À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure comme d’habitude extrêmement rapide, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées. Pour cela, il a usé de stratégies, de mensonges et de récits fictifs, pour que jamais ne soient sérieusement et concrètement discutés le fonctionnement technique de ces outils et leurs conséquences politiques et juridiques en termes de surveillance de masse. Grâce à une majorité totalement désinvestie et au soutien total de l’extrême droite, la VSA a donc pu être légalisée sur la base de mensonges sapant toujours un peu plus le jeu démocratique.
Le constructeur automobile Ford a déposé une demande de brevet pour une technologie qui permettrait aux véhicules semi-autonomes et entièrement autonomes de reprendre possession de leur véhicule si le propriétaire ne paie pas ses mensualités de prêt ou de location.
Le brevet s’intitule « Systèmes et méthodes pour reprendre possession d’un véhicule« . Il stipule que les futurs véhicules de Ford pourront désactiver « une fonctionnalité d’un ou plusieurs composants du véhicule ».
La technologie de surveillance, fournie par une société appelée Dynamic Crowd Measurement, peut mesurer la densité de la foule en comptant les fréquences des téléphones portables dans une zone spécifique. Les caméras sont également équipées de la capacité de suivre l’humeur de la foule.
Auparavant, cette technologie avait été déployée lors des célébrations du Nouvel An à Sydney.
Un porte-parole du défilé a déclaré que les caméras étaient uniquement utilisées pour « diriger les gens vers des zones moins fréquentées si les zones deviennent trop pleines ».
« La technologie aide à gérer la sécurité de la foule en mesurant les capacités, ce qui permet aux opérations de se concentrer sur une zone qui nécessite une réponse immédiate ou de planifier à l’avance les zones où la foule augmente », a ajouté le porte-parole de Mardi Gras.
« Il n’y a pas de suivi de reconnaissance faciale et il ne peut pas suivre les gens d’un endroit à l’autre. Il fournit des mesures en temps réel qui donnent un instantané de la foule sur l’ensemble du parcours à n’importe quel moment afin d’informer les décisions proactives de gestion de la foule. »
Ils ont également déclaré que les données ont été traitées par les organisateurs du défilé, qui ont alimenté des « métriques spécifiques » aux forces de l’ordre sur le terrain pour diriger les participants. Ils ont insisté sur le fait qu’aucune autre donnée n’a été partagée avec les forces de l’ordre.
L'un de leurs systèmes les plus connus est Face++, qui est utilisé par la police pour retrouver des criminels. Cependant, cette technologie peut également être utilisée de manière beaucoup plus intrusive, à des fins de surveillance de masse, de violation de la vie privée et de discrimination. De plus, les systèmes de reconnaissance faciale ne sont pas infaillibles et peuvent parfois donner des résultats erronés, ce qui peut entraîner des conséquences graves pour les individus concernés.
Le projet Skynet est un système de surveillance et de sécurité national de la Chine qui utilise des technologies avancées telles que la reconnaissance faciale, l’analyse des comportements et des données de masse pour surveiller la population du pays. Le système comprend un vaste réseau de caméras de sécurité, des bases de données de surveillance, des centres de surveillance et de contrôle et des logiciels d’analyse avancés. Sous couvert d’être utilisé pour lutter contre le crime, il a été critiqué pour ses violations de la vie privée et pour le potentiel de surveillance et de contrôle de masse qu’il représente.
Il veut nous faire croire que nous vivons un rêve, alors qu’en réalité, nous sommes piégés dans un cauchemar sans fin de servitude et d’oppression.
En effet, chaque jour qui passe, la vie dans l’État policier américain ressemble de plus en plus à la vie dans la série télévisée dystopique Le Prisonnier.
Diffusée pour la première fois il y a 55 ans aux États-Unis, Le Prisonnier, décrit comme « la rencontre entre James Bond et George Orwell, filtrée par Franz Kafka », abordait des thèmes sociétaux qui sont toujours d’actualité : la montée d’un État policier, la perte de liberté, la surveillance permanente, la corruption du gouvernement, le totalitarisme, la militarisation, la pensée collective, le marketing de masse et la tendance des êtres humains à accepter docilement leur sort dans la vie, en tant que prisonniers d’une prison qu’ils ont eux-mêmes créée.
Peut-être le meilleur débat visuel jamais réalisé sur l’individualité et la liberté, Le Prisonnier est centré sur un agent secret britannique qui démissionne brusquement pour se retrouver emprisonné dans une prison virtuelle déguisée en un paradis en bord de mer avec des parcs et des espaces verts, des activités récréatives et même un majordome.
