Il est reproché au Dr Benoît Ochs
– d’avoir affirmé que les masques étaient toxiques,
– d’avoir manqué de respecter les mesures sanitaires en effectuant des visites à domicile,
– d’avoir un avis très réticent par rapport aux vaccins.
Il lui est en fait reproché d’avoir eu le courage de respecter le serment d’Hippocrate : « Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité. »
« Dans ma patientèle il n'y a eu aucun mort »
Vous pouvez retrouver les 3200 pages d'e-mails mentionnés en cliquant ici
Il est à l'origine du « Comité Corona » constitué de plus de 1000 avocats à travers le monde afin d'ouvrir des procédures dans de nombreux pays, pour justement exposer les faits et tenter de trouver des réponses. Vous pouvez visiter le site du Comité Corona pour avoir plus d'informations.
Nos téléphones collectent des données très personnelles sur notre religion, notre moral ou notre grossesse sans notre consentement. Par exemple, lorsque nous nous connectons sur des sites de santé, nous transmettons des informations qui vont être envoyées à notre insu à des entreprises appelées des data brokers. C’est ainsi que nous recevons des publicités ciblées… Un marché colossal, estimé à 400 milliards d’euros en Europe.
Vous croyez qu’en éteignant votre téléphone, ou votre ordinateur, vous pourrez leur échapper ? Eh bien non, car nous avons découvert qu’ils ont un autre moyen de vous pister, votre carte vitale ! Dans la moitié des pharmacies françaises, les informations sur les médicaments que vous avez achetés sont transmises au plus gros data broker de données médicales au monde, IQVIA. Sans le savoir, 40 millions de Français seraient ainsi pistés.
Votre vie privée les intéresse, Cash Investigation s’est intéressé à eux !
« Quand on est pas conscient de la valeur de la donnée, on est pas conscient du pillage que cela peut représenter »
Pierre-Yves Rougeyron, est le président du Cercle Aristote qui organise depuis septembre 2008 des rencontres avec des intellectuels sur des sujets politiques dans un but de partage civique.
« La Loi, elle-même, a été abrogée par celle du 4 août 1993, parce qu'elle est juridiquement incluse dans le processus de Maastricht. »