Vous avez sûrement observé une tendance inquiétante au cours des dernières décennies. Lorsque vous consultez un médecin, il semble passer plus de temps à regarder son ordinateur qu’à vous interroger ou à vous regarder. C’est parce que le ministère de la Santé les a reliés à des bases de données où ils peuvent entrer des symptômes et demander à l’ordinateur quels tests effectuer et quelles pilules prescrire. Une sorte de « paresseux » en médecine, largement contrôlé par les compagnies pharmaceutiques.
Les autorités, les politiciens et les médecins ont de plus en plus entre les mains des informations délivrées directement sur leurs ordinateurs par des opérateurs aux intentions commerciales et politiques. Beaucoup de ces opérateurs opèrent dans un espace mondial en dehors des limites de la réglementation nationale, et ils contrôlent directement les agendas médicaux via des bases de données sophistiquées qui relaient les informations suspectes.
Vous savez sans doute que Big Pharma est pleinement impliqué.
Dernièrement, des médecins libéraux ayant prescrit ces médicaments ont reçu une convocation par leur conseil départemental de l’Ordre des médecins. Mettant en cause leur décision de prescription, l’organisme prévoit rien de moins que des conseils de discipline. Le début d’une nouvelle « chasse aux sorcières à grande échelle », estime le médecin généraliste, Grégory Pamart, toujours suspendu depuis le 15 septembre suite à son refus de recevoir la vaccination contre le Covid-19.
« La chasse aux sorcières à grande échelle a commencée. L'ordre multiplie les convocations.
Mort annoncée de l'article 5 du code de déontologie (indépendance des médecins), un pas de plus vers une médecine de protocole.
Qui restera pour vous soigner ? »