Bien que luxueux, les habitants du Village n’ont pas de véritable liberté, ils ne peuvent pas quitter le Village, ils sont sous surveillance constante, tous leurs mouvements sont suivis par des drones militarisés, et dépouillés de leur individualité de sorte qu’ils ne sont identifiés que par des numéros.
« Si tout ce que les Américains veulent, c’est la sécurité, ils peuvent aller en prison. Ils auront assez à manger, un lit et un toit au-dessus de leur tête. Mais si un Américain veut préserver sa dignité et son égalité en tant qu’être humain, il ne doit pas courber l’échine devant un quelconque gouvernement dictatorial. »
Ceci posé, d’ici là, d’autres jalons seront posés pour continuer l’âpre combat contre les méchants bouseux et autres pauvres, ces grands pollueurs avec leurs engins bruyants, puants et sales.
Et dans ces jalons, il y a bien sûr les Jeux Olympiques de 2024 qui deviennent progressivement, à mesure que l’échéance approche, d’excellentes raisons pour passer de plus en plus de petites lois contraignantes. Et pour préparer ces lois, pour réduire les résistances inévitables des gueux qui ne comprennent pas la nécessité de se faire calmement aplatir par l’élite auto-proclamée, rien de mieux qu’un peu de propagande pas toujours discrète mais délicatement enrobée avec une étude qui sent la science (et l’inévitable titraille à base de “selon une étude”) ou un petit sondage mitonné (mythonné ?) avec des chiffres à virgule et un écart-type balancé nonchalamment.
Par exemple, on pourra prendre le sujet de la sécurité et le triturer comme il faut sous tous les angles possibles, par exemple en laissant BFMTV lourdement pondérer dessus, et aboutir à la conclusion pratique que les Français sont particulièrement favorable à la multiplication de caméras de surveillance de plus en plus intrusives.
Bien sûr, tout ceci fait mine de s’inscrire dans le contexte pratique de ces Jeux Olympiques qui promettent de grands moments d’organisation pour la Mairie de Paris Et De Ses Surmulots, et d’aussi grands moments de récupération par le gouvernement qui y trouvera largement matière à dépasser ce contexte pour appliquer les bonnes recettes développées bien au-delà.
Il suffit pour s’en convaincre de noter que la question porte sur l’expérimentation de “caméras intelligentes” (adjectif derrière lequel on pourra tout mettre, depuis chatGPT jusqu’à Bruno Le Maire, c’est dire) – caméras que les Français adouberaient donc à 74% et plus en fonction de l’endroit où on les pose – alors que l’article de BFM s’empresse de noter que cette expérimentation durera bien au-delà des Jeux et jusqu’en 2025 (et plus si affinités qu’on trouvera certainement), suite à l’accord commode d’un Sénat décidément pas trop gêné par l’extension du flicage permanent des citoyens.
Le rapport, intitulé « Ministry of Truth: The Secretive Government Units Spying On Your Speech » (Ministère de la vérité : les unités gouvernementales secrètes espionnant vos propos) – une plongée approfondie de plus de 100 pages dans le sujet, a notamment analysé comment le gouvernement britannique a utilisé l’armée du pays pour savoir « à quel point les gens avaient peur » pendant le Covid.
Pour le groupe de défense de la vie privée et des droits civiques Big Brother Watch – qui affirme que le rapport est basé sur des réponses à la loi sur la liberté d’information et des témoignages de dénonciateurs – il s’agissait de créer une façade pour traiter les « fake news », alors qu’en réalité, il s’agissait de mener « une surveillance à grande échelle du public britannique sur les médias sociaux ».
Des chercheurs de l’université Carnegie Mellon ont mis au point une méthode permettant de détecter la forme tridimensionnelle et les mouvements des corps humains dans une pièce, en utilisant uniquement des routeurs Wi-Fi. Les scientifiques affirment qu’ils n’ont pas besoin de caméra ni de capteur LiDAR. Le rapport de recherche indique qu’ils ont plutôt utilisé un système appelé DensePose qui permet de cartographier tous les pixels de la surface d’un corps humain sur une photo. Fait intéressant, les chercheurs de l’université Carnegie Mellon affirment que cette invention est en fait un progrès pour le droit à la vie privée.
Les personnes soucieuses de leur vie privée pourraient bientôt resentir le besoin de transformer leur maison en une cage de Faraday à la Better Call Saul pour se sentir en sécurité. Une équipe de chercheurs de l’université Carnegie Mellon de Pittsburgh, aux États-Unis, a conçu un système capable de « voir » les formes et les mouvements des personnes dans une pièce en se basant sur les signaux du Wi-Fi. Pour ce faire, ils ont utilisé DensePose, un système permettant de cartographier tous les pixels de la surface d’un corps humain sur une photo. DensePose a été mis au point par des chercheurs basés à Londres et des chercheurs en IA de Facebook.
