Dans ce graphique, Marcus Lu, de Visual Capitalist, a visualisé les données du Global Footprint Network pour voir le nombre de Terres nécessaires pour soutenir une population mondiale qui vivrait comme les Américains, les Allemands, etc.
Données et méthodologie
Les données utilisées pour créer ce graphique sont énumérées dans le tableau ci-dessous. Les chiffres ont été publiés en 2022 (avec les données de 2018).
Ces estimations sont basées sur l’empreinte écologique de chaque pays, qui est mesurée en hectares globaux (gha).
Elle représente la quantité de terres et d’eau biologiquement productives dont une population a besoin pour produire toutes les ressources qu’elle consomme et pour absorber les déchets qu’elle génère, en utilisant les technologies courantes.
Principaux enseignements de ces données
Les données présentées dans ce graphique mettent en lumière l’impact des différents pays sur la planète.
Les pays qui dépassent leur biocapacité respective sont appelés « débiteurs de biocapacité« . Cela signifie que le pays importe de la biocapacité nette par le biais du commerce, qu’il liquide des actifs écologiques nationaux ou qu’il émet plus de déchets de dioxyde de carbone dans l’atmosphère que ses propres écosystèmes n’en absorbent.
Les pays qui ont un excédent écologique, en revanche, sont appelés « créanciers de biocapacité ». Si tous les habitants de la planète vivaient comme ces pays, nous aurions besoin de moins de Terres et non de plus de Terres.
Jour du dépassement de la Terre
Un autre concept intéressant est le « Jour du dépassement de la Terre » (Earth Overshoot Day), qui marque le moment où la demande de l’humanité en ressources écologiques au cours d’une année donnée dépasse ce que la planète peut régénérer au cours de cette même année. En 2024, le jour du dépassement tombera le 1er août.
En y regardant de plus près, on peut y découvrir des symboles troublants et des références cachées qui en disent long sur la vision du monde que souhaitent promouvoir les organisateurs de l'événement.
Une affiche aux allures de fin du monde
L’affiche représente une ville de Paris méconnaissable, où le peuple est réduit à l’état de pions au milieu d’un monde de consommation. Les couleurs primaires utilisées et les références à l’île au plaisir de Pinocchio donnent à l’ensemble une allure de vieille illustration d’enfance, mais qui annoncerait plutôt la fin d’une époque ou la dernière fête d’un peuple condamné.
L’effacement de la France chrétienne
L’un des éléments les plus frappants de cette affiche est l’absence de références à la religion chrétienne, pourtant profondément ancrée dans l’histoire et la culture française. La cathédrale Notre-Dame, symbole de Paris et de la France, est reléguée en arrière-plan, tandis que la croix des Invalides a été effacée. Cette disparition laisse place à une nouvelle religion païenne, mélange de nihilisme, de satanisme et de superstition persécutrice.
Les symboles de la perversion
Les symboles de cette perversion ne manquent pas sur l’affiche. On peut notamment y voir une référence à l’Atlantide, comme si la capitale française était vouée à disparaître sous les eaux, ainsi qu’un portail étrange derrière l’Arc de Triomphe. Les drapeaux tricolores ont également quasiment disparu de la fresque, remplacés par des symboles progressistes et une propagande mondialiste.
Une vision inquiétante pour l’avenir
Cette affiche des JO 2024 semble annoncer une vision du monde bien sombre et inquiétante, où la religion chrétienne et les valeurs traditionnelles sont effacées au profit d’un nouvel ordre mondial païen et progressiste. Les symboles troublants et les références cachées qui parsèment l’image laissent présager des bouleversements majeurs à venir, tant sur le plan social que culturel et religieux.
On peut se demander quelle vision du monde les organisateurs de l’événement souhaitent réellement promouvoir, et quelles conséquences cela pourrait avoir sur notre avenir à tous.
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