Cette réouverture, loin de célébrer l’héritage catholique de Notre-Dame, participe à un vaste programme de désacralisation. Les élites mondialistes utilisent ce jour sacré pour détourner ses valeurs spirituelles et inverser la signification profonde de l’Immaculée Conception. Ce n’est plus une question de foi ou de dévotion, mais une tentative de profaner l’âme chrétienne de ce lieu millénaire, en imposant une nouvelle idéologie technocratique et matérialiste.
Les travaux de restauration, sous prétexte de modernisation, ont en réalité transformé Notre-Dame en un espace neutre et multiculturel, déconnecté de ses racines spirituelles. Il ne s’agit plus d’une maison de Dieu, mais d’un centre culturel au service d’un agenda mondialiste. Ce projet vise à effacer les racines chrétiennes et à imposer une religion universelle, dépourvue de toute transcendance divine.
L’Immaculée Conception, qui symbolise l’élévation spirituelle et la lumière divine, est pervertie dans cette logique d’inversion. Les élites globalistes remplacent la quête spirituelle individuelle par des rituels collectifs imposés, formatant un "homme nouveau" totalement soumis à leurs agendas. Cet homme nouveau n’est plus tourné vers Dieu, mais vers une entité matérialiste et destructrice, servant des intérêts technocratiques.
La réouverture de Notre-Dame le 8 décembre n’est pas une célébration, mais une étape stratégique dans une guerre spirituelle globale. Derrière les apparences se cache une attaque contre les fondements religieux de nos sociétés, une tentative d’éradiquer la foi chrétienne pour remodeler l’âme des peuples au profit d’un contrôle total.
Ce 8 décembre pourrait bien marquer un tournant historique. Quel sera le vrai visage de cette inauguration ? Découvrez l’envers du décor et les vérités occultées derrière ce projet mondialiste grâce à l’analyse de Marie Pascale Rémy et Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde.
Cette organisation gérée par la CIA et depuis 2015 est partenaire du Cabinet McKinsey qui a réorganisé l’agence sous le mandat de John Brennan et l’administration Obama.
L’autre relais de ces organisations est Joel Benenson, qui a formé Emmanuel Macron. Il est le fondateur et PDG du Benenson Strategy Group, qui est l’un des plus grands stratèges politiques et d’entreprises au monde.
M. Benenson a dirigé les campagnes de 2008 et 2012 du président Obama. Benenson a été le stratège principal d’Hillary Clinton.
Marguerite Cazeneuve est spécialiste française des affaires sociales, de la santé et des retraites. Elle a été conseillère d’Emmanuel Macron et est actuellement directrice déléguée de l’Assurance maladie. Elle est la fille de Jean-René Cazeneuve, député du Gers et de Béatrice Cazeneuve, ancienne cadre chez Eli Lilly France. Elle est en couple avec Aurélien Rousseau, ancien directeur du cabinet de la Première ministre et ministre de la Santé et de la Prévention du 20 juillet au 20 décembre 2023.
Ariane Komorn ancienne de McKinsey, passée par En marche d’Emmanuel Macron, est la cofondatrice de La Solive, un centre de formation consacré à la rénovation énergétique.
Cyrielle Villepelet, 36 ans, ancienne de l’Essec Business School, a passé 11 ans chez McKinsey et a été nommée directrice associée de Téthys Invest, une filiale de Téthys (holding de la famille Bettencourt et première actionnaire de L’Oréal).
Young Leaders français : le bon cru McKinsey
Elles sont 3 alumni de McKinsey, 3 femmes, dans la dernière promotion, la 43e, des 12 Young Leaders français 2024 de la French American Fondation : Marguerite Cazeneuve, Ariane Komorn, et l’ancienne partner Cyrielle Villepelet.
