Parce que son récit ne colle pas aux narratifs atlantistes, seuls autorisés et encouragés dans l’espace médiatique otanien, cette journaliste a rapidement fait l’objet d’une ostracisation et d’une campagne de dénigrement clairement orchestrée par les cercles et les médias français et otaniens sous influence néoconservatrice et mondialiste. Elle a perdu une partie de ses emplois et de ses revenus. C’est la méthode employée par la mafia atlantiste pour dissuader et faire taire
En témoigne la censure par YouTube du reportage après un trop fort succès initial. You tube apparaît donc de plus en plus comme un outil contrôlé par les néocons …
La dette américaine est irremboursable, sauf si une hyperinflation se met en place. Avec cette dernière, la valeur de la dette peut être divisée tout simplement par deux, et c'est EXACTEMENT ce que veulent les États-Unis, détourner l'attention de leur dette.
Et si vous regardez bien cette carte, on voit clairement quels sont les pays qui soutiennent la guerre contre la Russie (dont l'endettement n'est que de 30% vs 130% des US).
Face à la résistance que Moscou a rencontrée pour faire appliquer la résolution 2202 du Conseil de Sécurité, le président Poutine a déclaré qu’il lui restait à libérer Odessa et à joindre la Transnistrie. C’est précisément ce que cherche le Pentagone depuis 2019. D’ores et déjà, il prépare une seconde manche en Moldavie. Non pas qu’il veuille défendre les Ukrainiens, puis les Moldaves, mais parce qu’il entend dépouiller ses propres alliés.
Les chiffres de l’Alliance atlantique, relayés par les agences de presse occidentales, permettent de penser que le peuple ukrainien est uni et résiste grâce aux armes occidentales. Cependant, ceux du Mossad, diffusés par le site turc Hürseda Haber attestent qu’ils sont sans rapport avec la réalité.
Ce phénomène n’est pas nouveau. Pour avoir édité durant la guerre du Kosovo un bulletin quotidien relayant les dépêches des agences de presse occidentales croisées avec celles des agences de presse des Balkans, je n’en suis pas surpris. L’Otan a une longue expérience du mensonge à ses concitoyens. Il ne s’agit pas ici d’exagérations, mais bien de mensonges éhontés. Les lecteurs plus âgés se souviennent qu’ils ont conquis le cœur de tous les Occidentaux, y compris de ceux qui les ont imaginés. À la fin de ce conflit, l’Alliance accepta généreusement de laisser les restes de l’armée serbe (on disait « yougoslave » à l’époque) se replier sous la protection de l’armée russe. C’est alors qu’à la stupéfaction de tous, on vit quantité de chars et d’avions sortir intacts de leurs abris souterrains.
Il n’est certes pas possible, durant une guerre, de savoir les choses avec précision sur un champ de bataille. Les armées elles-mêmes comptent leurs pertes, mais ignorent si les hommes manquants sont morts ou blessés, prisonniers ou en fuite. Les officiers doivent toujours décider dans le flou de la guerre, sans jamais disposer de statistiques précises comme il en existe en temps de paix.
Chers citoyens de Russie !
Avec l’allocution d’aujourd’hui, je prends la parole à un moment difficile – nous le savons tous très bien – un moment charnière pour notre pays, à une époque de changements cardinaux et irréversibles à travers le monde, les événements historiques les plus importants qui déterminent l’avenir de notre pays et nos citoyens, alors que chacun de nous a une énorme responsabilité.
Il y a un an, afin de protéger les personnes sur nos terres historiques, d’assurer la sécurité de notre pays, d’éliminer la menace posée par le régime néonazi qui a émergé en Ukraine après le coup d’État de 2014, il a été décidé de mener une Opération militaire. Et étape par étape, avec soin et cohérence, nous résoudrons les tâches qui nous attendent.
À partir de 2014, le Donbass s’est battu, a défendu le droit de vivre sur sa propre terre, de parler sa langue maternelle, s’est battu et n’a pas abandonné dans des conditions de blocus et de bombardements constants, de haine non déguisée du régime de Kiev, le Donbass a attendu que la Russie vienne à la rescousse.
Pendant ce temps – et vous le savez bien – nous avons fait tout notre possible, vraiment tout notre possible pour résoudre ce problème par des moyens pacifiques, nous avons patiemment négocié une issue pacifique à ce grave conflit.