À partir de là, ils ont développé un réseau neuronal profond qui fait correspondre la phase et l’amplitude des signaux Wi-Fi envoyés et reçus par les routeurs à des coordonnées sur le corps humain. Les scientifiques ont publié le mois dernier un article préliminaire sur leurs découvertes sur la revue arXiv. En effet, les routeurs Wi-Fi diffusent en permanence des radiofréquences que vos téléphones, tablettes, ordinateurs et autres appareils électroniques captent et utilisent pour vous mettre en ligne. En se déplaçant, ces fréquences invisibles à l’œil nu rebondissent ou traversent tout ce qui les entoure, les murs, les meubles et même vous.
COVID-19 : Une opération financière mondiale.
L’histoire de la pandémie du COVID-19 n’a pas de sens si on la considère sous l’angle de la santé, de la sécurité et de la science. En revanche, si on la considère sous l’angle de l’argent, du pouvoir, du contrôle et du transfert de richesse, tout est parfaitement logique.
Les confinements, les muselières obligatoires, la distanciation antisociale et la pléthore de mesures complémentaires n’ont rien fait pour protéger ou améliorer la santé publique – ils n’ont jamais été conçus pour le faire.
Les nombreuses obligations nées au début du scénario Covid-19 ont toutes été conçues pour briser délibérément l’économie mondiale et écraser les petites entreprises, ainsi que pour briser l’esprit et la volonté des gens, détruire le tissu social, afin de « reconstruire une société meilleure » conforme aux visions dystopiques des psychopathes qui mènent cette guerre des classes.
Le résultat souhaité est une utopie de milliardaires, dans laquelle ils posséderont et contrôleront la planète sous la forme d’un fief techno-féodal où l’humanité sera marquée numériquement et régulée comme du bétail dans une technocratie super-surveillée.
Ce que cette crise fabriquée camoufle commodément, c’est que nous sommes au milieu d’un effondrement économique total planifié – un effondrement qui était inévitable.
Ce que l’on appelle « l’apocalypse quantique » n’est pas un scénario typique de fin du monde, mais un moment potentiel où les ordinateurs quantiques deviendront si puissants que les méthodes de cryptage existantes pour tout, du mot de passe de votre ordinateur à votre compte bancaire, deviendront inefficaces.
Peu importe la force de votre mot de passe ou la qualité de son cryptage, un ordinateur quantique suffisamment puissant sera capable de le craquer en quelques secondes.
« L’évolution des ordinateurs quantiques crée une menace importante pour la sécurité des données », a déclaré au Mail Online Tim Callan, chief experience officer de la société de cybersécurité Sectigo.
« Leur immense puissance de traitement est capable de briser le cryptage à grande vitesse, laissant des données importantes vulnérables, tout, des détails de comptes bancaires aux dossiers médicaux en passant par les secrets d’État. »
Mais un tel scénario pourrait-il réellement se produire et à quel point s’agirait-il d’une « apocalypse » ?
Ce que les personnes qui mettent en garde contre cette éventualité ne prennent pas en compte, c’est la probabilité que les technologies de cryptage évoluent et deviennent elles aussi plus sophistiquées.
Dans plusieurs années, il est probable que les banques, par exemple, utiliseront des méthodes de sécurité bien plus avancées, voire tireront elles-mêmes parti de l’informatique quantique.
Cela dit, les systèmes obsolètes seraient certainement vulnérables.
Mardi 20 décembre dernier, au début des vacances de Noël les plus chaudes jamais enregistrées, le journal Le Parisien publiait les bonnes feuilles d’un mystérieux rapport des Renseignements Territoriaux, « fuité » à dessein, sous le titre tapageur L’inquiétant virage radical des activistes écologistes. Face à cette annonce ouverte de criminalisation de l’activisme écologiste, le seul à même de stopper les bulldozers du capitalisme mortifère, Les Soulèvements de la Terre ont rédigé une tribune et un appel à la solidarité que Mr Mondialisation soutient, et relaie.
Ce « virage radical » des écolos serait donc le fait des manœuvres cachées d’un regroupement d’« ultra-gauche » récemment converti à la cause écologiste, sournoisement dissimulé sous l’enseigne « Les Soulèvements de la Terre », et non le signe de la radicalité de la situation dans laquelle nous sommes toutes et tous prises jusqu’au cou.
J’ai reçu à nouveau Marc German, spécialiste de la sécurité numérique, qui nous avait déjà donné une interview édifiante sur ce sujet. Aujourd’hui, il évoque plus particulièrement la question de la carte SIM et de la capacité de ce minuscule objet à vous espionner et à tout savoir de vous.
Une interview essentielle pour vous protéger contre la police de la caste.