« Se met en place une architecture qui rendra possible le “crédit social” à la chinoise : le wallet contiendra des marqueurs indiquant qui n’a pas payé ses impôts, ou ses dettes, qui a roulé trop vite, qui a tardivement réglé sa pension alimentaire. Et si le marquer apparaît, l’individu sera interdit d’accès à certains services, ou à certains achats. »
L'auteur revient sur l'état actuel de la surveillance en France avant de s'attaquer au pass sanitaire et aux dangers dont il est la source. L'auteur évoque également l'irrégularité du pass d'un point de vue juridique et politique.
À défaut de l'afficher bien visiblement sur la devanture, ce qui mettrait en péril ces restaurateurs, le bouche-à-oreille fait le boulot. Et les restaurateurs résistants, gagnant en popularité, ne manquent pas de travail comme en témoigne l'un d'eux.
« Je ne veux pas que la police municipale de #Fréjus participe au flicage des habitants, des touristes et des restaurateurs. Créer une catégorie de citoyens qui n’a pas accès aux terrasses de nos restaurants n’est pas acceptable. L’obligation vaccinale déguisée non plus ».