Certes, de nombreux courageux médecins lanceurs d’alerte ont déjà relevé depuis fort longtemps l’inutilité et même la dangerosité de nombre de médicaments. Que l’on pense aux Professeurs Philippe Even et Bernard Debré et leur Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux qui valut la radiation du premier et la vindicte publique du second. Sans même parler de la récente crise sanitaire, dont le statisticien Pierre Chaillot rappelle qu’elle fut une pandémie de... gens testés positifs !
Ainsi donc titre la presse, reprenant probablement un communiqué AFP, lui-même probablement téléguidé depuis le sommet de l’État, nous annonçant en plein commencement des maladies ORL de l’hiver qui arrive.
Prise de pouvoir mondiale de l’OMS : méfiez-vous du nouveau règlement sanitaire international et du traité sur la pandémie, une tyrannie sanitaire jamais connue auparavant dans l’histoire de l’humanité.
M. Andrew Bridgen, membre du Parlement britannique, dénonce le nouveau Règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS et le Traité sur la pandémie comme une prise de pouvoir sans précédent – privant les 194 pays membres de l’OMS, le monde entier, de leur souveraineté sur les questions de santé nationale.
Le nouveau Règlement sanitaire international et le Traité sur la pandémie transféreraient le pouvoir de décider ce qu’est une pandémie et ce qui exige le statut d’urgence de santé publique de portée internationale (USPPI), et littéralement comment toute question de santé doit être traitée au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) – soit un mandat illimité de diktat.
Le directeur général de l’OMS peut décider d’une interdiction pure et simple, accompagnée de sanctions, de l’utilisation de médicaments « interdits par l’OMS », même leur efficacité a dûment été prouvée. C’est précisément ce qui s’est passé pendant la dite pandémie COVID-19. Les médecins et les pharmaciens n’étaient pas autorisés à prescrire, recommander et vendre des médicaments efficaces contre la COVID, car l’OMS l’interdisait.
Ce pouvoir de l’OMS serait élargi en tant que loi internationale, ou plutôt en tant qu’« Ordre reposant sur des règles », le nouveau concept tyrannique choisi par l’élite, pour contourner littéralement toutes les lois nationales et internationales.
Le RSI et le Traité sur la pandémie seront tous deux soumis au vote de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, du 21 au 30 mai 2023. Le vote est prévu le 24 mai 2023. Une majorité des deux tiers est nécessaire pour que le traité soit adopté par les 194 membres de l’Assemblée.
Regardez cette vidéo de 20 minutes de M. Andrew Bridgen, député britannique, expliquant au Parlement britannique pourquoi il faut voter contre le nouveau RSI de l’OMS et le traité sur les pandémies.
Elle admettait néanmoins que l’épidémie de covid était à un niveau très faible. De plus, selon elle, 86 % des personnels soignants ont fait leur première dose de rappel (soit 2 doses sur 4 en tout) dans les Ehpad et 89 % chez les médecins libéraux. La réintégration souhaitée ne concernerait que 1 000 infirmiers sur 4 000 soignants non vaccinés. Le gouvernement, par la bouche du ministre François Braun, a indiqué qu’il suivra cette préconisation.
Dès le lendemain, le syndicat national des professionnels infirmiers réagissait avec virulence. Voici un extrait du communiqué du SNPI, qui s’oppose à la préconisation de la HAS de réintégrer les personnels non vax des hôpitaux et des Ehpad.
Alexandre Penasse : Dans votre ouvrage, vous indiquez que l’épisode sanitaire repose sur deux axiomes : primo, la référence informatique de Nils Ferguson dans la modélisation de l’épidémie ; secundo, la conclusion que la seule possibilité de lutter contre la diffusion du virus consiste à diminuer le nombre de contacts. C’était le début du « narratif ». Quid de cette matrice dans laquelle on est rentré ?
