Le développement accéléré de divers vaccins contre le COVID-19 a constitué un effort mondial pour enrayer la pandémie de COVID-19. En conséquence, plusieurs effets indésirables uniques liés aux vaccins ont été observés. La thrombocytopénie immuno-thrombotique induite par le vaccin (TTIV) a été reconnue comme une entité cliniquement distincte avec une prédisposition à la thrombose à des sites inhabituels et des caractéristiques de laboratoire de coagulopathie consomptive en plus d’une séropositivité au test anti-PF4.
Article technique publié par le "Jounal of the Royal College of Physicians of Edinburgh"
Les lanceurs d’alerte qui les dénoncent sont, quant à eux, récompensés
Pfizer et les géants pharmaceutiques agissent-ils dans l’ombre pour museler tout lanceur d’alerte qui détiendrait des informations gênantes sur leurs pratiques malsaines? Difficile de répondre à cette question. Mais, d’après une révélation faite en novembre dernier par un très grand journaliste américain, c’est bien le cas.
Cet article très complet explique beaucoup de choses, de manière simple, à tout individu cherchant à y voir clair au sujet des conséquences de la « vaccinothérapie » de folie faisant rage en France et ailleurs, depuis environ un an et demi.
Depuis, toujours plus de scientifiques entreprennent des recherches sur ce sujet délicat !
Les personnes non injectées courent-elles un danger, voire un grave danger, en côtoyant des personnes « vaxxées » ?
Avec ce second article, qui se base sur des recherches scientifiques dont les résultats sont arrivés en mai 2022, nous verrons que la question ne se pose plus du tout, puisque le fabricant Pfizer lui-même reconnait que les gens « vaxxés » avec son produit projettent des « saletés » mettant en danger leur entourage.
« Comment un vaccin qui reçoit une approbation en 108 jours a-t-il maintenant besoin de 55 ans juste pour publier des informations ? Cela ressemble au début d’une très mauvaise blague. »
Les données publiées par le fabricant américain affirment qu’elle peut réduire le risque d’hospitalisation et de décès. Cette pilule serait efficace contre le variant Omicron. Son taux d’efficacité serait de 89% s’il est pris trois jours après l’apparition des premiers symptômes. Mais comment croire de telles affirmations vu que les promesses n'ont pas été tenues sur le vaccin ?