Lorsque j’étais banquier j’avais accès à plein de chiffres, à plein de comptes en banque couverts ou à découverts.
J’en ai tiré quelques conclusions liées à mes études observationnelles. Cela ne vaut pas une étude randomisée en double aveugle, mais dans la vraie vie, c’est ce que l’on observe, alors ca vaut !
Vous savez quoi ?
Dans le 16ème arrondissement de Paris, vous avez des gens très riches et du personnel de maison très pauvre au sens INSEE du terme.
Le résultat est très clair.
J’avais plus de gens pauvres qui épargnaient que de gens riches qui épargnaient ! Je parle en nombre de gens.
Si évidemment vous prenez la moyenne d’épargne des riches elle n’avait rien de comparable avec la moyenne d’épargne des « pauvres ».
MAIS… il y avait plus d’employés de maison qui n’étaient pas à découvert et qui épargnaient que d’employeurs « riches » qui étaient plus souvent dans le rouge.
La conclusion est simple.
1/ Quand on est pauvre il faut encore plus épargner que quand on est riche.
2/ On prête plus facilement aux riches qu’aux pauvres, donc le pauvre doit se serrer la ceinture et ne peut pas dépenser plus qu’il ne gagne le banquier ne le lui permet pas.
3/ Etre à découvert est tellement coûteux, que c’est un truc de riche, pas un truc de pauvre.
Alors… oui, les pauvres, n’en déplaise aux journalistes de BFM Business qui font du stéréotype patrimonial, épargnent et ils épargnent beaucoup à leur échelle parce qu’ils n’ont pas le choix.
D’où… le retour en grâce des espèces bien évidemment et ce n’est que le début et un très bon début !
L’appauvrissement, déjà plus ou moins âprement débattu ici ou là, ne fait plus de doute, que ce soit pour les étudiants, les travailleurs ou la population en général.
L’insécurité explose. L’analyse objective des flux d’information en France suffit à se convaincre que le sentiment d’insécurité a fait place à un climat véritablement violent ; nombreux sont ceux qui constatent que le pays est devenu franchement dangereux par endroits, et le seul fait que les ministres de l’Intérieur se suivent et se relaient tous pour dire que “non, ce n’est pas si grave” suffit en lui-même à garantir que la situation se dégrade de plus en plus vite.
La situation économique montre d’évidents signes de fébrilité, et ce ne sont pas les derniers articles sur l’immobilier, qui donne le pouls du pays, qui permettront de se rassurer. Désindustrialisation, chômage, éducation en déroute, la situation socio-économique française se détériore de jour en jour.
C’est visible de tous, à l’exception bien sûr de ceux qui, terrorisés de ce que la réalité révèle, refusent de la regarder en face ou ceux qui ont un intérêt bien compris à ne surtout pas la voir, depuis les ministres et certains médias jusqu’à certaines administrations ou associations lucratives sans but dont l’existence même serait remise en cause si, justement, pauvreté ou violence devaient disparaître.
Devant cette situation, ceux qui veulent s’en sortir, échapper à la violence ou à la pauvreté, comprennent que leur destin ne devra surtout pas être remis dans les mains de l’État, ce dernier ayant largement contribué au résultat actuel.
Mais ça, l’État et ses affidés ne veulent pas en entendre parler : la situation est telle, en France, que se passer de l’État est devenu rigoureusement interdit.
Des négociations secrètes ont eu lieu cette semaine à Genève, en Suisse, pour discuter des modifications proposées au Règlement sanitaire international (RSI) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), considéré comme un instrument ayant force de loi du droit international.
Des négociations similaires ont eu lieu le mois dernier pour la rédaction d’un nouveau traité de l’OMS sur les pandémies.
Bien que les deux soient souvent confondus, les amendements proposés au RSI et le traité proposé sur la pandémie représentent deux ensembles de propositions distincts mais liés qui modifieraient fondamentalement la capacité de l’OMS à répondre aux « urgences de santé publique » dans le monde entier, et, selon les critiques, dépouilleraient considérablement les nations de leur souveraineté.
Selon l’auteur et chercheur James Roguski, ces deux propositions feraient passer l’OMS d’une organisation consultative à un organe directeur mondial dont les politiques seraient juridiquement contraignantes (auraient force de loi).
Elles permettraient également d’étendre considérablement la portée et le champ d’application du RSI, d’instituer un système de certificats et de « passeports » sanitaires mondiaux et de permettre à l’OMS d’imposer des examens médicaux, des mises en quarantaine et des traitements.
