Jacinda Ardern, exfiltrée à Harvard University : Ni diplomate, ni juriste, ni universitaire – mais un Triple Fellowship tout de même.
Après les zémmouriens, les reptiliens ?
En tout cas, un crapaud échappé de la Nouvelle-Zélande met en danger l’espèce humaine sur le Nouveau continent.
Dans la semaine où Barry Young, statisticien néo-zélandais auprès de la Santé publique, était arrêté pour avoir divulgué des informations sur l’effarant taux de mortalité post-quacksinale en Nouvelle-Zélande (90% du peuple quacksiné, jusqu’à 21% de mortalité sur certains lots selon l’étude de Young), l’avocat Liz Gunn a déclaré que l’ex-Premier ministre Jacinda Ardern doit être sommé de retourner en Nouvelle-Zélande répondre de ses XXX.
Mais où justement se terre ce Premier ministre de la Quacksine, qui démissionna en janvier 2023 pour être anobli à peine un trimestre plus tard ?
Dans le sillage de Tony Blair, dont elle fut l’heureuse protégée, depuis son départ Mlle Ardern butine son miel d’un poste creux mais ultra-lucratif à l’autre ; ainsi dès avril 2023 le nouveau Premier ministre la nommait envoyée spéciale à un organisme que Ardern avait fondé elle-même (!), le Christchurch Call avec comme mission de «collaborer avec des gouvernements internationaux et des entreprises contrôlant les réseaux sociaux, afin de cibler l’extrémisme et les contenus terroristes en ligne».
Cependant, la catastrophe quacksinale enflant, l’hostilité de son peuple vis à vis de Mlle Ardern devint telle que – Prudence being the Better Part of Valour – elle plongea dans les jupons parfumés de sa mère, la Néo-Connie. Et voilà qu’à l’Université de Harvard, elle bénéficie cette année de trois (vous avez bien lu) Fellowships : 2023 Angelopoulos Global Public Leaders Fellow, Hauser Leader dans le Center for Public Leadership de Kennedy School of Government, ainsi qu’au Berkman Klein Center for Internet and Society, à Harvard Law School.
C’est ce dernier qui est véritablement dans ses cordes : au Centre Berkman Klein elle «étudiera les méthodes pour améliorer les normes de contenu et la responsabilité des plateformes pour les contenus extrémistes en ligne, et examinera la gouvernance par intelligence artificielle, et les problèmes que peuvent provoquer les algorithmes».
À part la joie qui se répandra indubitablement en Nouvelle-Zélande dès que seront rendus publics les montants «gagnés» (grand mot) par Mlle Ardern depuis son départ comme Premier ministre, et surtout, combien «valent» ces Fellowships à Harvard University en sonnant et trébuchant, soulignons que Mlle Ardern n’a aucune formation scientifique.
Des satellites ont repéré des téléphones portables appartenant à des membres de l’église protestante non confessionnelle de San Jose, en Californie. Leur localisation a finalement été transmise à une société privée, qui a ensuite vendu les informations au gouvernement du comté de Santa Clara. Ces données, ainsi que les observations des agents chargés de l’application de la loi sur le terrain, ont été utilisées pour infliger de lourdes amendes à l’église pour avoir enfreint les restrictions du COVID-19 concernant les rassemblements publics.
« Chaque dimanche », témoignera plus tard le pasteur adjoint de Calvary, Carson Atherly, « les officiers me signifiaient un avis d’infraction pendant ou après le service religieux ».
Calvary poursuit le comté pour son utilisation des données de localisation, un outil controversé de plus en plus utilisé par les gouvernements à tous les niveaux – notamment en relation avec l’émeute du Capitole le 6 janvier 2021. Tout en permettant aux forces de l’ordre d’identifier plus facilement les délinquants potentiels, cette pratique, appelée « géorepérage », s’est également imposée comme une question de pointe en matière de protection de la vie privée, soulevant des problèmes constitutionnels impliquant des perquisitions sans mandat et, avec la Calvary Chapel, la liberté religieuse.
« Nous sommes entre l’émergence de cette pratique technologique et le moment où les tribunaux se sont prononcés sur sa constitutionnalité », a déclaré Alex Marthews, président national de Restore the 4th, une organisation à but non lucratif qui se consacre à la protection du quatrième amendement, lequel protège les droits des Américains contre les « perquisitions et saisies abusives ».
