À l’image de son cousin du monde de l’entreprise, ses contours sont larges et recouvrent autant une situation paroxystique, potentiellement lié à un événement traumatique (violences, défaite…), qu’un syndrome d’épuisement installé dans la durée, marqué par l’abattement et la résignation face à un monde qui sombrerait inexorablement.
Pour faire face à ce phénomène de « burn-out militant », l’organisation Ulex propose des formations inédites sur la gestion des risques psycho-sociaux dans les organisations militantes. En mai 2022, dans les Pyrénées catalanes, une quarantaine de militant·es de 19 à 58 ans, venues de toute l’Europe, se réunissaient durant une semaine pour découvrir les secrets du « militantisme régénératif ».
« Nous vivons dans une culture du burn-out inhérente à la société capitaliste. Il ne s’agit pas de remettre le compteur à zéro pour continuer, mais de développer de nouvelles pratiques qui préfigurent le monde que nous voulons et qui soient capable de le soigner : c’est cela l’activisme régénératif »
Cela fait un an que Emmanuel Macron a annoncé l’une des mesures les plus honteuses de ces dernières décennies : la vaccination obligatoire pour le personnel soignant. Surtout depuis que l’on sait, de source officielle, que le « vaccin » n’empêche pas la transmission du virus… En leur donnant la parole, nous avons décidé de rendre hommage à notre manière à ces citoyens qui refusent de s’injecter un traitement en phase expérimentale pour conserver leur emploi.
Le propre du déferlement totalitaire, c’est justement que l’idéologie prime la réalité. Peu importent les faits, le discours délirant des élites se suffit à lui-même. Elles peuvent dire tout et son contraire, tordre le bras autant qu’elle veulent aux données et aux faits, affirmer en rafales des mensonges éhontés, who cares ? La beauté du délire est qu’il anéantit notre humaine condition et donc précisément notre soumission au réel !
Le fait est tout sauf anodin : dans ses fonctions de ministre de la santé, Olivier Véran avait ainsi multiplié les mensonges et les expressions honteuses sans la moindre vergogne et avec les encouragements sonores de la petite frappe qui lui tient lieu de chef (« Tiens bon, on les aura ces connards !« ).
« La violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence. »
Toute analyse objective et surtout pertinente sera systématiquement niée ou traitée comme une thèse conspirationniste par des chiens de garde prébendés d’un dogme idéologique plus fermé que ne le fut celui des inquisiteurs ayant condamné Galilée au bûcher au 16e siècle. Les labels distribués gratuitement par les uns et les autres importent peu. Ce qui importe désormais est d’avoir des lignes divergentes, des opinions hors-cadre, des pistes de réflexion en dehors du carcan très étroit de la pensée dominante.
La bien-pensance est le début d’une forme de tyrannie évoluant d’abord dans l’entre-soi puis peu à peu en une sorte de système de coercition indirect mais lequel ne laisse aucun autre choix aux individus que de se soumettre. L’illustration la plus récente de cette situation est celle de la vaccination dite anti-C19. Aucune loi ne la rendait obligatoire et pourtant tout a été fait pour que le plus grand nombre d’individus se sente forcé se faire vacciner exactement comme des souris de laboratoires coincés dans un labyrinthe devant l’unique sortie possible. Et en cela, tous les États de la planète semblent avoir joué le jeu comme ils l’avaient fait pour la thématique du terrorisme.
La désinformation a été au centre de la propagande en faveur de la « vaccination » Pfizer. Les faits resteront très têtus, mais le rapport remis à la FDA en date du 17 septembre 2021 démontrait à lui seul que ce produit avait une durée de protection limitée à quelques semaines. À la même époque, la situation en Israël apportait des preuves indubitables que la protection était éphémère. Or, beaucoup ont été manipulés par une désinformation qui a fonctionné selon deux principes très simples : affirmer sans preuve, mais affirmer toujours, et insulter tous les auteurs d’une information concrète exposant des faits contraires à la doxa.
Le scénario de la désinformation : le bon, le méchant et la solution
Ils vous feront croire le contraire, normal c'est leur monde inversé et du mensonge perpétuel.
Le ton fataliste a laissé place à un souffle d’espoir. Alors que l’auteur affirmait initialement que « la transition est morte » et l’« utopie bornée », son nouvel ouvrage invite de manière « vitale » à la « révolution »à travers une « utopie éclairée ».
« Il nous faut absolument tout repenser, requestionner, tout déconstruire, déconditionner. Transition ? Non, RÉVOLUTION ! »