Mais un tout autre scénario se préparait dans notre dos. Les promesses des dirigeants occidentaux, leurs assurances sur le désir de paix dans le Donbass se sont avérées, comme nous le voyons maintenant, a été un mensonge cruel. Ils ont simplement joué la montre, se sont livrés à des magouilles, ont fermé les yeux sur les assassinats politiques, sur les répressions du régime de Kiev et ont de plus en plus encouragé les néonazis ukrainiens à mener des actions terroristes dans le Donbass. Dans les académies et les écoles occidentales, les officiers des bataillons nationalistes ont été formés et des armes ont été fournies.
Et je tiens à souligner qu’avant même le début de l’opération militaire spéciale, Kiev négociait avec l’Occident sur la fourniture de systèmes de défense aérienne, d’avions de combat et d’autres équipements lourds à l’Ukraine. Nous nous souvenons également des tentatives du régime de Kiev d’acquérir des armes nucléaires, car nous en avons parlé publiquement.
Les États-Unis et l’OTAN ont rapidement déployé leurs bases militaires et leurs laboratoires biologiques secrets près des frontières de notre pays, maîtrisé le théâtre des futures opérations militaires au fil des manœuvres, préparé le régime de Kiev qui leur était soumis, ils avaient asservie l’Ukraine, pour une grande guerre.
Et aujourd’hui, ils l’admettent – ils l’admettent publiquement, ouvertement, sans hésitation. Ils semblent fiers, se délectant de leur trahison, qualifiant à la fois les accords de Minsk et le « format Normandie », de bluff. Il s’avère que tout le temps où le Donbass était en feu, quand le sang coulait, quand la Russie était sincèrement – je tiens à le souligner – elle s’efforçait sincèrement de trouver une solution pacifique, ils jouaient avec la vie des gens, en fait, comme on dit dans les cercles bien connus, avec des cartes marquées [NDLR : le jeu était truqué].
...
Ce sont des armes qui chauffent, qui brûlent, qui aspirent l’oxygène et vous vident les poumons, puis qui après la sous-pression génère une onde de choc provoquant une sur-pression qui termine de vous faire exploser les poumons si vous aviez eu la mauvaise idée de ne toujours pas mourir. C’est vraiment chouette la guerre moderne.
C’est exactement comme la guerre ancienne et d’autrefois, mais en pire. En bien pire.
Alors avant de venir m’expliquer qu’il faut que je j’aille mourir pour l’Ukraine, ou mieux, que je doive envoyer mes fils mourir pour Kiev, j’aimerai bien que ceux qui sont actuellement aux manettes, envoient d’abord les leurs sous les armes thermobariques russes.
Que chacun mesure bien la puissance de feu.
Que chacun comprenne bien la violence de la guerre.
Non, elle n’est pas belle. Elle n’est pas romantique.
C’est un massacre de centaines de milliers de jeunes garçons, de fils de mères russes, ou ukrainiennes et c’est un drame écœurant.
Le laboratoire d’idées (think tank) américain RAND Corporation vient de publier une nouvelle analyse intitulée “Avoiding a Long War. U.S. Policy and the Trajectory of the Russia-Ukraine Conflict” (Éviter une longue guerre. La politique américaine et la trajectoire du conflit russo-ukrainien). Celle-ci a été rédigée par le politologue principal Samuel Charap et la directrice du Centre d’analyse de la grande stratégie américaine Miranda Priebe.
Le résumé de cette analyse se lit comme suit : La discussion sur la guerre russo-ukrainienne à Washington est de plus en plus dominée par la question de savoir comment elle pourrait se terminer. Pour éclairer cette discussion, cette perspective identifie les manières dont la guerre pourrait évoluer et comment les trajectoires alternatives affecteraient les intérêts américains. Les auteurs soutiennent qu’en plus de minimiser les risques d’escalade majeure, les intérêts américains seraient mieux servis en évitant un conflit prolongé. Les coûts et les risques d’une longue guerre en Ukraine sont importants et l’emportent sur les avantages possibles d’une telle trajectoire pour les États-Unis. Bien que Washington ne puisse déterminer par lui-même la durée de la guerre, il peut prendre des mesures qui rendent plus probable une fin négociée du conflit. S’appuyant sur la littérature sur la fin de la guerre, les auteurs identifient les principaux obstacles aux pourparlers russo-ukrainiens, tels que l’optimisme mutuel quant à l’avenir de la guerre et le pessimisme mutuel quant aux implications de la paix. La perspective met en évidence quatre instruments politiques que les États-Unis pourraient utiliser pour atténuer ces obstacles : clarifier les plans de soutien futur à l’Ukraine, prendre des engagements en faveur de la sécurité de l’Ukraine, donner des assurances concernant la neutralité du pays et fixer des conditions pour l’allégement des sanctions à l’encontre de la Russie.
