Alors que les préparatifs des Jeux Olympiques de Paris 2024 battent leur plein, l’arrivée des forces de sécurité qataries dans la capitale française suscite autant d’intérêt que de questionnements. En effet, ces derniers jours, des vidéos montrant des véhicules de sécurité qatariens circulant dans les rues de Paris ont émergé sur internet, témoignant de l’implication directe du Qatar dans la sécurisation de cet événement planétaire.
Une coopération renforcée entre la France et le Qatar
Comme le souligne Qatar News Agency, cette présence s’inscrit dans le cadre des accords signés en mars dernier, lors de la visite officielle de l’Émir du Qatar, Son Altesse Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, en France. Les ministres de l’Intérieur des deux pays, Cheikh Khalifa bin Hamad Al Thani pour le Qatar et Gérald Darmanin pour la France, ont paraphé une série d’accords visant à renforcer leur coopération en matière de sécurité. L’objectif principal : garantir la sécurité optimale des Jeux Olympiques de Paris 2024, prévus du 26 juillet au 11 août.
Un déploiement stratégique des forces qataries
Conformément à ces accords, les forces de sécurité qataries joueront un rôle clé dans diverses missions. Elles participeront notamment à des patrouilles à pied, au renforcement du centre national des opérations, à des interventions à cheval et fourniront un appui aérien par drones. Leur expertise en déminage, cybersécurité, détection canine d’explosifs, lutte antiterroriste et gestion des foules sera également mise à profit.
Une délégation qatarie s’était déjà rendue à Paris pour se familiariser avec les installations et la logistique nécessaire. Leur contribution ne se limitera pas seulement aux JO 2024, mais s’étendra à un plan d’action quinquennal (2024-2027) visant à renforcer la collaboration sécuritaire bilatérale entre les deux nations.
Sécurité ou stratégie géopolitique ?
L’implication du Qatar dans la sécurité des Jeux Olympiques soulève des interrogations. Certains analystes se demandent si ce choix ne reflète pas une volonté de prévenir des menaces d’attentats, qu’ils soient islamistes ou issus d’autres acteurs internationaux. En effet, la présence des forces qataries pourrait être perçue comme un message fort de coopération et de dissuasion envers d’éventuelles tentatives de déstabilisation, qu’elles soient d’origine terroriste ou orchestrés par des entités comme le Mossad utilisant des opérations sous faux drapeau, dans une manœuvre pour influencer l’opinion mondiale et justifier le conflit en cours à Gaza.
Les pertes de BlackRock sont plus importantes que prévues et la guerre présente des rentabilités plus importantes que la transition verte.
Larry Fink s’est même inquiété de voir que le dollar est en forte baisse et supplie les investisseurs et les pays de la planète d’acheter des obligations du Trésor américain pour limiter la chute du dollar.
Si le dollar tombe, c’est en quelque sorte la faute des ces ESG et de BlackRock, le marché s’est restreint et l’entre soi ne peut pas générer des profits à la hauteur des espérances des placements.
Macron a été obligé d’acheter des obligations américaines tout en négociant la captation de l’épargne des français.
Si nos impôts sont la ressource majeure de ces voleurs, la récession a fait baisser les rentrées fiscales et limitent les flux en direction de ces fonds de placement, puisque le militaire a monopolisé les dons envers l’Ukraine et Israël.
En conséquence, Larry Fink a peur pour sa personne et a reçu des menaces suffisamment sérieuses pour demander une protection rapprochée pour sécuriser ses déplacements.
Tremblez messieurs, vous récoltez ce que vous avez semé.
BlackRock a multiplié par deux les dépenses de sécurité pour son PDG Larry Fink, alors que les investissements ESG suscitent de plus en plus de réactions négatives
BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, a considérablement augmenté les dépenses de sécurité de son PDG Larry Fink au cours de l’année écoulée, selon des documents déposés auprès des autorités boursières.
Ces dépenses comprenaient 216 837 dollars pour l’embauche de gardes de sécurité et 563 513 dollars pour la mise à jour d’un système de sécurité au domicile de M. Fink.
