Le Pérou fait face à une augmentation inhabituelle des cas de syndrome de Guillain-Barré, une maladie qui provoque une neuropathie aiguë paralysante pouvant entraîner la mort.. En réponse à cette situation préoccupante, le pays d’Amérique latine a déclaré l’état d’urgence sanitaire national pour une période de trois mois.
Selon un communiqué du ministère péruvien de la Santé, « l’urgence sanitaire de niveau national est déclarée pour 90 jours en raison de l’augmentation inhabituelle des cas de syndrome de Guillain-Barré ». Cette mesure concerne les 25 régions du pays, qui compte une population de 33 millions d’habitants.
Le ministre de la Santé, César Vásquez, a déclaré lors d’une conférence de presse : « Nous avons constaté une augmentation significative ces dernières semaines, ce qui nous oblige à prendre des mesures au niveau de l’État pour protéger la santé et la vie de la population ». Cette déclaration d’urgence permettra d’acquérir de l’immunoglobuline pour le traitement des patients atteints au cours des deux prochaines années.
Comme le fait remarquer l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, ce qui déclenche l’ire des promoteurs du covidisme, c’est bien sûr la parution de cette étude rétrospective, qui montre l’efficacité du « protocole Raoult », mais aussi, et peut-être surtout, la mise en ligne de l’intégralité des données de l’IHU sous-tendant l’article, soit les données brutes de tous les patients soignés pour un covid par le professeur et ses collègues. Un matériau inaltérable et accessible, qui fait à lui seul la lumière sur l’incurie, au bas mot, des dirigeants du coup d’État sanitaire et de leurs lieutenants médiatico-« scientifiques ». (E&R)
Avant de procéder à un prélèvement d’organes, les équipes médicales ont l’obligation de consulter le registre national des refus de dons d’organes.
Aujourd’hui, la plupart des CHU refuse des greffes d’organes aux non vaccinés Covid-19, ce qui est totalement inadmissible.
Lors du Live de BonSens, a été évoqué par Maitre Diane Protat le cas d’une femme [Madame X] retirée des listes d’attente de greffes de reins par le CHU de Dijon faute d’être vaccinée contre la COVID-19. Elle a saisit le Tribunal Administratif de Dijon, mais quelques jours avant l’audience, le CHU de DIJON a pris la décision de « changer ses pratiques » et l’a ré-intégrée (ainsi que d’autres patients dans la même situation) sur la liste d’attente des greffes en lui faisant signer un document indiquant qu’elle reconnaissait les dangers de ne pas être vaccinée lorsque l’on est en attente de greffe.
L’exception française, autrefois synonyme de raffinement esthétique et de finesse d’esprit, de galanterie pleine de truculence et de respect pour l’Éternel féminin, ne s’applique plus aujourd’hui qu’à signaler des monstruosités dont plus aucun pays au monde n’oserait prétendre qu’elle font sens.
Entendre l’Académie de médecine (prostituée et corrompue), le Ministre (du naufrage) de la santé prétendre que la-dite suspension se justifie « par des motifs scientifiques et éthiques » donne franchement la nausée. Sans parler du toupet obscène en ce sens d’énergumènes comme le « Pr » Philippe Juvin, lequel avait, souvenons-nous en, bruyamment loué l’étude Surgsiphere contre l’hydroxychloroquine montée par une actrice porno et associés avant d’être piteusement rétractée…
La posture française sur cette question est à la science ce que le fascisme est au respect des droits humains, le viol à l’amour ou la pédophilie à l’éducation…
Le naturopathe suisse George Della Pietra a lancé un nouveau service « SafeBlood Donation » pour fournir du sang propre et non vacciné aux patients ayant besoin de transfusions.
Étant donné que l’approvisionnement général en sang est désormais contaminé par du sang chimique « entièrement vacciné » et chargé de protéines de pointe, la demande de sang pur monte en flèche. Pietra a apparemment vu là une excellente occasion de fournir du sang pur, qui est maintenant plus demandé que jamais.
Qualifiant la campagne d’injection massive du coronavirus (Covid-19) de Wuhan de « crime du siècle », Pietra estime que les injections de covidés à ARN messager (ARNm) « contaminent » le sang et détruisent le système immunitaire.
Si une personne non vaccinée reçoit une transfusion de sang contenant de l’ARNm, des protéines de pointe et tout ce qui est contenu dans ces flacons, elle pourrait également être contaminée, d’où la création du service SafeBlood Donation.
Le Conseil national de la Refondation de Macron n'est pas le Conseil national de la Résistance. François Braun n'est pas Jean Moulin et ceux qui veulent une médecine pour qui peut payer des dépassements ne sont pas ceux qui voulaient une médecine pour tous les citoyens. L'ordre des médecins a collaboré. Il continue et la prétendue Refondation n'est qu'une destruction.
Au contraire, les cancers précoces constituent une menace croissante pour la population mondiale, selon un nouveau rapport publié cette semaine dans la revue Nature Reviews Clinical Oncology.
« Au cours des dernières décennies, l’incidence des cancers précoces, souvent définis comme des cancers diagnostiqués chez des adultes de moins de 50 ans… a augmenté dans de nombreux pays », ont constaté les auteurs de l’étude.
Si les auteurs admettent que l’accès accru aux dépistages a contribué à cette hausse, ils affirment que l’exposition précoce à des produits chimiques nocifs, parfois même in-utero, contribue probablement à l’augmentation des taux de cancer. Le coupable, selon eux, est que l’environnement humain a considérablement changé au cours du siècle dernier et que, combiné à des modifications du régime alimentaire, du mode de vie et du microbiome, la cause de cette hausse pourrait bien être la civilisation elle-même.
Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé "Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech", mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.
La section "Conclusions sur la toxicité" du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes.
Comme tant d'autres, le chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Garches aurait pu être doucettement infâme et se complaire dans un silence prudent, alors qu'il savait que notre pays faisait fausse route et que la pandémie de Covid-19 était gérée à rebours du bon sens, en laissant les médecins traitants au bord du chemin et en remisant au placard les vieux traitements, "pas assez chers, pas assez chics", au profit de prétendus vaccins, pourtant en phase expérimentale, néanmoins utilisés à très grande échelle, sans même prendre en compte les effets indésirables et les décès qu'ils engendraient.
Mais voilà ! Le professeur Perronne n'était pas simplement un praticien et un enseignant. Il était aussi, il était surtout l'homme qui avait géré les crises sanitaires sous trois présidents de la République successifs : Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande. Décidant de peser dans le débat public, il pouvait même caresser l'espoir d'être entendu.
Nous avions convenu dans un précédent entretien avec Vincent Pavan, président de cette seconde association, que nous suivrons leur méthode afin de comprendre en quoi leur message « Un accident cardiovasculaire pour 100 injections (ou myocardite, péricardite, angio-œdème…). La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux » est pertinent. Également membre du Conseil scientifique indépendant, Emmanuelle Darles l'accompagne pour détailler leur calcul à l’occasion de ce débriefing.
Certains professionnels de santé s'indignent que de tels panneaux puissent être visibles en pleine rue.
Le message est sans ambiguïté : les vaccins contre le Covid seraient dangereux. Un message qui s'affiche sur environ neuf panneaux différents à Toulouse. C'est la mairie qui avance ce chiffre, d'après plusieurs remontées de terrain. France Bleu Occitanie est en mesure de confirmer l'existence de deux d'entre eux. Le premier est apparu dès le mois de juillet, sur le boulevard de l'Embouchure, aux Minimes, près du commissariat central. Un autre est visible depuis peu dans le quartier des Trois Cocus.