Un tribunal allemand cherche à vacciner de force la compositrice juive Inna Zhvenetskaya, survivante de l’holocauste. L’ordonnance, émise le mois dernier, autorise le personnel médical à l’enlever de force de son domicile, en faisant appel à la police si nécessaire, afin de lui administrer deux doses du vaccin COVID19 et de la faire ensuite interner dans l’aile fermée d’une institution psychiatrique.
Un tribunal de la ville allemande de Stuttgart a ordonné la séquestration et la vaccination de force d’une compositrice juive d’origine ukrainienne, survivante de l’Holocauste. Cette incompréhensible décision a heureusement été annulée par une cour d’appel, mais la vieille dame ne se sent plus en sécurité chez elle et a fini par quitter son domicile pour être hébergée par des connaissances, dans un endroit tenu secret. L’idée d’être enfermée et de ne plus pouvoir jouer de la musique la désespère, car c’est ‘ce qui la garde en vie’.
Le média autrichien, qui fut le premier à contacter la vieille dame et qui s’est déplacé pour effectuer un entretien, affirme que, bien qu’elle s’exprime avec une certaine lenteur (en allemand, sa langue principale étant le russe), elle ne souffre pas de problème mental visible et semble avoir un discours tout à fait cohérent. Elle ne semble pas non plus présenter de danger pour elle-même, ni pour autrui.
Comment justifier aujourd’hui l’imposition d’une vaccination forcée, compte tenu de la fin officielle de la pandémie? Il s’agit clairement d’une décision qui ne peut avoir de motif valable, ni sur le plan médical, ni sur le plan juridique. Tout cela sent l’arbitraire et le déni de justice. Le fait que l’ordonnance autorise spécifiquement l’usage de la violence et d’une intervention policière est tout simplement effarant.
« Qu’est-ce qui a pu motiver un tribunal allemand à prendre une décision aussi draconienne, et qui fait inévitablement penser au passé abominable de cette nation? S’agit-il à nouveau d’une situation où le pouvoir judiciaire travaille main dans la main avec le gouvernement pour se débarrasser des personnes âgées, considérées comme des ‘bouches inutiles à nourrir’? Que se passe-t-il en ce moment? Pour moi, ainsi que pour d’autres survivants, c’est tout simplement inconcevable. Et pourtant si, voilà un cas bien réel. Cette dame de 86 ans a du fuir son domicile et se réfugier chez des amis. Mais pour combien de temps? J’espère qu’elle va pouvoir quitter le pays et terminer ses jours dans la tranquillité et la sécurité. Car moi, je ne ferai pas confiance aux allemands. Ils peuvent très bien renouveler cette ordonnance et la mettre à exécution. Tout ceci est glaçant. N’ont-ils vraiment rien appris de leur histoire ? »
Par les modifications des normes la FAA qui assure la sécurité du transport aérien américain fait prendre de grands risques tant aux personnels qu’aux passagers.
Qu’en est-il de l’Aviation civile en France ?
Un rapport de la FAA admet que les électrocardiogrammes des pilotes ne sont plus normaux. Ce rapport a été caché par la FAA.
Steve Kirsh a publié aujourd’hui un rapport dans lequel il partage des informations très, très inquiétantes sur la santé des Américains et des pilotes qui nous font voler partout dans le monde.
« Après le déploiement du vaccin, la FAA a secrètement élargi la plage de paramètres ECG pour les pilotes afin qu’ils ne soient pas punis. On dirait que le vaxx a causé des dommages cardiaques à au moins 50 millions d’Américains.»
COVID-19 : Une opération financière mondiale.
L’histoire de la pandémie du COVID-19 n’a pas de sens si on la considère sous l’angle de la santé, de la sécurité et de la science. En revanche, si on la considère sous l’angle de l’argent, du pouvoir, du contrôle et du transfert de richesse, tout est parfaitement logique.
Les confinements, les muselières obligatoires, la distanciation antisociale et la pléthore de mesures complémentaires n’ont rien fait pour protéger ou améliorer la santé publique – ils n’ont jamais été conçus pour le faire.