Depuis 1981, ce programme d’échange franco-américain sélectionne ainsi 12 Français et 12 Américains âgés de 30 à 40 ans et considérés comme remarquables dans leur domaine d’activité ou de compétence. « Ces 6 femmes et 6 hommes, issus de milieux, de parcours et de professions variés, ont été choisis parmi près de 170 candidats. Les lauréats mettent en lumière les atouts de la France, son savoir-faire et son engagement dans un monde en mutation et alors que nos deux pays viennent de rappeler leur lien indéfectible. Cette promotion incarne l’excellence française, avec un engagement significatif pour l’intérêt général, aussi bien dans les services de l’État, dans la diplomatie, que dans les engagements sociétaux. Au travers de leurs actions, ils incarnent le leadership d’aujourd’hui et de demain », partage ainsi la direction de la fondation.
Un titre honorifique certainement. Une mise en lumière de plus parmi les différentes sélections comme le prestigieux Young Global Leaders du Forum économique mondial (FEM) ou le franco-français Choiseul 100 des leaders de moins de 40 ans… Les 20 sélectionnés français et américains reçoivent en « cadeau » deux séminaires de 5 jours chacun sur 2 années consécutives en France et aux États-Unis « afin d’échanger sur des thèmes majeurs, communs aux deux pays, et d’approfondir leurs champs d’intérêts mutuels », comme le précise la fondation.
Ces anciennes consultantes de McKinsey ont toutes trois commencé leur carrière à la sortie de leurs études, à quelques mois d’intervalle.
Marguerite Cazeneuve, diplômée de HEC en 2013, a débuté sa carrière chez McKinsey, consultante junior durant près d’un an et demi avant d’intégrer la fonction publique : Secrétaire générale du Comité de pilotage de l’ONDAM (Objectif national de dépenses d’assurance maladie), au sein du ministère des Affaires sociales et de la Santé, conseillère au cabinet du ministre de l’Économie et des Finances et du secrétaire d’État au Budget (2016-2017), conseillère au sein des cabinets du Président de la République et du Premier ministre (2017-2021). Directrice déléguée de la CNAM depuis 3 ans, Marguerite Cazeneuve est entrée cette année directement à la 40e place du classement Choiseul 100.
Ariane Komorn a été collègue apprentie consultante chez McKinsey durant une année de Marguerite Cazeneuve ; elle a débuté sa carrière chez McKinsey en janvier 2014. Cette diplômée de l’École Normale Supérieure (2013) y a été consultante 3 ans et demi, a atteint le grade d’associate, avant de s’engager en 2017 dans la campagne du candidat Macron. Depuis 2012, elle est à la tête de La Solive, un institut de formation dédié aux métiers de la rénovation énergétique des bâtiments.
La managing director de Téthys Invest depuis mars 2023, Cyrielle Villepelet, a passé plus de 11 ans chez McKinsey, nommée partner en 2020. Une fois diplômée de l’ESSEC en 2012 et après un stage de fin d’études chez McKinsey, Cyrielle Villepelet est entrée comme consultante au sein du bureau de New York et y reste jusqu’à sa promotion comme partner en 2020, date à laquelle elle intègre le bureau parisien. En 2023, l’experte Consumer Goods/Luxe avait quitté McKinsey pour le fonds créé en 2016 par Françoise Bettencourt Meyers et Jean-Pierre Meyers, Téthys Invest, filiale de Téthys, principal actionnaire de L’Oréal, dédié à des investissements de long terme dans des projets entrepreneuriaux.
Le plan connu sous le nom de « Protocoles des Sages de Sion » est un sujet tabou. Le Prix Nobel de littérature Alexandre Soljenitsyne a rédigé en 1966 une pertinente étude des Protocoles. Israël Shamir écrit :
« Soljenitsyne a bravé le régime soviétique, il a osé écrire et publier son mammouth, l’Archipel du Goulag, implacable condamnation de la répression soviétique, et pourtant, même lui, il a calé : il n’a pas publié sa recherche sur les Protocoles. Il a demandé que cette étude ne soit publiée qu’après sa mort. C’est contre sa volonté qu’elle fut imprimée en un nombre très réduit d’exemplaires, en 2001 ».