Selon M. Roguski, les documents proposés donneraient à l’OMS le pouvoir sur les moyens de production pendant une pandémie déclarée, demanderaient le développement d’une infrastructure de RSI aux « points d’entrée » (tels que les frontières nationales), redirigeraient des milliards de dollars vers le « complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques » et supprimeraient la mention du « respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes ».
Mais, pour que le “Je”, ou esprit individuel, prenne le contrôle de l’être qu’il habite, il doit parcourir un long chemin.
Pendant la première partie de ce sentier, le “Je” se tient à l’arrière-plan de l’individu, en retrait, car il ne peut accéder directement à la personnalité (pensée, sentiment ou parole et volonté) pour en prendre la direction. Celle-ci est, dans un premier temps, sous la domination de l’égo.
Et ce n’est pas tout : la mise en œuvre est déjà en cours. Un message qui nécessite des nerfs solides.
L’historien militaire israélien Yuval Noah Harari est auteur et professeur à la faculté d’histoire de l’Université hébraïque de Jérusalem. Des personnalités telles que Barack Obama, Angela Merkel, Emmanuel Macron et Sebastian Kurz, qui font appel à lui comme source d’inspiration et comme conseiller, font l’éloge de cet homme. Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial (FEM) et auteur du livre « Covid-19 : La Grande Réinitialisation » (« Covid-19 The Great Reset »), décrit Yuval Noah Harari comme un brillant futurologue. Lors de ses interventions au Forum économique mondial en 2018 et 2020 ou au Forum de la démocratie d’Athènes en 2020, Harari a parlé du développement technologique et de ce qu’il signifie pour la société, la politique, la religion et l’idéologie.
Dans ses conférences, il rappelle régulièrement qu’il est désormais possible, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, d’observer et de suivre des personnes à tout moment et en tout lieu. À une vitesse très élevée, les algorithmes de l’IA traitent d’énormes quantités d’informations et ont le potentiel de tout mémoriser et de reconnaître dans les données des modèles pour des analyses liées à la personnalité.
« Un système qui nous comprend mieux que nous nous comprenons nous-mêmes peut prédire nos sentiments et nos décisions, peut manipuler nos sentiments et nos décisions et il peut finalement prendre des décisions à notre place. »
Alors que certaines personnes banalisent ce geste, ce refus est tout sauf banal. Il est au cœur de ce que nous sommes, de ce que nous faisons, de ce que nous voulons faire et de ce que nous voulons être.
Nous saurons le 29 novembre prochain lors de la rentrée parlementaire à Québec s’ils pourront y siéger ou non ; s’ils pourront faire le travail pour lequel ils ont été choisis ou non.
La Newsletter de Michel DOGNA
Ceux qui n’ont pas encore compris qu’il ne faut pas compter sur télémensonge qui est pilotée par la seule AFP (la voix de l’ennemi mondialiste) pour savoir ce qui se passe réellement sont vraiment hors-jeu.
Bien qu’il y ait grand danger atomique imminent de la part de deux dangereux tueurs psychopathes Z (UK) et M (FR) dépourvus de toute conscience et d’empathie que le "deep state" nazi-sataniste en plein naufrage utilise pour effectuer les sales boulots de dernière carte à jouer, je me contenterai ici de faire totale confiance à l’invincible avance technologique militaire russe et à la grande intelligence stratégique de Vladimir Poutine.
A travers la série « Collectifs en action », Le Média en 4-4-2 donne la parole à celles et ceux qui se mobilisent et se battent sur le terrain pour la construction d’un monde nouveau. Chaque collectif a sa vision, ses idées et ses méthodes ; cette multitude de solutions proposées permet à chaque citoyen qui souhaite s’engager de trouver le chemin qui est le sien.
« L’esprit Solaris préfigure le monde qui prendra forme demain pour tous ceux qui l’ont voulu »
La réunion a eu lieu au complexe d’innovation et d’éducation de Tekhnograd à VDNKh (le Centre panrusse des expositions à Moscou).
« Je ne vais pas donner d’exemples pour n’offenser personne, mais si un pays ou un groupe de pays n’est pas en mesure de prendre des décisions souveraines, alors c’est déjà une colonie dans une certaine mesure. Mais une colonie n’a aucune perspective historique, aucune chance de survie dans cette dure lutte géopolitique. »