Après Google Facebook ou Uber (qui obligeaient déjà à la vaccination depuis juin), c'est au tour de Disney, Goldman Sachs et les pharmaciens CVS d'imposer ces injections.
La nouvelle analyse s’appuie sur la base de données de Maccabi Healthcare Services, qui compte environ 2,5 millions d’Israéliens. L’étude, dirigée par Tal Patalon et Sivan Gazit de KSM, et portant sur 32 000 individus montre que le risque de développer un COVID-19 symptomatique était 27 fois plus élevé chez les vaccinés, et le risque d’hospitalisation huit fois plus élevé.
Mardi, le ministre israélien de la santé, Nitzan Horowitz, a laissé entendre que le pays arrivait à un point où les passeports vaccinaux ne seraient plus utiles qu’aux personnes ayant reçu une triple vaccination.
« 85-90% des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées. [...] Nous ouvrons de plus en plus de salles de COVID. L’efficacité du vaccin s’amenuise/se dissipe. »
Le groupe pharmaceutique nippon Takeda, qui importe et distribue au Japon le vaccin contre le Covid-19 de Moderna, a déclaré dans un communiqué avoir reçu « des signalements de plusieurs centres de vaccination, selon lesquels des corps étrangers ont été découverts » dans des fioles de vaccin scellées. Après cette annonce, 2 individus sont décédés après s'être fait injecter chacun une dose du lot suspendu.
« Les militaires qui expriment ou diffusent une opposition aux dispositions réglementaires relatives à la vaccination contre la COVID-19 ou une opposition à la politique gouvernementale conduite pour gérer la crise sanitaire, soit oralement, soit par écrit, dans la sphère professionnelle ou sur Internet, y compris par messagerie privée, contreviennent au devoir de neutralité et au devoir de réserve que le statut militaire leur impose (article L. 4121-2 du Code de la défense). Les intéressés encourent une sanction disciplinaire et, le cas échéant, une suspension de fonction. »