Les chiffres officiels publiés discrètement par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis confirment que près d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes sont morts depuis que la Food & Drug Administration a accordé pour la première fois l’autorisation d’utilisation d’urgence d’un vaccin Covid-19 aux États-Unis.
Cela a malheureusement entraîné près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne 2015-2019.
Les chiffres révèlent également qu’il y a eu jusqu’à présent 7 680 décès supplémentaires chez les enfants et les jeunes adultes en 2022 par rapport à la même période en 2020 au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
Mais l’année 2021 a été dans l’ensemble la pire année pour les décès chez les 0 à 44 ans, avec 291 461 décès excédentaires au total, soit près de 60 000 de plus qu’en 2020. Et selon les chiffres officiels du CDC, cela était principalement dû à une mystérieuse augmentation soudaine des décès chez les enfants et les jeunes adultes à partir de la semaine 31 environ.
Malheureusement, selon les données publiées par le gouvernement britannique, cette augmentation soudaine « mystérieuse » qui a contribué à la mort d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes américains depuis fin 2020, est très probablement due aux injections de Covid-19.
Le nombre de décès de personnes âgées augmente l’hiver dans tous les pays (c’est dû au froid ou à l’humidité, l’enfermement, pas à un virus). Le site statistique EuroMomo fait état d’une hausse de mortalité toutes causes confondues des 0-65 depuis… juillet 2021 (date de début de campagne vaccinale) à juin 2022. Les mesures sanitaires ont organisé le plus grand abandon de soin, d’où une augmentation des décès pour tous les âges.
Cela n’explique pourtant pas pourquoi la mortalité des jeunes (ils n’ont pas souffert du covid) a particulièrement augmenté en Europe. Pour trouver la cause, il faudrait savoir si les personnes décédées étaient vaccinés. La demande aux autorités pour obtenir ces informations s’est heurtée à un refus.
Complotisme ? Non, c’est officiel !
Parmi les auteurs figurent Flávio Cadegiani, endocrinologue certifié par le conseil d’administration, et Pierre Kory, un spécialiste franc de la médecine pulmonaire et des soins intensifs, ainsi que président et médecin en chef de la Front Line Critical Care Alliance.
L’étude, publiée le 31 août dans le Cuerus Journal of Medical Science, a été menée via une étude observationnelle prospective d’une « population strictement contrôlée » de 88 012 sujets dans la ville brésilienne d’Itajaí.
« Les personnes qui prenaient de l’ivermectine comme médicament préventif avant l’infection COVID ont vu des réductions remarquables des hospitalisations ainsi que des décès, selon la publication. »
Parce que les décès excédentaires (par rapport aux moyennes annuelles) sont très difficiles à cacher pour les gouvernements, ces décès excédentaires apparaissent comme la preuve incontestable qu’ils sont dus aux « vaccins » Covid.
Steve Kirsch estime qu’une personne est actuellement décédée à cause des vaccins pour 1 000 doses administrées. Or, les chiffres officiels britanniques montrent qu’en réalité, ce sont plus de 2 personnes sur 1000 qui meurent dans le mois qui suit leur vaccination covid.
Maintenant que la saison des plages est à nos portes, un nouveau phénomène déchirant se produit : des vacanciers en bonne santé meurent d’une « urgence médicale » soudaine et inattendue.
Dans le monde entier, des plagistes s’effondrent en marchant sur la plage ou en se baignant. Beaucoup d’entre eux font des arrêts cardiaques et meurent. Le blogueur Tom Stahl rapporte : « Début juillet, en seulement 24 heures, au moins 11 vacanciers sont tombés morts sur des plages italiennes. » Combien d’autres cas se sont produits qui n’ont pas été rapportés dans les journaux ?
Le 17 juin 2022, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a prolongé de manière criminelle l’autorisation d’utilisation d’urgence des injections d’ARNm Covid-19 pour une utilisation chez les enfants dès 6 mois.