Les nombreuses obligations nées au début du scénario Covid-19 ont toutes été conçues pour briser délibérément l’économie mondiale et écraser les petites entreprises, ainsi que pour briser l’esprit et la volonté des gens, détruire le tissu social, afin de « reconstruire une société meilleure » conforme aux visions dystopiques des psychopathes qui mènent cette guerre des classes.
Le résultat souhaité est une utopie de milliardaires, dans laquelle ils posséderont et contrôleront la planète sous la forme d’un fief techno-féodal où l’humanité sera marquée numériquement et régulée comme du bétail dans une technocratie super-surveillée.
Ce que cette crise fabriquée camoufle commodément, c’est que nous sommes au milieu d’un effondrement économique total planifié – un effondrement qui était inévitable.
Le Dr Ryan Cole, pathologiste, a comparé les inconnues actuelles concernant le « sang des vaccinés » au sang contaminé par le VIH qui était utilisé pour les transfusions dans les années 1980.
Les dons dirigés et les dons autologues, ou autodons, sont des options pour recevoir du sang exempt d’ARNm, mais dans les deux cas, il faut que votre médecin soumette un formulaire d’ordre de prélèvement spécial de la Croix-Rouge.
Une campagne de don « Safe Blood » a également été mise sur pied pour mettre en relation les donneurs et les receveurs de sang qui n’ont pas été vaccinés contre le COVID-19.
« S’ils acceptent d’utiliser du sang de non vacciné, cela pourrait être interprété comme un aveu que le sang de vacciné n’est pas sûr et pourrait conduire tout le monde à demander du sang de non vacciné, ce qui créerait alors de graves pénuries de sang pour un bénéfice douteux. »
L’ivermectine a été saluée comme un « médicament miracle » et, selon le rapport mondial sur la science de l’UNESCO, comme un élément essentiel de « l’une des campagnes de santé publique les plus triomphantes jamais menées dans le monde en développement ».
Cependant, depuis le début de la pandémie de COVID-19, les National Institutes of Health (NIH) et les autorités sanitaires affiliées ont vivement recommandé de ne pas utiliser l’ivermectine comme traitement potentiel du virus.
• Bien que la Food and Drug Administration (FDA) ait approuvé l’utilisation de l’ivermectine chez l’homme pour le traitement des maladies causées par des parasites, elle a également insisté sur le fait que l’ivermectine « n’a pas été démontrée comme étant sûre ou efficace » pour le traitement du COVID-19.
La réintégration des personnels de santé non vaccinés a fait l’objet d’un débat houleux en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale mercredi 16 novembre. Pour l'exécutif, qui maintient l’obligation vaccinale des soignants contre la Covid-19, c’est toujours niet, comme l'a rappelé jeudi sur France 2 l'ex-ministre de la Santé et porte-parole du gouvernement, Olivier Véran. Une position inébranlable qui a provoqué la colère de Sylviane Noël, sénatrice de la Haute-Savoie, et de Laurence Muller-Bronn, sénatrice du Bas-Rhin.
Dans un courrier “cosigné par de nombreux collègues sénateurs de tous bords” adressé au ministre de la Santé, François Braun, partagé sur les comptes Twitter de Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn, les deux femmes LR relèvent des “incompréhensions” quant au maintien de cette décision et des “incohérences” des arguments de la tutelle. Les sénateurs mettent en garde contre “l’agonie” du système de santé et appellent à “trouver une sortie de crise”.
Dans cette lettre datée du jeudi 17 novembre 2022, les deux sénatrices font d’abord la comparaison avec des pays comme l’Italie ou la Grève, qui procèdent à la levée de l’obligation vaccinale du personnel soignant. Des "pays dirigés par des inconscients ? Non ! Y remarque-t-on une hausse de la mortalité ? Non ! Des contaminations ? Non !", martèlent les deux sénatrices.
Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn soulèvent ensuite un nombre de contradictions, ou "d’incohérences" pour se référer à leur courrier. Elles rappellent, premièrement, que les rappels de vaccinations contre la Covid-19 ne sont plus obligatoires pour le personnel en exercice. Les soignants vaccinés depuis plus de 6 mois sont ainsi "médicalement parlant dans une situation identique à un soignant qui ne s’est jamais fait vacciner", puisque "l’efficacité du vaccin s’atténue avec le temps".
