Depuis quelques années, les plateformes comme OnlyFans et Mym connaissent une ascension fulgurante, en particulier auprès des jeunes générations. Ces sites se sont imposés comme de véritables piliers d’un nouveau modèle économique qui mêle réseaux sociaux et monétisation de contenus intimes. Leur succès repose sur un concept simple mais efficace : permettre à tout un chacun, influenceurs ou anonymes, de partager des contenus exclusifs à caractère intime ou sexuel, en échange d’une rémunération. Pour beaucoup, c’est un moyen rapide de gagner de l’argent sans avoir besoin de passer par des intermédiaires traditionnels, comme l’industrie pornographique.
Ce phénomène est soutenu par une culture numérique où la visibilité et la mise en scène de soi sont devenues des atouts majeurs. Sur OnlyFans, les créateurs de contenu peuvent directement capitaliser sur leur popularité en vendant des photos ou des vidéos explicites à leurs abonnés. Cette relation directe entre créateurs et consommateurs a permis à des milliers de personnes de transformer leur image personnelle en une véritable source de revenus. Dans certains cas, cela a même conduit à des fortunes conséquentes, ce qui explique pourquoi ces plateformes attirent de plus en plus d’influenceurs.
Le succès de ces plateformes repose également sur une glorification de la culture de l’instantanéité et de l’argent facile. Le principe de l’abonnement, où les fans payent pour avoir accès à du contenu exclusif, crée une dynamique de demande constante et nourrit le désir de nouveauté chez les utilisateurs. Ce modèle, associé à la viralité des réseaux sociaux, a permis à des personnalités issues de TikTok, Instagram ou encore YouTube de rapidement franchir le pas et de rejoindre ces plateformes pour monétiser leur notoriété.
La situation est d’une gravité alarmante, car un tiers des utilisateurs de ces plateformes sont des mineurs, ce qui signifie que des millions de jeunes sont exposés à des contenus profondément inappropriés et immoraux. Le cas de Pure Human Soul, une youtubeuse de 27 ans qui crée du contenu incestueux avec sa propre mère, représente un exemple frappant de la manière dont les dynamiques familiales privées sont détournées pour devenir des véritables affaires incestueuses. Ce modèle de normalisation perverse des relations familiales s’enracine progressivement dans notre société, au point où ce qui devrait rester privé devient un produit commercial.
Dans le prolongement de cette tendance inquiétante, les sites pornographiques eux-mêmes ne sont pas en reste. Depuis quelques années, une nouvelle catégorie de vidéos gagne en popularité, mettant en scène des scénarios fictifs impliquant des relations intimes entre membres « proches » de la famille, comme des belles-sœurs ou beaux-frères. Ce type de contenu, qui joue sur l’ambiguïté morale et le caractère incestuel, banalise encore davantage l’idée de transgression des frontières familiales en la rendant attrayante et accessible. L’objectif est de susciter un mélange de curiosité malsaine et de voyeurisme, ce qui crée un terrain fertile pour une désensibilisation progressive à l’égard de ce qui devrait être des tabous sociaux inébranlables.
Nous assistons à un phénomène qui rappelle tristement Sodome et Gomorrhe. L’industrie du contenu pour adultes, que ces plateformes alimentent, génère des milliards d’euros de chiffre d’affaires chaque année. Derrière ces profits faramineux se cache une dérive morale inquiétante, où l’argent devient la seule mesure de la réussite, au mépris des conséquences sur les jeunes et la société.
Ces plateformes renforcent l’idée que tout peut être consommé, y compris les liens familiaux, créant ainsi une normalisation pernicieuse de comportements déviants. Cela contribue à un environnement où la moralité est mise à mal au profit de l’audience et du gain financier, laissant les jeunes sans repères face à des contenus qui brouillent les lignes entre la réalité et la fiction, l’acceptable et l’inacceptable.
Elles ne se contentent pas de proposer une manière pour les créateurs de gagner de l’argent, elles participent à un phénomène plus large de sexualisation de la société. En offrant une vitrine quasi-légitime à ces pratiques, elles contribuent à leur normalisation. Qu’il s’agisse de vidéos à caractère incestueux ou de contenus explicitement pornographiques, OnlyFans et consorts permettent de contourner les garde-fous moraux qui existaient encore il y a quelques années.
Protégé vos enfants, c’est une obligation et votre devoir, ils veulent les traumatiser à vie et les emmener en enfer, ils n’ont plus rien à perdre et tente le tout pour le tout pour pervertir et effondrer l’humanité.
En effet, au travers du “LGBêtise” premièrement, ce sont les réseaux pédophiles qui sont aux commandes, en second, c’est la diminution de la population au même titre que les vaccins, les guerres, les maladies, pour l’extinction de l’humanité comment ? Tout simplement en empêchant la reproduction naturelle de l’humain et troisièmement, le transhumaniste pour leur récolte d’argent avec l’industrialisation et le commerce de leurs usines à bébé grâce aux enlèvements ou autres viols que nous connaissons tous dans les tunnels, aider aussi aux travers par des associations (comme l’ASE pour la France et tellement d’autres dans le monde inventé par le plus grand pédophile anglais). Le tout en excuses pour “commercer de l’humain” pour leur plaisir divers.
La suite est de procéder aux “transhumanistes par ventes et contrôle, seulement pour eux et leurs comptes en banque”, ce cocktail est leur plan pour “la continuité du dépeuplement du monde“, (dites vous que les premiers organisateurs de ce système sont ceux qui sont toujours proches des enfants, pensé à Macron enfant). Vous comprenez maintenant ?
Ils vous culpabilisent aux travers de leurs progrès social comme excuse, mais c’est une machine de guerre qu’ils ont mis en place, un lavage de cerveau mondial écrit par les premiers plus grand pédophile du monde. La sexualité, c’est comme la religion, elle doit se découvrir sans orientation ou obligation et elle se doit d’être personnelle et doit rester personnelle et sans exposition, “une découverte personnelle”. À lire : “Pédophilie : histoire de la fabrication d’une évidence contemporaine”. Et aussi du club médiapart : “L’élite et l’oligarchie mondiales pédophiles”
Des images ont été tournées lors d’une énième réunion du conseil d’administration d’une école, au cours de laquelle une mère lit des contenus pornographiques extrêmes dans des livres fournis aux enfants du district.
Ces vidéos semblent maintenant apparaître chaque semaine. La vidéo montre les membres du conseil d’administration des écoles de Pittsford, dans l’État de New York, tentant d’empêcher la mère de lire le contenu choquant alors qu’elle leur demande ce qu’ils vont faire à ce sujet.
Le ministère de la Santé et des Affaires sociales de l’Idaho (IDHW) a mis en œuvre dans les écoles un programme d’éducation sexuelle approuvé par Planned Parenthood, qui encourage les jeunes enfants à étudier la pornographie et leur apprend à cacher aux parents l’historique de leur navigation sur les sites pornographiques.
Selon une vidéo publiée par la Fondation pour la liberté de l’Idaho, « les formateurs pensent que les élèves de troisième année tirent profit du porno » et note que certaines des activités « incluent des élèves qui regardent des dessins animés pornographiques ». Plus inquiétant encore, sur son site web, le gouvernement de l’Idaho enseigne « aux élèves comment cacher la navigation pornographique aux parents ».