Le « géorepérage » commence souvent par un clic innocent. Les applications pour smartphones demandent s’il est possible d’accéder à la géolocalisation afin d’améliorer le service. Lorsque les utilisateurs répondent par l’affirmative, ils ne se rendent souvent pas compte que les applications qui les aident à conduire, à cuisiner ou à prier sont susceptibles de revendre leurs informations à des entités lointaines à but lucratif. Ces informations, ainsi que d’autres renseignements détaillant les comportements et les préférences des personnes, sont précieuses pour les entreprises qui tentent de cibler leurs clients. Selon Grand View Research, le marché mondial de la géolocalisation était estimé à 16 milliards de dollars l’année dernière.
L'on parle déjà d'un partenariat "historique" entre l'OMS et la Commission européenne, signé lundi 5 juin à Genève. Une "initiative historique pour renforcer la sécurité sanitaire mondiale", d'après leur propre communiqué.
Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, déclarait lors de la cérémonie de signature : "La pandémie de Covid-19 a montré l'importance des solutions de santé numérique pour faciliter l'accès aux services de santé". Ainsi, il veut faire du pass européen un "bien public mondial".
Ce futur système de certification numérique mondiale devrait, comme le rapporte l'AFP, "contribuer à faciliter la mobilité et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces actuelles et futures pour la santé, y compris pandémies". Or, il ne s'agirait que d'un premier élément.
À plus long terme, le projet n'est ni plus ni moins qu'un réseau mondial de certification sanitaire numérique de l'OMS, qui doit mettre au point "un large éventail de produits numériques pour améliorer la santé de tous". Là, s'ajoute au pass sanitaire le carnet de vaccination numérique.
"Restreindre les libertés individuelles" pour lutter contre les pandémies à venir, c'était déjà le plan affiché par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Lors de l’assemblée générale annuelle du Parti conservateur uni, ce samedi 22 octobre 2022, une journaliste de Rebel News, Selene Galas, a demandé au nouveau Premier ministre de l’Alberta — province de l’Ouest du Canada — si elle s’excuserait auprès des personnes non vaccinées qui ont été intimidées par le gouvernement.
La réponse de Danielle Smith est sans détour : « Je peux m’excuser maintenant. Je suis profondément désolée pour toute personne qui a été victime de discrimination de manière inappropriée en raison de son statut vaccinal, je suis profondément désolée. Pour tout employé du gouvernement qui a été licencié de son travail, en raison de son statut vaccinal, et je souhaite son retour s’il veut revenir. »
Loin de s’arrêter en si bon chemin, le Premier ministre dit vouloir accorder une amnistie à tous les Albertains accusés d’infractions du confinement.
« Ce ne sont pas des choses normales pour lesquelles on peut recevoir des amendes et être poursuivi en justice. Je vais examiner l’éventail des amendes en suspens et obtenir un avis juridique sur celles que nous pouvons annuler et amnistier […] Nous devons revenir à l’attitude selon laquelle il faut se faire vacciner pour se protéger. (Mais) nous devons nous éloigner de cette attitude qui consiste à diaboliser ceux qui font un choix différent. »
La vidéo commence automatiquement au début de la conférence à 7mn30, par le propos de quelques eurodéputés investis dans la lutte contre la tyrannie sanitaire. Virginie Joron présente le professeur Perronne à 35mn07, qui prend la parole à 37mn30 pour une heure. Il répond aux questions à 1h40mn08, jusqu’à la fin de la vidéo.
Le panorama que dépeint le professeur Perronne montre une claire prise de conscience de sa part, et nous rappelle les deux ans de covidisme tels que nous les avons vécus en France, depuis éclipsés par l’ukrainisme médiatique, avant que l’on tente à nouveau de nous submerger sous une énième « vague » « épidémique ».
Cette vidéo est porteuse de l’en-même-temps macronien de notre époque : elle nous accable, et nous réjouit également.
Après quelques modifications mineures du Règlement sanitaire international approuvées lors de la réunion du mois dernier, l’OMS et les gouvernements membres travaillent sur de nouveaux amendements de grande portée aux règles mondiales. Celles‑ci seront présentées en septembre.
Dans le même temps, les dirigeants de l’OMS et les gouvernements membres élaborent un nouveau traité international sur les pandémies. Cet accord international imminent, qui est encore en cours de rédaction, devrait conférer de nouveaux pouvoirs étendus à l’OMS s’il est approuvé.
« Il s’agit d’une nouvelle prise de pouvoir totalitaire de la part des CDC [centres de contrôle et de prévention des maladies], de l’OMS, de Bill Gates, de Big Pharma, de l’industrie de la guerre biologique, de la République populaire de Chine et d’autres, qui veulent imposer leur tyrannie médicale à la race humaine »
Pendant ce temps, le Royaume-Uni annonce la levée de toutes les restrictions le 21 février et un maire en Nouvelle-Calédonie a publié un arrêté contre le port du masque à l’école.