Cette pratique proche de l'intimidation est généralement accompagnée de la forte suggestion de venir sans avocat... Dans le climat de répression qui s'abat actuellement sur la résistance, il devient évident que le pouvoir tente un dernière écrémage avant la purge du dernier carré.
Selon nos informations, la police nationale procède actuellement à une campagne perlée de convocations de certains soignants suspendus pour les interroger sur leur position concernant le vaccin. Pour l’instant, les conditions dans lesquelles cette campagne se déroulent sont encore obscures. Mais le mode opératoire paraît assez simple : la police convoque les suspendus officiellement pour un simple entretien, en précisant que c’est une formalité qui ne nécessite pas la présence d’un avocat.
Lors des entretiens, les policiers interrogent les personnes sur les raisons pour lesquelles elles ne veulent pas être vaccinées. On signale des cas où les policiers ont interrogé les soignants suspendus sur leurs opinions politiques.
Une partie de l’interrogatoire porte sur un éventuel exercice illégal de la profession depuis la suspension.
D’une manière générale, les policiers expliquent qu’ils agissent à la demande du Parquet. Plus rarement, il semblerait que certains hôpitaux publics aient pris l’initiative de dénoncer les personnels suspendus pour un hypothétique exercice illégal de la médecine.
D’aucuns considèrent que cette campagne d’information sous les radars et (précisons-le) d’une légalité extrêmement discutable, est un prélude à une campagne permettant de réintégrer les soignants les moins “dissidents”.
Le groupe a remis à la police une liste des crimes que le personnel du centre de vaccination aurait commis, notamment des abus de pouvoir, des voies de fait graves et des homicides par négligence grave.
« Numéro de référence du crime 5222236390. Des preuves irréfutables ont été données à la police d’Avon et du Somerset sur les méfaits et les dangers de ces injections. Quand nous sommes arrivés ce matin, il y avait plus de 300 rendez-vous programmés ici, et la majorité étaient des enfants. Si la police est incompétente dans son devoir en vertu de la loi, ALORS NOUS, LE PEUPLE, AVONS LE DROIT DE REPRENDRE CE POUVOIR. Les Infractions commises sont : Inconduite dans la fonction publique, Coups et blessures volontaires graves, Homicide par négligence grave, Homicide d’entreprise, Complot en vue de commettre tout ce qui précède ».
Comme s’il sortait d’une fiction dystopique, M. Penrose, député de Weston-super-Mare, a proposé que le gouvernement oblige les plateformes en ligne à tenir à jour un score de la véracité d’une personne, déterminé par ses déclarations passées.
Voir les amendements proposés...
Cet appel se conclut par la phrase suivante :
« N’oubliez pas que vous êtes au service de la population, qui compte plus que jamais sur votre sens du devoir. »
Vous trouverez nombres de témoignage sur le site DoublePeine, C'est affreux... Voilà où en est la justice en France...
Dans le même registre, à Liège, un homme a été jugé pour avoir abusé sexuellement d'une vingtaine de jeunes filles. Il était psychologue et travaillait comme expert pour la justice. Son métier : écouter les victimes de viol.