« Était » car le collectif évolue fortement. Louis Fouché nous propose de nous expliquer ces grands changements : nous lui laissons donc la parole.
« Merci au Média en 442 de m’accueillir. Et merci de me permettre de préciser clairement les choses, si je peux...
- Un vaccin efficace doit ralentir la progression des décès, mais ce n’est pas le cas pour les vaccins « COVID ».
- L’absence d’efficacité est visible à tous les niveaux, de mondial à une classe d’âge en France.
- Les vaccins ne ralentissent pas l’apparition de nouveaux décès mais ils auraient même tendance à l’accélérer.
La première est une maladie grave. Ce n’est pas vraiment le cas pour la COVID puisque les taux de létalité sont, au pire, comparables à ceux de la grippe, et souvent inférieurs, notamment pour les populations de moins de 75 ans.
La deuxième est évidemment l’efficacité du vaccin.
Pour évaluer l’efficacité d’un vaccin, plusieurs méthodes sont possibles comme le calcul de l’efficacité vaccinale (VE). Mais pour faire de tels calculs, il faut connaître la proportion de la population qui est vaccinée mais surtout le statut vaccinal des gens décédés ou hospitalisés en raison du COVID.
Nous avions convenu dans un précédent entretien avec Vincent Pavan, président de cette seconde association, que nous suivrons leur méthode afin de comprendre en quoi leur message « Un accident cardiovasculaire pour 100 injections (ou myocardite, péricardite, angio-œdème…). La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux » est pertinent. Également membre du Conseil scientifique indépendant, Emmanuelle Darles l'accompagne pour détailler leur calcul à l’occasion de ce débriefing.