Les deux sénatrices reviennent ensuite sur le cas de personnels vaccinés, mais atteints de la Covid-19 qui ont été rappelés dans les établissements de santé : une "incohérence" lorsque l’on sait que la "vaccination n’empêche ni la transmission ni la contamination".
Pour les deux politiciennes et les co-signataires du courrier, ces incohérences "seraient risibles si la situation n’était pas si grave". "Pendant ce temps, c’est tout notre système de santé qui s’écroule sous nos yeux : des services de pédiatrie à l’agonie, des EHPAD qui gèlent des lits, des hôpitaux contraints de fermer leurs urgences ou de déprogrammer des opérations, des patients qui meurent dans les couloirs faute de prise en charge ...", alertent-elles.
J’imagine que vous pensez à Google, Twitter, Instagram ou TikTok… Eh bien non, il s’agit de Doctolib. Doctolib, un site de mise en relation entre soignants et patients, qui constitue désormais un quasi-monopole dans l’Hexagone. Paradoxalement, nous ne savons presque rien sur Doctolib, ce géant qui a réussi à se faire oublier.
Qui est à sa tête ? quels sont les projets de ses dirigeants ? Comment ont-ils réussi à s’imposer sur un terrain caractérisé au départ par une forte concurrence ? Qu’est-ce qu’ils monétisent ? Comment ils rentabilisent leur investissement ? En d’autres termes, puisque c’est gratuit, est-ce que c’est nous le produit ? Le journaliste Théophile Kouamouo a fait appel au journaliste Pierre-Philippe Berson, qui a enquêté, avec son collègue Victor Le Grand et pour le magazine Society, sur cette plateforme qui exerce désormais une forme d’ascendant sur notre système de soins.
En tablant sur deux facteurs favorables majeurs :
a. La corruption institutionnelle systémique qui assure une docilité et une absence d’esprit critique au sein de la « communauté scientifique » : ses membres ne veulent surtout pas avoir d’ennuis avec leur hiérarchie ni avec les milieux privés dont il est aujourd’hui exigé qu’ils participent au financement de la recherche, de l’enseignement et de la pratique médicale hospitalière. Se faire « mal voir » de ces partenaires obligés est un luxe qu’à peu près plus personne ne peut se permettre sans en pâtir de lourdes conséquences. Sous les gloussements ravis des politiques, trop heureux de voir ainsi prospérer les « partenariats public-privé » si au goût du jour et soulageant commodément les finances publiques…
b. La très répandue ignorance des mathématiques. Dès lors que des formules alambiquées et savantes sont mises en avant, le 98% des lecteurs des articles (médecins, experts, chercheurs, scientifiques) sont en réalité incapables de comprendre ce dont il s’agit et évidemment encore moins de porter une contradiction éclairée.
Ignorance et complaisance combinées forment un cocktail aussi redoutable pour l’intelligence individuelle et collective que le glycérol et l’acide nitrique !
Cet opposant au Linky avait trouvé un point faible au dispositif : les concentrateurs, qui rendent les compteurs « communicants ». Las de suivre la voie légale qui ne reconnaissait pas l'électrohypersensibilité, il a commencé à en « faucher » une petite centaine avant de se faire pincer.
Enedis a voulu faire un exemple.
MORT D'UN INVISIBLE
Il y a quelques jours, Christophe M. a mis fin à ses jours. Originaire de la Vienne, il vivait, travaillait et militait en Bretagne. Nos routes se sont croisées, il y a déjà un paquet d’années, à la faveur d’activités militantes. Plutôt qu’activité militante, « combat » serait un mot plus juste. Pour lui, se résigner n’était pas une option de vie. Ni se résigner, ni se soumettre.