Le livre interdit
On a beaucoup fantasmé sur l’origine de cet écrit, attribué à une loge « d’initiés israélites » recevant les instructions de « supérieurs inconnus ». Il fut donc utilisé par les antisémites comme preuve manifeste d’un « complot judéo-maçonnique ». Or, les illuminati ne sont ni juifs ni Aryens, mais peuvent être de tous les bords, exacerbant les conflits pour faire avancer leur stratégie selon l’adage « diviser pour régner ».
Quels que soient les auteurs de ces « protocoles », ils étaient dotés d’une ruse politique et psychologiques qui dépasse les capacités de l’intelligence normale.
Le problème n’est pas de savoir qui a rédigé ce programme d’hégémonie mondiale, mais comment il est possible que des hommes du 19e siècle aient anticipé l’instauration de l’ordre mondial dans les moindres détails ?
Les détracteurs disent qu’il s’agit d’un « faux » — ce qui ne veut rien dire, car tout écrit anonyme peut être un « faux ». La Bible est-elle un faux ? On voit l’absurdité de ce raisonnement. Les universitaires ne lisent pas les Protocoles, car cela est jugé politiquement incorrect. On craint même de les ouvrir au cas où cela se saurait ! Il ne s’agit plus de prudence, mais de terreur envers un écrit interdit par le système. Cela évite de savoir ce qu’il contient et de se poser la bonne question : comment expliquer que ce programme soit au détail près le même que le plan mis en application depuis la Révolution française par les illuminati ?
A-t-on voulu faire endosser la responsabilité de ce manifeste à des juifs en spéculant sur les réactions d’antisémitisme qu’il ne manquerait pas de générer ? En mettant de côté les connotations racistes envers les goïm — les non-juifs selon le Talmud — qu’il recèle, force est de constater que ce texte nous éclaire tout spécialement sur les financiers du nouvel ordre mondial — dont l’éminente famille Rothschild qui exerce un chantage sur les juifs.
Révolutions, internationalisme, socialisme, disparition de l’initiative individuelle, contrôle des médias, argent-roi, culture mondiale, parodie de démocratie, puissance de la technocratie, déstabilisation des religions et des traditions, pensée unique, matérialisme, scientisme, et jusqu’au messianisme du New Age… Toutes les idées du gouvernement de l’ombre sont présentes dans ces « Protocoles », et ces idées s’imposeront tout au long du 20e siècle. Qui peut le nier ?
Sachant qu’en politique rien n’est improvisé, nous devons admettre que nous sommes en présence d’un document révélant une stratégie de conquête visant à établir une théocratie totalitaire sous le masque du messianisme d’Israël. Or, ici, ce n’est plus de religion dont il s’agit, ni de l’attente d’un royaume spirituel, mais de l’établissement d’une tyrannie au profit d’une caste « d’élus » — les fameux illuminati de « l’élite noire ».
La perfidie de ce document est troublante, d’abord à cause de sa forme provocatrice qui a généré une polémique faisant oublier le fond. Perfide par la ruse inouïe de ceux qui ont pensé ce programme politique, mais aussi à cause de l’inévitable réaction antisémite qu’il a déclenchée et par laquelle il est devenu un document tabou, une sorte de littérature honteuse qu’on se passe sous le manteau.
On a prétendu que les agents du tsar avaient inventé ces « Protocoles des Frères Aînés de Sion » à des fins contre-révolutionnaires, mais les policiers sont rarement des génies politiques doublés de visionnaires. Aussi la fabrication artificielle des « protocoles » est injustifiable pour qui connaît un tant soit peu les arcanes de la politique occulte, car l’idéologie qu’ils véhiculent est trop étroitement liée aux loges mondialistes.
Ce programme des dirigeants de l’ordre mondial n’est pas le fruit de cerveaux malades, comme on a voulu le faire croire, car les idées politiques qu’il expose se sont réalisées dans les faits, et ceci bien après sa rédaction, ce qui ne peut pas être fortuit. Seuls les naïfs préfèrent croire que la politique planétaire suit les aléas de circonstances hasardeuses.
