La pauvre Greta va rentrer dans sa chambre, les -55° de la tempête polaire qui frappe les USA auraient fait désordre avec ses balivernes d’ado. La Suédoise haineuse, bien emmitouflée dans son manteau en renard polaire argenté (mais bio), devra attendre le redoux pour replacer sa légende du réchauffement climatique aux jeunes bobos occidentaux. Décidément, dame Nature n’arrive pas à obéir aux injonctions du GIEC.
Chez nous, de l’autre coté de l’Atlantique, point de tempête polaire, mais des températures printanières qui contrarient un gouvernement qui s’appuie sur la guerre en Ukraine pour priver les Français d’électricité. Du coup, les coupures de courant de janvier, cette répression électrique bornsteinienne, est remise en question. Les ingénieurs sociaux du mondialisme se prennent les pieds dans leur propre tapis de mensonges, on dirait.
La conférence COP27 sur le changement climatique s’est achevée le mois dernier. Les dirigeants du monde entier se sont envolés en jet privé pour l’Égypte afin de discuter de la façon dont les combustibles fossiles chauffaient rapidement la planète jusqu’au point de non-retour, l’humanité étant condamnée si des politiques cruciales en matière de changement climatique n’étaient pas mises en œuvre. Mais pendant que les dirigeants alarmistes se réunissaient dans le désert, les chutes de neige de novembre dans l’hémisphère nord dépassaient la moyenne des cinquante dernières années.
La NOAA et l’université Rutgers ont publié de nouvelles données montrant que la couverture neigeuse dans l’hémisphère nord a atteint le niveau le plus élevé depuis le début des mesures en 1967 et qu’elle est actuellement supérieure à la moyenne sur 56 ans.
Selon un scénario alarmiste très répandu dans les médias, la calotte glaciaire du Groenland est sur le point de perdre ses attaches sous l’effet de la chaleur féroce et sans précédent de l’Arctique et d’arriver dans le salon du lecteur d’un jour à l’autre (j’exagère, mais pas beaucoup).
Pendant ce temps, dans le monde scientifique, les chercheurs s’efforcent de comprendre les causes naturelles du ralentissement soudain du réchauffement estival et de la perte de glace au Groenland depuis 2010. La reconstitution de la glace de mer arctique d’été a été spectaculaire ces derniers temps, le National Snow and Ice Data Center, basé aux États-Unis, signalant que le minimum de septembre de cette année était supérieur de 1,28 million de kilomètres carrés au minimum de 3,39 millions de kilomètres carrés atteint en 2012.