BlackRock a commencé à fournir des services de sécurité à M. Fink en 2022 à la demande du conseil d’administration, selon des documents déposés l’année dernière. À l’époque, la société a engagé une société de sécurité tierce pour faire une recommandation sur la sécurité dont M. Fink pourrait avoir besoin. En 2022, la première année où la société lui a fourni des services de sécurité, M. Fink a reçu 198 410 dollars pour des agents de sécurité et 177 950 dollars pour un système de sécurité à domicile.
Au cours des dernières années, M. Fink et BlackRock ont été critiqués par des politiciens et des experts conservateurs (ainsi que par certains activistes libéraux) pour l’utilisation par la société des principes ESG dans ses produits d’investissement. Nombre de ces groupes estiment que la décision de M. Fink d’intégrer l’environnement, le développement durable et la gouvernance comme l’un des nombreux facteurs de sélection des investissements est une tentative d’imposer des idéologies de gauche aux entreprises. En réalité, cette pratique vise simplement à fournir une vision plus holistique de l’avenir d’une entreprise en comptabilisant les facteurs de risque et les opportunités au-delà de ses seules performances financières.
Dans sa lettre annuelle aux actionnaires pour 2020, M. Fink a annoncé que BlackRock, qui gère quelque 10 000 milliards de dollars, placerait le développement durable au cœur de son approche en matière d’investissement. Cette décision a placé BlackRock et Fink dans le collimateur de certains responsables républicains, qui ont estimé qu’il s’agissait d’une forme de sélection idéologique discriminatoire à l’égard de certaines entreprises.
Plusieurs élus républicains ont alors cherché à mettre fin aux contrats passés avec BlackRock pour les fonds publics qu’elle gérait.
Au Texas, l’État a retiré un fonds d’éducation de 8,5 milliards de dollars géré par BlackRock. En Floride, le gouverneur républicain Ron DeSantis a menacé de trouver un autre gestionnaire pour les fonds publics gérés par BlackRock. M. DeSantis a réussi à retirer à BlackRock 2 milliards de dollars d’actifs sous gestion, mais en janvier dernier, BlackRock gérait encore 13 milliards de dollars pour le compte de l’État.
La réaction personnelle à l’encontre de M. Fink a atteint son paroxysme lors des débats des primaires républicaines à la fin de l’année dernière. Lors d’un débat en décembre, M. DeSantis et l’investisseur en biotechnologie Vivek Ramaswamy se sont attaqués à BlackRock. M. DeSantis a vanté le fait qu’il avait « retiré 2 milliards de dollars » à la société, tandis que M. Ramaswamy a qualifié M. Fink de « roi du complexe industriel de l’évasion ». Ces propos ont suscité une réponse de M. Fink, qui a qualifié l’affaire de « triste » représentation de l’état de la politique américaine.
M. Fink a évoqué à plusieurs reprises les réactions négatives auxquelles il était confronté, déclarant à une occasion qu’il était surpris par le caractère personnel des attaques. « C’est difficile, parce que ce n’est plus du business, ils le font de manière personnelle », a déclaré Fink à Bloomberg en janvier 2023. « Pour la première fois dans ma carrière professionnelle, les attaques sont désormais personnelles. Ils essaient de diaboliser les problèmes ».
Le plus souvent, M. Fink attribue la fureur à une mauvaise compréhension de ce qu’est l’ESG et au fait que lui et BlackRock ont été pris au piège des courants transversaux de la politique américaine. « Le récit est affreux », a déclaré M. Fink dans l’interview accordée à Bloomberg. "Malheureusement, certains hommes politiques sortent certains passages d’une phrase de leur contexte, et c’est le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui.
BlackRock, comme d’autres institutions financières, est désormais plus tiède sur certains engagements précédemment déclarés en matière de changement climatique, ce que certains considèrent comme le résultat de la pression exercée par les politiciens et les activistes conservateurs.
