À huit jours du début des Jeux olympiques de Paris, plus d’un million de billets ne sont toujours pas vendus. Les organisateurs se veulent rassurants et rappellent que ces JO ont déjà battu le record du nombre de billets vendus, alors que de nombreuses voix s’élèvent contre le dispositif sécuritaire qui se met en place.
«Plus de 50 000 nouveaux billets vont être remis en vente [ce 18 juillet] dans plus de 30 sports». L’annonce faite par le directeur général délégué du comité d’organisation des Jeux de Paris, Mickaël Aloïsio, le 17 juillet à propos de la vente de billets le lendemain a mis les réseaux sociaux en émoi, à huit jours des JO.
Les organisateurs affirment néanmoins que les Jeux olympiques de Paris auraient déjà dépassé le record du nombre de billets vendus lors de Jeux modernes avec 8,7 millions de tickets vendus, contre 8,3 millions pour Atlanta en 1996. Sur ces ventes, plus de 60% auraient été réalisées pour des visiteurs français.
Mickaël Aloïsio a également fait savoir qu’à partir du 22 juillet des billets seront quotidiennement mis en vente et qu’il y aurait «des opportunités jusqu’à la fin des Jeux».
«Jamais vu un bordel aussi indescriptible dans Paris»
Derrière ces chiffres des ventes de billets pour les Jeux, se trouvent ceux moins reluisants pour les Jeux paralympiques pour lesquels 1,7 million de billets sont toujours en vente. Fin mai, seulement 800 000 places avaient été vendues pour ces épreuves qui se dérouleront du 28 août au 8 septembre.
Mais c’est surtout face au dispositif sécuritaire que la colère gronde : «Jamais vu un bordel aussi indescriptible dans Paris». Sur X (ex-Twitter), le très médiatique avocat Charles Consigny n’y est pas allé par quatre chemins à propos du dispositif sécuritaire mis en place dans la capitale. Pour lui, «la liberté de circuler n’existe plus. Des policiers bloquent tout, partout. Retour au délire des QR codes et autres absurdités administratives».
QR code : des Parisiens et des personnalités excédés
Un agacement partagé par le président des Patriotes Florian Philippot qui dénonce le QR code sur le réseau social X (ex-Twitter), un procédé «même pas utilisé par la Chine pour ses JO ou le Qatar pour la Coupe du monde de football».
Le journaliste Alexis Poulain parle lui de «servitude volontaire et d’aveuglement devant ce qui s’avère être l’antichambre d’une société totalitaire» alors que la chaîne de télévision BFMTV a fait sensation en révélant que même «des éboueurs de la ville sans QR code» avaient été «empêchés d’accéder à la zone».
Les inquiétudes sur l’usage du QR code pour cet événement sportif se doublent d’une crainte en matière de sécurité dans un contexte politique rendu particulièrement incertain en France après la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron.
Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite.
Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe sale nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française.
Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire.
À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent.
Le jour de la cérémonie de clôture arrive. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables.
Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent.
Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs s'empressent de démentir ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude.
Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité.
À suivre
Zoé Sagan
Il n’y aura pas de touristes, seulement des agents-déclencheurs d’attentats irano-sino-russes et du parigot tête de veau et au gros QR. Je regarde sur Booking.com (extraordinaire observatoire de la vie économique mondiale) et je demande deux dates. Du 26 juillet (ouverture du merdier) au 30, et du 5 au 9 août. Près de sept mille hôtels-appartements disponibles dans les deux cas, pour quatre jours donc (vous pouvez essayer dix…) et à des prix raisonnables, encore moins chers qu’à l’accoutumée en cette période de l’année (Paris est la ville la plus chère du monde depuis quinze ans). Si le froncé est un veau qui va redemander du Macron, le touriste a le nez creux et fuit la France comme la peste (brune ou autre). PRIEZ ET RIEZ. Les médias masquent la débâcle…