Elle devient la plaque-tournante des actions secrètes de l’Otan qui agit, en définitive, contre elle. Le conflit actuel est particulièrement opaque lorsque l’on ignore les liens entre les straussiens US, les sionistes révisionnistes et les nationalistes intégraux ukrainiens.
La guerre en Ukraine agit comme un leurre. Nous ne voyons qu’elle et avons oublié le conflit majeur dans laquelle elle se situe. Du coup, nous ne comprenons pas ce qui se passe sur le champ de bataille, ni ne percevons correctement la manière dont le monde se réorganise et particulièrement la manière dont le continent européen évolue.
L'OTAN est connue pour être une structure militaire, chargée de la protection des pays ayant signé le Traité de l'Atlantique nord.
On a vu avec les réseaux stay-behind qu'elle s'est aussi mêlée de politique et de propagande, mais c'était encore discret. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas : l'OTAN dispose d'un « Centre d'excellence de la communication stratégique » (STRATCOM) qui forme les journalistes et leur fournit des outils pour exercer cette nouvelle et étrange forme de « journalisme » qu'est le « fact checking ».
On voyait bien dans les derniers exercices « pandémiques » que les préoccupations étaient de plus en plus focalisées sur le contrôle de l'information pour faire accepter les mesures liberticides variées et permettre la « vaccination ».
On serait tentés de le croire, d’autant que, comme on peut l’observer depuis le début de la guerre en Ukraine, l’ONU a été carrément mise de côté dans cette guerre de sous-traitance. Dès lors qu’il s’agit de puissances en jeu, l’ONU n’a plus de voix. Ce sont les puissants qui s’expriment, qui bougent, qui ont le droit à la parole. Et aux actes. Pas l’ONU.
Il ne s’agit pas seulement de véhiculer certaines idées ou certains comportements, comme dans la propagande traditionnelle et les opérations psychologiques, mais de modifier la cognition – d’influencer le processus par lequel nous arrivons à des idées, des intuitions, des croyances, des choix et des comportements. La cible n’est pas de prime abord une armée ennemie, mais le citoyen. Y compris ses propres citoyens, qui sont utilisés comme armes dans les combats.
« L’objectif de la guerre cognitive n’est pas seulement de nuire aux soldats, mais aussi aux sociétés. Cette façon de mener la guerre ressemble à une « guerre de l’ombre » et nécessite l’implication de l’ensemble du gouvernement pour la combattre »
La réalité est que les Ukrainiens perdent, en moyenne, environ un bataillon par jour, et c’est pourquoi ils envoient maintenant des civils à peine formés à l’Est : la plupart des unités de combat ukrainiennes (souvent très bien formées et courageuses) sont même mortes, prisonnières, portées disparues ou dans des « chaudrons » (réels ou sous la puissance de feu) sans aucune chance de s’échapper.
Il est maintenant indéniable que ce qui a commencé comme une opération militaire spéciale (SMO) s’est transformé en une guerre ouverte et à grande échelle entre l’Occident consolidé (alias l’Empire anglo-sioniste) et la Russie : l’Empire a maintenant « frappé » la Russie avec tout ce qu’il avait à part une attaque militaire directe.
M. López Obrador n’a pas précisé comment, mais il est juste de dire qu’une résolution pacifique aurait été centrée sur la négociation de.. :
- Une forme d’indépendance pour les provinces orientales de l’Ukraine, Donetsk et Lougansk.
- L’engagement du gouvernement ukrainien de ne pas adhérer à l’OTAN.
- La reconnaissance par l’Ukraine que la Crimée fait désormais partie de la Russie.
« Comme il est facile de dire : « Tenez, je vais vous envoyer telle somme d’argent pour acheter des armes ». La guerre en Ukraine n’aurait-elle pas pu être évitée ? Bien sûr que si. »
Le Darknet devient un grossiste en ligne pour le matériel de guerre. Et les clients sont également basés en Europe.
Missiles antichars, armes automatiques, munitions, drones ou même mines – les entrepôts des dealers du Darknet sont pleins. Des milliers de systèmes d’armes envoyés par les alliés occidentaux en Ukraine peuvent être trouvés en vente sur internet.