00:30 Désindustrialisation allemande
02:12 Menaces occidentales sur la Turquie, les EAU et la Géorgie
04:58 Général Trinquant, Gamelin gentil sur LCI
07:04 Protectorat polonais et solution coréenne
09:26 Révélations de Naftali Bennett
11:14 Pertes russo-ukrainiennes selon le Mossad
16:00 Offensives d'hiver ?
19:37 Carte des opérations militaires
Le 5 février 2023, un commandant ukrainien a fièrement montré dans une vidéo des drones et des cartouches d’armes chimiques devant être larguées par ces dernières sur des soldats russes. Trois jours plus tard, et malgré l’important battage autour de cette utilisation officielle d’armes chimiques par l’Ukraine sur les réseaux sociaux, et l’interpellation de l’OIAC par plusieurs utilisateurs de Twitter, l’organisation se fait remarquer par son silence.
Il y a trois jours, un commandant d’une unité de reconnaissance aérienne tactique de l’armée ukrainienne, Robert Madiar, a publié sur sa chaîne Telegram une vidéo montrant plusieurs drones, ainsi que des cartouches d’armes chimiques, certaines (vides) étalées sur une table, d’autres (pleines) stockées dans un congélateur. Ces cartouches sont faites pour être larguées par des drones, ce qui rend ces armes chimiques « made in Ukraine » d’autant plus dangereuses que les soldats russes ne les entendront pas arriver.
Des représentants de la mission d’observation de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) se trouvaient dans les environs à ce moment-là et ont consigné les bombardements au fur et à mesure qu’ils avaient lieu. L’OSCE a découvert que les bombardements se sont intensifiés de manière spectaculaire au fil de la semaine jusqu’à atteindre un pic le 19 février, date à laquelle 2026 tirs d’artillerie ont été enregistrés. N’oubliez pas que l’armée ukrainienne bombardait en fait des zones civiles le long de la ligne de contact, occupées par d’autres Ukrainiens.
Nous tenons à souligner que les représentants de l’OSCE ont agi dans le cadre de leurs fonctions professionnelles en recueillant des preuves de première main des bombardements dans la région. Ce que leurs données montrent, c’est que les forces ukrainiennes bombardaient et tuaient leur propre peuple. Tout cela a été documenté et n’a pas été contesté.
Donc, la question que nous devons tous nous poser est la suivante : Le bombardement et le massacre de son propre peuple constituent-ils un « acte de guerre » ?
Nous pensons que oui. Et si nous avons raison, alors nous devons logiquement supposer que la guerre a commencé avant l’invasion russe (qui a été lancée une semaine plus tard). Nous devons également supposer que la prétendue « agression non provoquée » de la Russie n’était pas du tout non provoquée mais était la réponse humanitaire appropriée au meurtre délibéré de civils. Pour affirmer que l’invasion russe n’a pas été « provoquée », il faudrait dire que le fait de tirer plus de 4000 obus d’artillerie sur des villes et des quartiers où vivent des femmes et des enfants n’est pas une provocation ? Qui défendra ce point de vue ?
Personne, parce que c’est absurde. Le meurtre de civils dans le Donbass était une provocation claire, une provocation qui visait à pousser la Russie à la guerre. Et – comme nous l’avons dit plus tôt – l’OSCE avait des observateurs sur le terrain qui ont fourni une documentation complète sur le bombardement tel qu’il s’est produit, ce qui est aussi proche que possible d’un témoignage oculaire à toute épreuve.
Il s’agit, bien entendu, d’une rupture majeure avec le « récit officiel » qui identifie la Russie comme l’auteur des hostilités. Mais, comme nous l’avons montré, ce n’est tout simplement pas le cas. Le récit officiel est faux. Malgré cela, vous ne serez peut-être pas surpris d’apprendre que la plupart des grands médias ont complètement omis de couvrir les activités d’enquête de l’OSCE dans l’est de l’Ukraine. La seule exception est Reuters qui a publié un compte-rendu délibérément opaque le 18 février intitulé « Des voix russes s’alarment de la forte augmentation des bombardements dans le Donbass ».
En voici un extrait ...
01:49 Victoire économique de la Russie
03:15 Succès hypersonique américain
04:25 Frénésie polonaise et destruction de la Russie
09:30 La Russie face à la duplicité occidentale
11:51 Nouvelles de Kiev : chasse à l'homme et corruption
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18:00 Carte des opérations militaires
00:30 Legrand quitte la Russie
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11:22 Nouvelles armes et rideau de fer
14:19 SOS déroute ukrainienne
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28:02 Cartes des opérations militaires