Alors que la Grande Révélation bat son plein, avec la suspension des armes biologiques à ARNm qui semble imminente (et toutes les retombées explosives qui s’ensuivront), on pourrait être pardonné d’avoir négligé l’autre programmation sociale, relativement subtile, qui se fraie de plus en plus un chemin à travers l’opération psychologique de niveau militaire que sont les médias grand public.
Sur ma carte de bingo de l’apocalypse, je compte depuis longtemps la « prohibition » – mais pas seulement pour l’alcool, pour « l’amour » également. Cela vous semble être un peu trop de conspirationnisme ? Eh bien, décomposons les éléments constitutifs de mon titre définitivement-pas-pute à clics-parce-que-je-suis-sournoisement-shadow-bannie…
Tout d’abord, mes prédictions concernant l’interdiction de l’alcool :
J’en ai déjà parlé auparavant, et d’autres ont objecté, ce qui est compréhensible, « mais pourquoi les seigneurs obsédés par la dépopulation voudraient-ils interdire l’alcool alors que l’abus d’alcool contribue à tuer tant de gens ? ». Je réponds que c’est à cause du « paradoxe de l’alcool », un phénomène qui fait que les gros buveurs vivent plus longtemps que les abstinents (oui, vous avez bien lu). L’abus d’alcool ou de toute autre substance est indiscutablement mauvais, et il y a évidemment des buveurs à problèmes qui doivent s’arrêter, mais il n’en reste pas moins que la consommation régulière d’alcool est liée à une longévité accrue. Cela semble s’expliquer par le fait que la consommation d’alcool est très souvent liée à une socialisation accrue – elle a souvent lieu dans des pubs, des fêtes, des pique-niques, etc. – et parce que les effets protecteurs de la connectivité sociale sur la santé sont si puissants qu’ils contribuent à neutraliser bon nombre des dangers pour la santé associés à la consommation d’alcool – faisant de la consommation d’alcool et de la socialisation une activité statistiquement plus saine que l’abstinence seule.
Ainsi, puisque les seigneurs veulent que nous soyons aussi solitaires et isolés que possible (notamment parce que la solitude et l’isolement sont fortement prédictifs d’une mort prématurée), l’un des principaux facilitateurs d’une socialisation régulière et soutenue en Grande-Bretagne – l’alcool – doit disparaître.
Il est vrai que cette nouvelle année s’annonce pleine d’incertitudes et d’inquiétudes… d’aucuns redoutent non pas la fin de l’Histoire, non pas la fin de la civilisation mais carrément la fin de l’humanité… ce serait bien triste, car après des siècles et des millénaires de quête philosophique, poétique, artistique…, les hommes et les femmes n’ont toujours pas élucidé ce que pouvait bien être l’humanité, et il serait tragique que l’humanité disparaisse sans qu’elle ait pu élucider sa nature et accomplir son destin.
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Dmitri Medvedev, vice-président du Conseil de sécurité de la Russie, a émis plusieurs hypothèses futuristes sur ce qui pourrait se passer dans le monde en 2023. Il l’a écrit sur son canal officiel Telegram.
Selon Medvedev, l’année prochaine, le prix du pétrole pourrait passer à 150 dollars le baril, et celui du gaz à 5000 dollars les mille mètres cubes. Il a également envisagé que la Grande-Bretagne revienne dans l’Union européenne. Toutefois, un tel scénario pourrait conduire à la dissolution de l’organisation et à l’abolition de l’euro en tant que monnaie de l’ancienne UE.
« La prise de possession par la Pologne et la Hongrie des régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Création d’un Quatrième Reich à partir de l’Allemagne et de ses satellites. Guerre entre la France et le Quatrième Reich. Le partage de l’Europe, y compris une nouvelle division de la Pologne », a ajouté Medvedev dans le cadre de son hypothèse.
Il a prévu la séparation de l’Irlande du Nord de la Grande-Bretagne, ainsi que l’adhésion à la République d’Irlande. Le vice-premier ministre a envisagé une éventuelle guerre civile aux États-Unis, la séparation de la Californie et du Texas en pays indépendants et la victoire de l’homme d’affaires Elon Musk aux prochaines élections présidentielles.
Medvedev a également évoqué la possible délocalisation de toutes les principales bourses et activités financières des États-Unis et de l’Europe vers l’Asie, la chute du système financier de Bretton Woods, y compris le FMI et la Banque mondiale. En outre, il a suggéré l’abandon de l’euro et du dollar comme monnaies de réserve mondiales et un retour à l’étalon-or.