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mpox un variant du Covid vaxx

Sott : Sign of The TimesMPOX est en fait un effet secondaire connu du COVID Vax

Sott : Sign of The Times - 05 sep 2024

Les meilleurs médecins du monde entier se mobilisent pour dénoncer la peur de la variole du singe lancée par l'Organisation mondiale de la Santé, qui sert à dissimuler les effets secondaires connus liés aux vaccins à ARNm contre la COVID.

   

Selon le Dr Poornima Wagh, virologue de premier plan, nous ne sommes pas confrontés à une épidémie de variole du singe dans le monde, comme le prétend l'OMS. Comme l'explique le Dr Wagh, les symptômes ressentis par les personnes diagnostiquées avec la variole du singe sont en fait un effet secondaire connu des injections de Covid : la maladie vésiculeuse auto-immune.

Des cas de variole du singe sont actuellement signalés dans les pays hautement vaccinés du monde entier, tandis que les pays moins vaccinés ne signalent aucun cas.

Les maladies vésiculeuses auto-immunes sont un groupe d'affections cutanées rares qui surviennent lorsque le système immunitaire de l'organisme attaque les protéines cutanées, provoquant des ampoules et une inflammation. Les deux types les plus courants sont le pemphigus et la pemphigoïde bulleuse :

- Pemphigus : Cette affection provoque la formation de cloques sur la peau et les muqueuses, comme la bouche, le nez, la gorge, les organes génitaux et les yeux. Les ampoules peuvent être molles et se briser facilement, formant des plaies douloureuses. S'il n'est pas traité, le pemphigus peut être mortel.
- Pemphigoïde bulleuse : Cette condition provoque des lésions ressemblant à de la ruche et de grosses cloques qui démangent et qui sont remplies de liquide. Les ampoules peuvent s'ouvrir et former des ulcères. La pemphigoïde bulleuse survient souvent chez les personnes âgées et disparaît généralement dans les cinq ans.

D'autres types de maladies vésicantes auto-immunes comprennent la pemphigoïde gestationnelle, la pemphigoïde des muqueuses et les dermatoses bulleuses auto-immunes à IgA.

Les complications des maladies vésiculeuses auto-immunes comprennent :

- Infections causées par des ampoules qui s'ouvrent - Cicatrices après la guérison des ampoules
- Difficulté à manger, à avaler ou à respirer dans la gorge ou les poumons
- Maladie des gencives et perte des dents dans la bouche
- Problèmes de vision dans les yeux

Les traitements des maladies vésiculeuses auto-immunes comprennent :

- Médicaments anti-inflammatoires comme les corticostéroïdes
- Antibiotiques comme la tétracycline
- La niacine, une vitamine du complexe B
- Crèmes anti-inflammatoires appliquées sur la peau

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Radio 2.2 avec Perrone

Le Media en 4-4-2Le Pr Perronne sur Mpox : Vaccin, Passeport vaccinal mondial...

Le Media en 4-4-2 - 21 août 2024

Le Professeur Perronne critique les communiqués alarmistes de l'OMS concernant la variole du singe sur Radio 2.2 et lance un appel à tous les Français pour se mobiliser contre le passeport vaccinal mondial.

   

Le Professeur Christian Perronne a rejoint Marcel D. sur Radio 2.2 pour discuter de la variole du singe. Il a notamment critiqué les réactions des autorités sanitaires, soulignant certains aspects qu’il juge alarmistes.

Enfin, il a lancé un appel urgent aux Français, les invitant à se battre contre le projet de passeport vaccinal mondial voulu par l’OMS, qu’il considère comme une menace directe pour nos libertés.

« Bientôt on pourra plus sortir de chez soi, prendre le métro, voyager, travailler, aller au restaurant, avoir une vie sociale si on a pas reçu tous les vaccins. Il faut vraiment que tous les Français, tous les Européens, tous les citoyens du monde soient extrêmement vigilants, se révoltent et refusent cette ignominie. »

Christian Perronne

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Fauci Monkeypox

The Defender9,8 M$ accordés l'an passé par Fauci pour un traitement contre la variole du singe

The Defender - 02 juin 2022

L'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, dirigé par le Dr Anthony Fauci, a versé l'an dernier 9,8 millions de dollars à des chercheurs gouvernementaux pour tester un traitement contre la variole du singe. Certains ont qualifié le moment choisi de "curieux" compte tenu de la récente épidémie du virus.

   

L’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci, a versé l’an dernier 9,8 millions de dollars à des chercheurs gouvernementaux pour tester un traitement contre la variole du singe, selon le National Pulse.

Selon les National Institutes for Health (NIH), qui supervisent le NIAID, la recherche a commencé le 28 septembre 2020 et se terminera le 27 septembre 2025. Son objectif est de réaliser un “essai randomisé, contrôlé par placebo, sur la sécurité et l’efficacité du tecovirimat pour le traitement des patients atteints de la maladie du virus du monkeypox.” Il n’est pas clair si la subvention prévoyait des paiements en 2020.

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