En fin de compte, les boycotts ont eu peu d’effet sur les activités de BlackRock. Au début de l’année 2023, M. Fink a reconnu que l’année précédente, BlackRock avait perdu environ 4 milliards de dollars d’actifs sous gestion en raison des boycotts dont la société a fait l’objet. Toutefois, selon M. Fink, ce chiffre est peu de chose par rapport aux 230 milliards de dollars d’argent frais que BlackRock a reçus de la part de ses clients américains.
Fortune
Kissinger passera le reste de l’éternité à concevoir de vaines ruses diplomatiques et des stratagèmes visant à accroître les chances inexistantes de l’Enfer de vaincre le Paradis.
Lors d’une conférence de presse annonçant cette nomination, Satan a déclaré que même s’il savait qu’il n’avait aucune chance en enfer de réussir dans sa guerre mondiale contre Dieu, il espérait néanmoins que Kissinger, en injectant des notes de gravité et de realpolitik dans les efforts stratégiques et diplomatiques infernalement désespérés du Royaume du feu de l’enfer, rendrait au moins cette entreprise vouée à l’échec plus intéressante.
De retour sur Terre, le président américain Joe Biden a exprimé l’espoir que la mission de Kissinger en Enfer ouvrirait un nouveau chapitre dans les relations entre les États-Unis et l’Enfer. «Puisque nous venons de payer Israël pour qu’il assassine 20 000 civils palestiniens, et que nous lui avons fourni les armes, le Diable doit regarder les États-Unis avec tendresse à ce moment critique de notre histoire», a déclaré Joe Biden. «Nous avons bon espoir que Henry Kissinger négociera bientôt un accord inaugurant une nouvelle ère dans laquelle les États-Unis et le Diable travailleront en étroite collaboration pour atteindre nos objectifs communs. Comme je l’ai toujours dit, si Kissinger peut aller en Chine, il peut très bien aller en enfer».
Imaginez ne serait-ce que 30 secondes, un monde où toutes vos pensées, vos désirs, vos fantasmes, vos bêtises, vos écarts petits et grands seraient connus.
Imaginez un peu ceci.
Ce serait un enfer absolu.
Un monde de transparence totale serait un monde infernal.
La vie en société nécessite bien souvent une certaine forme d’hypocrisie et l’hypocrisie est d’ailleurs exigée par les normes sociales.
Imaginez un seul instant dire à tous et chacun exactement ce que vous pensez d’eux, comment vous les sentez, comment vous les jugez ?
Dans un tel monde, au bout d’une heure nous serions tous en train de nous entretuer sur fond d’insultes ou de sentiments de trahison.
Concernant les gens « dangereux ».
Estrosi veut plus de caméras et plus de reconnaissance faciale, même dans les écoles où l’on fouille désormais déjà les sacs de nos enfants d’une manière ahurissante et totalement contre-productive.
Croyez-vous un seul instant que le terroriste en Kalachnikov se masque ? Pensez-vous une seule seconde qu’une caméra va l’arrêter ?
C’est d’une naïveté confondante et confinant à la stupidité la plus totale à moins et c’est plus grave que ce soit de la manipulation basée sur des mensonges.
Et c’est évidemment cette solution hélas.
Il veut nous faire croire que nous vivons un rêve, alors qu’en réalité, nous sommes piégés dans un cauchemar sans fin de servitude et d’oppression.
En effet, chaque jour qui passe, la vie dans l’État policier américain ressemble de plus en plus à la vie dans la série télévisée dystopique Le Prisonnier.
Diffusée pour la première fois il y a 55 ans aux États-Unis, Le Prisonnier, décrit comme « la rencontre entre James Bond et George Orwell, filtrée par Franz Kafka », abordait des thèmes sociétaux qui sont toujours d’actualité : la montée d’un État policier, la perte de liberté, la surveillance permanente, la corruption du gouvernement, le totalitarisme, la militarisation, la pensée collective, le marketing de masse et la tendance des êtres humains à accepter docilement leur sort dans la vie, en tant que prisonniers d’une prison qu’ils ont eux-mêmes créée.
