Les MNBC recueillent toutes les informations relatives à vos transactions financières. Les médias sociaux recueillent tous vos contacts personnels et votre profil psychographique. Les caméras Amazon Ring et Google Nest recueillent tous vos mouvements locaux. Les passeports vaccinaux collectent et stockent toutes vos informations de santé. La collecte d’ADN permettra aux élites de lancer une guerre biologique sur des groupes de personnes sélectionnées.
Lorsque tous ces types de systèmes de données seront connectés et intégrés dans une base de données centrale, « Skynet » sera arrivé pour rester et il n’y aura plus de retour en arrière.
La désinformation a été au centre de la propagande en faveur de la « vaccination » Pfizer. Les faits resteront très têtus, mais le rapport remis à la FDA en date du 17 septembre 2021 démontrait à lui seul que ce produit avait une durée de protection limitée à quelques semaines. À la même époque, la situation en Israël apportait des preuves indubitables que la protection était éphémère. Or, beaucoup ont été manipulés par une désinformation qui a fonctionné selon deux principes très simples : affirmer sans preuve, mais affirmer toujours, et insulter tous les auteurs d’une information concrète exposant des faits contraires à la doxa.
Le scénario de la désinformation : le bon, le méchant et la solution
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !
« Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis ! »
Je fais partie de ceux qui ont gagné le privilège d'être aisément en contact avec leurs émotions et de ne pas les redouter. Elles sont des puissances du dedans qui ont vocation à nous inspirer dans notre rencontre avec le réel.
Je confesse volontiers que les procédés les plus brutaux et dévastateurs de la dérive en cours me bouleversent, en particulier lorsqu'ils prennent les personnes âgées, les enfants et les personnes vulnérables pour cible.
Le 28 mai, jour de clôture de la 75e Assemblée mondiale de la santé, grand-messe annuelle qui a rassemblé à partir du 22 mai les 194 États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à Genève en vue de décider de sa politique, l'Alliance internationale pour la justice et la démocratie a organisé au Club de la presse de Genève une conférence de presse intitulée "La centralisation du pouvoir dans les mains de l'OMS menace la démocratie".
Retransmise sur le site Internet de l’association Children’s Health Defense, fondée par l’avocat Robert Kennedy Jr., l’objectif de l’évènement visait à sonner l’alerte sur les amendements au règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS proposés par Washington, pour l’instant rejetés, et sur le "traité sur les pandémies" en cours d’élaboration par l’institution.
En quoi notre société faisait-elle déjà l’expérience d’une forme de « dégénérescence » avant l’irruption de la crise sanitaire ?
L'émergence du phénomène totalitaire est-elle le produit d’une société malade, qui a perdu ses repères ?
Comment les peuples ont-ils été dépossédés de leur capacité à exercer leur esprit critique ?
En quoi nous a-t-on supprimé le droit de mener une « vie héroïque » ?
Quelles sont les principales caractéristiques des personnes susceptibles de participer activement au phénomène totalitaire ? Quels sont les profils de celles qui sont, au contraire, en mesure de lui résister ?
En quoi est-il important de faire un travail sur soi pour être capable de résister à l’embrigadement ?
Le phénomène totalitaire n’agit-il pas comme un aiguillon qui exige que nous revoyions à la hausse l’échelle de nos valeurs et notre conception de la vie ?
En quoi vivons-nous « le prolongement de notre fermeture de cœur » ? Pourquoi la charité est-elle “le remède au totalitarisme” ?