Vincent Pavan : Les simulations numériques de Ferguson vont justifier la prise de décision, en particulier en France. Ferguson est un escroc introduit dans le milieu académique, qui était déjà à la manœuvre à l’OMS en 2009, au moment de la grippe H1N1. Ce fiasco était un peu une répétition générale de ce qu’on a vécu avec le covid. Une commission d’enquête nommée par le Sénat avait conclu à la fausseté de ses prédictions. À nouveau, ses fausses simulations sont allées dans le sens des décisions du gouvernement. L’épidémiologie ne se laisse pas modéliser. La complexité dans la transmission du virus nous échappe complètement et n’est pas susceptible de rentrer dans une épidémiologie « newtonienne ». Le « sans contact » ne repose sur rien. Il a été utilisé pour séparer les gens les uns des autres, imposer le masque et la « distanciation sociale », faire cette publicité atroce de l’enfant qui va embrasser sa grand-mère et l’envoie ainsi mourir à l’hôpital. Ce n’est pas un problème sanitaire mais un prétexte sanitaire.
Ariane Bilheran : Oui, la crise politique s’est manifestée par l’apologie de l’état d’exception, une notion qu’on doit au philosophe Giorgio Agamben, qui a d’ailleurs immédiatement réagi. Il nous explique que quelque chose d’anormal se passe dans les États contemporains : au nom d’une urgence réelle ou supposée, la proclamation de l’état d’exception permet de suspendre ou supprimer nos droits fondamentaux. Ceci pose deux questions : 1) A‑t-on le droit, au nom de la nécessité, de suspendre les droits humains ? La philosophie politique y a répondu par la négative. 2)Lanécessitéenétait-ellevraimentune?L’humanitéétait-elle vraiment en danger de mort ? L’état d’exception est totalitaire, comme le nazisme, qui fonctionnait par décrets mais jamais dans la logique du droit. Quand les politiques commencent à interdire le débat, la controverse et les avis divergents, nous ne sommes plus en démocratie.
Ne nous laissons pas instrumentaliser une énième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.
« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures.Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. »
Car oui, vous n’y couperez pas : vous aurez peur de manquer de chaleur, de nourriture, de lumière. Vous aurez peur que l’Europe soit irradiée ou qu’un conflit nucléaire éclate.
Nos élites nous rappellent, par leur incroyable talent prévisionniste, que gouverner c’est prévoir, vous allez voir ce que vous allez voir.
D’ailleurs, on a vu : ayant su prévoir – avec un brio inégalé – que la France pourrait largement se passer de nucléaire grâce à sa batterie de moulins à vent et de petits panneaux solaires, nos formidables politiciens arrivent à présent et très progressivement à la conclusion que les premiers mois de 2023 pourraient être marqués par autant de tensions dans les rues qu’il n’y en aura plus aucune dans les câbles EDF.
Le plan est limpide. En 30 min ce documentaire vidéo explosif reprend toutes les preuves prouvant l’existence de la « plandémie » qui ont été collectées depuis le début du Covid (Sauf peut-être pour les frenchies, le fait que la loi d’urgence sanitaire a été déposé le 6 décembre 2019 par un sénateur pro-Agenda 2030), un covidiste qui ne renierait pas son culte après cela est tout bonnement irrécupérable.
Après quelques modifications mineures du Règlement sanitaire international approuvées lors de la réunion du mois dernier, l’OMS et les gouvernements membres travaillent sur de nouveaux amendements de grande portée aux règles mondiales. Celles‑ci seront présentées en septembre.
Dans le même temps, les dirigeants de l’OMS et les gouvernements membres élaborent un nouveau traité international sur les pandémies. Cet accord international imminent, qui est encore en cours de rédaction, devrait conférer de nouveaux pouvoirs étendus à l’OMS s’il est approuvé.
« Il s’agit d’une nouvelle prise de pouvoir totalitaire de la part des CDC [centres de contrôle et de prévention des maladies], de l’OMS, de Bill Gates, de Big Pharma, de l’industrie de la guerre biologique, de la République populaire de Chine et d’autres, qui veulent imposer leur tyrannie médicale à la race humaine »