Quant aux injections, elles ne sont aucunement des vaccins, mais sont de la haute biotechnologie, avec du nanohydroxide ou oxyde de graphène, des nanotransmetteurs, des nano senseurs ainsi que des "choses" nanométriques de type parasitaire, inconnues même des chercheurs confirmés qui les analysent en ce moment dans le monde entier.
L'article est un bon récapitulatif sur la dangerosité des injections actuelles.
Les nanotechnologies identifiées et leur analyse permettent de comprendre ce que l’industrie pharmaceutique et ceux qui agissent en sous-main veulent faire des citoyens.
Engagement tenu, donc, puisque cette décision avait déjà été évoquée le 11 février, dix jours après que les restrictions ont été levées et que les doses de rappel ont été rendues facultatives.