En tablant sur deux facteurs favorables majeurs :
a. La corruption institutionnelle systémique qui assure une docilité et une absence d’esprit critique au sein de la « communauté scientifique » : ses membres ne veulent surtout pas avoir d’ennuis avec leur hiérarchie ni avec les milieux privés dont il est aujourd’hui exigé qu’ils participent au financement de la recherche, de l’enseignement et de la pratique médicale hospitalière. Se faire « mal voir » de ces partenaires obligés est un luxe qu’à peu près plus personne ne peut se permettre sans en pâtir de lourdes conséquences. Sous les gloussements ravis des politiques, trop heureux de voir ainsi prospérer les « partenariats public-privé » si au goût du jour et soulageant commodément les finances publiques…
b. La très répandue ignorance des mathématiques. Dès lors que des formules alambiquées et savantes sont mises en avant, le 98% des lecteurs des articles (médecins, experts, chercheurs, scientifiques) sont en réalité incapables de comprendre ce dont il s’agit et évidemment encore moins de porter une contradiction éclairée.
Ignorance et complaisance combinées forment un cocktail aussi redoutable pour l’intelligence individuelle et collective que le glycérol et l’acide nitrique !
Pékin 22 Octobre 2022 Chine, cette date fera référence, dans les livres d’histoire, Xi Jinping vient de virer son prédécesseur Hu Jintao l’ancien Parti communiste chinois, du haut du KPK en direct à la télévision pour que tout le monde puisse le voir.
Clairement, le coup d’État contre Xi Jinping n’était pas seulement une spéculation, Xi a gagné et a brutalement humilié Hu Jintao.
Taïwan va trembler désormais, le président chinois Xi Jinping a déclaré que « son pays chercherait à se réunifier pacifiquement avec Taïwan, mais ne s’engagerait pas à renoncer à l’usage de la force ».
Largement reprise par les médias, cette rhétorique remporte, il faut le reconnaître, un succès croissant au sein de la population qui se perd à accuser plus pauvre que lui, pendant que les plus riches se réjouissent. À tel point que certains à gauche, comme Fabien Roussel, ont même flirté avec. Mais, en s’y penchant de plus près, on se rend compte que cet argument repose sur une série de poncifs et qu’il sert à masquer d’autres problèmes plus profonds.
Quelques rappels.
Au-delà de la dimension sécuritaire, qui dépendra des ordres donnés aux Ukrainiens, cette opération a une dimension politique incontournable. Les autorités locales n’ont pas d’illusions sur l’engagement de cette organisation et déjà les déclarations contradictoires fleurissent : entre Grossi, qui appelle à une mission permanente, et les autorités régionales qui ne parlent que d’une mission d’un jour, le combat politique est ouvert.
Découvrez la seconde partie de son intervention.