations politiques sont monnaie courante. En l’adoptant, nous nous tenons à l’abri de la fourberie et de la manipulation.
Car oui, vous n’y couperez pas : vous aurez peur de manquer de chaleur, de nourriture, de lumière. Vous aurez peur que l’Europe soit irradiée ou qu’un conflit nucléaire éclate.
Nos élites nous rappellent, par leur incroyable talent prévisionniste, que gouverner c’est prévoir, vous allez voir ce que vous allez voir.
D’ailleurs, on a vu : ayant su prévoir – avec un brio inégalé – que la France pourrait largement se passer de nucléaire grâce à sa batterie de moulins à vent et de petits panneaux solaires, nos formidables politiciens arrivent à présent et très progressivement à la conclusion que les premiers mois de 2023 pourraient être marqués par autant de tensions dans les rues qu’il n’y en aura plus aucune dans les câbles EDF.
C’est pourquoi l’agence des Nations unies a lancé une campagne pour aider les gens à « identifier, réfuter et signaler les théories du complot afin d’éviter qu’elles ne se propagent davantage ».
La campagne est menée en partenariat avec la Commission européenne, Twitter et le Congrès juif mondial. L’UNESCO a créé une boîte à outils visant à « démystifier » de telles théories et à dénigrer toute personne qui ose prétendre que les gouvernements n’agissent pas de manière équitable et transparente.
« Ils renforcent et légitiment les idées fausses sur la pandémie et renforcent les stéréotypes qui peuvent alimenter la violence et les idéologies extrémistes »
Au-dessus de tout parti idéologique, à rebours de quelque chapelle dogmatique qui soit, Weil brille par son grand amour – à entendre au sens de quête – pour la vérité : « J’aimais mieux mourir que vivre sans elle. » (S. Weil, Autobiographie spirituelle). Cette vérité, qui a valeur de bien absolu, ne peut être conçue que comme transcendante, surnaturelle, et par là même anhistorique, approchée de plus ou moins près par les différentes civilisations. Passionnée par le génie de l’esprit grec, elle voit dans ses mythes et dans la philosophie antique une anticipation, une préfiguration de ce qui sera pour elle l’image culminante de la vérité : la figure du Christ.
« Le Christ aime qu’on lui préfère la vérité, car avant d’être le Christ il est la vérité. Si on se détourne de lui pour aller vers la vérité, on ne fera pas un long chemin sans tomber dans ses bras »
Après AgroParisTech les carabins semblent prendre conscience de la folie qui a saisi leurs aînés devenus covidistes fous.
Magnifique lettre d’une étudiante en médecine qui écrit au président de l’ordre de son département pour lui expliquer pourquoi elle abandonne ses études de médecine en 4 ième année sous forme de commentaire du serment d’Hippocrate qui remet bien l’église au milieu du village.
Mérite d’être diffusée largement et en particulier aux associations ou syndicats d’étudiants en médecine.
« Comment prononcer les mots suivants « Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. » ou encore « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. », alors que nous avons tous pu constater durant ces deux années à quel point le milieu politique et médical est parfois corrompu et ce au plus haut niveau, par les laboratoires pharmaceutiques et les cabinets de conseil privés ? »
Mes amis, dans ce 4-4-2, je vais vous faire découvrir une facette du président Vladimir Poutine que les médias se gardent bien de divulguer. C’est l’histoire d’un enfant qui vient de parents très modestes, vivant au milieu du peuple dans un appartement communautaire de 20 m² au fin fond de Leningrad. Le garçon turbulent va connaître deux épisodes qui vont changer le cours de sa vie et, plus tard, celui de son pays et du monde. C’est avec un très grand plaisir que je vous livre cette vidéo, afin que vous puissiez entendre un autre son de cloche, loin du brouhaha médiatique de la propagande que les intérêts des Américains manient à merveille. Il est temps d’ouvrir les yeux et de penser par vous-même.