Peut-être le meilleur débat visuel jamais réalisé sur l’individualité et la liberté, Le Prisonnier est centré sur un agent secret britannique qui démissionne brusquement pour se retrouver emprisonné dans une prison virtuelle déguisée en un paradis en bord de mer avec des parcs et des espaces verts, des activités récréatives et même un majordome.
Bien que luxueux, les habitants du Village n’ont pas de véritable liberté, ils ne peuvent pas quitter le Village, ils sont sous surveillance constante, tous leurs mouvements sont suivis par des drones militarisés, et dépouillés de leur individualité de sorte qu’ils ne sont identifiés que par des numéros.
« Si tout ce que les Américains veulent, c’est la sécurité, ils peuvent aller en prison. Ils auront assez à manger, un lit et un toit au-dessus de leur tête. Mais si un Américain veut préserver sa dignité et son égalité en tant qu’être humain, il ne doit pas courber l’échine devant un quelconque gouvernement dictatorial. »
J’ai reçu à nouveau Marc German, spécialiste de la sécurité numérique, qui nous avait déjà donné une interview édifiante sur ce sujet. Aujourd’hui, il évoque plus particulièrement la question de la carte SIM et de la capacité de ce minuscule objet à vous espionner et à tout savoir de vous.
Une interview essentielle pour vous protéger contre la police de la caste.
« Le Parlement fédéral a fixé un plafond de 5 000 militaires qui serviront en soutien pendant le FEM, qui se déroulera du 10 au 26 janvier. Certains d’entre eux seront stationnés directement à Davos, où la réunion annuelle se tiendra du 16 au 20 janvier », peut-on lire dans le communiqué.
D’autres militaires garderont les infrastructures et fourniront des services liés à la logistique et aux opérations des forces aériennes dans toute la Suisse, selon le communiqué. Les soldats seront autorisés à « utiliser des mesures policières coercitives pour mener à bien leurs tâches respectives », précise le gouvernement.
Le nombre de participants au forum n’est pas encore défini. Selon les dernières informations, le chancelier allemand Olaf Scholz, le premier ministre espagnol Pedro Sanchez, le président équatorien Guillermo Lasso et le président colombien Gustavo Petro ont l’intention de participer personnellement au forum de Davos.
Largement reprise par les médias, cette rhétorique remporte, il faut le reconnaître, un succès croissant au sein de la population qui se perd à accuser plus pauvre que lui, pendant que les plus riches se réjouissent. À tel point que certains à gauche, comme Fabien Roussel, ont même flirté avec. Mais, en s’y penchant de plus près, on se rend compte que cet argument repose sur une série de poncifs et qu’il sert à masquer d’autres problèmes plus profonds.
Quelques rappels.
Que ce soit depuis le site de l’Assurance maladie, ou celui des impôts, les vols de données et d’argent se multiplient à cause de la porosité du système proposé par l’État français.
L’état corrompu par les lobbies veut nous imposer une numérisation forcée très consommatrice d’énergie mais en plus opte toujours pour les sociétés les plus foireuses du marché sûrement aux mains de copains et de coquins comme disait un ministre bien placé pour le savoir voici déjà quelques décennies.
Décidément, la sécurité et la bonne santé de chacun d’entre nous, notre protection (voire notre capacité à correctement produire de la valeur ajoutée facilement taxable) est consciencieusement et régulièrement mise en avant pour nous transformer avec la plus parfaite onctuosité en bétail docile et lucratif.
Ce mois de juillet verra donc le déploiement de cette boîte noire sur les nouveaux véhicules européens, afin, là encore, de garantir officiellement la sécurité des conducteurs, l’apprentissage des causes d’accidents aidant à les prévenir, et, plus réalistement, à assurer un cheptel de contribuables de roses et frais incapables de se mettre dans la moindre situation de danger qui pourrait écourter malencontreusement les bonnes années productives (quelle horreur).