La machine, le Grand collisionneur de hadrons (LHC), fait exploser des protons les uns contre les autres pour les ouvrir et étudier les particules subatomiques qu’ils contiennent.
Au cours de l’éclipse du mois prochain, l’équipe de scientifiques tentera de prouver l’existence de la matière noire, dont on estime qu’elle constitue environ 28 % de l’univers, bien qu’on ne l’ait jamais vue.
Alors que le LHC fonctionne généralement pendant un mois chaque année, cela fait deux ans qu’il a été remis en service après avoir été arrêté pendant la crise énergétique européenne de 2022.
La semaine dernière, des scientifiques ont révélé qu’une structure « fantôme » avait été découverte à l’intérieur du collisionneur de particules.
Le compte X populaire « Concerned Citizen » a commenté les tests du CERN sur l’éclipse solaire et a également noté que la NASA lancera des fusées portant le nom d’une divinité serpentine égyptienne pendant l’événement.
La mission de la NASA, connue sous le nom de Perturbations atmosphériques autour de la trajectoire de l’éclipse (APEP), a été baptisée en l’honneur de la « divinité serpent de l’ancienne mythologie égyptienne », qui était une « némésis de la divinité du Soleil, Râ ».
« On dit qu’Apep poursuivait Râ et que, de temps à autre, il le consumait presque, ce qui provoquait une éclipse », peut-on lire sur le site web de la NASA.
Selon Ancient Egypt Online, « Apep était l’ancien esprit égyptien du mal, de l’obscurité et de la destruction. En tant qu’ennemi juré du dieu du soleil, Râ, il était une force malveillante qui ne pouvait jamais être entièrement vaincue. Chaque nuit, lorsque le soleil traversait le monde souterrain (ou le ciel), son rugissement emplissait l’air et il lançait son attaque ».
Le projet de la NASA a pour but d’étudier comment l’éclipse solaire, en provoquant une baisse soudaine de la lumière du soleil, affecte la haute atmosphère de la Terre.