Devenu EHS – électrohypersensible – il avait dû cesser son activité professionnelle. Il a alors consacré l’essentiel de son temps et de son énergie à faire connaître cette pathologie – méconnue et niée, en dépit des chiffres maintenant officiels de l’Anses, soit 3,5 millions de personnes (en France) en 2018. Il s’est attelé, de diverses manières, à faire connaître la nocivité des brouillards perpétuels d’ondes électro-magnétiques dans lesquels nous baignons tous, ondes qui impactent plus ou moins notre santé, et qui rendent la vie « normale » impossible aux malades : de lourds symptômes douloureux, difficiles à soigner et invalidants, entraînant exclusion scolaire et professionnelle, vie sociale impossible, en tous lieux puisque les ondes sont omniprésentes…. et recherche sans fin de zones blanches – plutôt grises, à ce jour – se raréfiant de plus en plus avec l’arrivée des 5 et 6G. Ces malades ont découvert la réalité d’un confinement total, bien avant la « crise sanitaire » . Et pour eux, ça ne s’arrête pas sur décret gouvernemental !
Dans le microcosme, Christophe était connu en tant qu’intrépide et joyeux militant anti-Linky. Nous, les militant-es Stop-Linky, ne sommes pas nombreux. Il est très difficile de mobiliser, les ondes ne se voient pas – donc elles n’existent pas ou sont inoffensives – et la majorité des gens ont tellement bien digéré le message technophile qu’ils sont persuadés que les problèmes créés par la technologie seront réglés par la technologie. Ignorant – volontairement ou non – que c’est une course sans fin puisque voulant et prétendant résoudre les problèmes qu’elle a générés, la technologie en crée de nouveaux…. Bref, parmi les quelques militants actifs énervés par l’alien vert-fluo (et ses frangins), Christophe était sans doute le plus audacieux, intrépide et activiste. Ses petits bricolages pour désactiver les envahisseurs ont fini par être dénoncés à la police par une « bonne Française ». Enedis, agacé et voulant faire un exemple, a fait traduire notre camarade en justice et lui a demandé une quarantaine de milliers d’euros de dédommagement, demande suivie par le juge. Christophe avait renoncé à faire appel, découragé par son avocat qui prédisait un second verdict plus lourd encore que le premier.
Même si, dans diverses luttes, les « minuscules » remportent parfois de beaux combats contre les « puissants », David ne gagne encore que rarement contre Goliath. Sans emploi ni source de revenus donc incapable de s’acquitter de la somme réclamée, non reconnu dans ses activités de lanceur d’alerte, très isolé en dépit des quelques déclarations de comités de soutiens, Christophe s’est trouvé pris à la gorge… il n’y avait plus qu’un petit pas jusqu’à la corde qu’il s’est passé au cou ce mercredi 28 septembre.
Si on considère le résultat de certains combats, on peut parler d’échec. Il est pourtant tout à fait possible de le regarder autrement. Dans cette société où les injustices, de plus en plus nombreuses, sont d’État, dans ce temps gangréné par l’individualisme, refuser de se soumettre, refuser de se résigner, résister, agir dans le sens du commun et du meilleur, dans quelque domaine que ce soit, c’est déjà une victoire. Contre l’indifférence et le fatalisme. Contre la perte galopante de notre humanité – de notre essence, donc.
Christophe (Linkiller) était mon camarade, mon frère d’armes – et d’âme – mon ami. Personne n’a le droit de le juger, et surtout pas ceux qui n’ont ni son courage, ni son engagement. Ses obsèques auront lieu dans le petit cimetière de St Pierre les Églises à Chauvigny, ce mercredi 5 octobre à 10 h.Le 3 octobre 2022
L’alimentation est un marqueur des inégalités sociales en France. D’après une étude de l’Anses [2], les plus pauvres mangent moins et plus mal que les classes aisées, consommant davantage de sodas, viande, produits industriels. La précarité alimentaire [3] explose, en particulier depuis la crise sanitaire. D’où l’ambition de Vrac et Cocinas, créée en décembre 2020.
Vrac et Cocinas accompagne trois autres groupes, à Montpellier. À l’échelle nationale, le réseau Vrac — Vers un réseau d’achat en commun — compte aujourd’hui plus de 4 500 adhérents et 70 groupements d’achats dans des quartiers prioritaires de la politique de la ville.
« Nous voulons lutter contre les inégalités alimentaires »