Un lecteur attentif, libre de préjugés, découvrira dans ces Protocoles la matrice de toutes les menaces contre la conscience — au plan politique, social, économique, scientifique et religieux. Tout y est annoncé explicitement. Ce plan réussira-t-il ? Question vaine, puisqu’il a déjà amplement abouti sur la plupart des points de son agenda, sauf en ce qui concerne l’apparition du « messie », ce souverain international, dont la tradition chrétienne a prédit la venue sous le nom de l’Antéchrist.
Nous pensons que cette mystification suprême ne saurait tarder, tant les cercles qui veulent réaliser ce dessein sont actifs depuis plusieurs décennies.
Indéniablement, les Protocoles émanent de l’élite luciférienne, laquelle manipule les nations, les races et les religions — et le peuple d’Israël comme les autres — pour instaurer son ordre à travers le chaos.
Le peuple juif est sans doute la première victime de cette manipulation — le « peuple élu » prend ici son sens dramatique.
Les juifs ont été soumis à une culture de la terreur par des chefs occultes qui sont responsables des cruelles persécutions cycliques. C’est pourquoi les juifs qui s’émancipent de ce conditionnement séculaire sont souvent les premiers à dénoncer l’oppression de la culture rabbinique et talmudique. Il en est des anciens prophètes condamnant avec véhémence les « péchés d’Israël » — comme des révisionnistes, dont les idées historiques subversives émanent souvent de chercheurs juifs écœurés par la récupération commerciale de la Shoah.
Il faut beaucoup de recul et d’intelligence pour comprendre la véritable mission d’Israël, et les manœuvres dont le peuple juif fut victime — depuis l’époque archaïque de l’Atlantide.
L’étymologie d’Israël peut s’interpréter comme « l’homme élevé jusqu’à Dieu », ou encore « la vision céleste ». Chaque âme noble peut donc s’identifier à cet idéal et prétendre à l’élection divine, qu’elle soit née en milieu juif, chrétien, papou, ou dans n’importe quel « peuple élu », sachant que chaque civilisation ancienne a prétendu détenir une légitimité divine.
Y aurait-il autre chose dans l’univers que des races élues, appelées à un destin spécial ? C’est pourquoi, nous ne condamnons pas les illuminait, car ils sont dans l’illusion de se croire élus au-dessus de tous, et ils luttent misérablement pour survivre comme toutes les créatures qui rampent sous le soleil.
À l’endroit des nazis ou des sionistes, nous pourrions dire : même combat ! Musulmans, juifs, chrétiens ou hindous, chez tous, l’instinct de survie domine. Pour les fanatiques, Dieu n’est qu’un prétexte à l’affirmation partisane. Pourquoi prendre parti dans cette folie ? Celui qui cherche Dieu ou l’Absolu, ne veut détruire personne, excepté ses propres chaînes intérieures. Toute autre approche de la religion est de la démence.
Enfin, ces Protocoles n’auraient-ils pas pour effet de rendre les gens encore plus fatalistes devant la tyrannie mondialiste ? Pourquoi sont-ils en circulation lorsqu’on sait que les illuminati ne laissent rien traîner de compromettant et qu’il est interdit de les lire ?
Joël Labruyère, « Le livre interdit », Undercover n° 5.
Dans son nouveau livre, “Controligarcs: Exposing the Billionaire Class, their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life,” (La classe des milliardaires, leurs accords secrets et le complot mondialiste pour dominer votre vie), l’auteur Seamus Bruner explore la longue histoire des eugénistes, des technocrates et des ingénieurs sociaux, des Rockefeller et du Club de Rome à Bill Gates, Jeffrey Epstein, Mark Zuckerberg, Klaus Schwab et autres membres du Forum économique mondial, (WEF) – qui utilisent leur fortune, souvent sous l’apparence de la philanthropiepour s’enrichir tout en promouvant un avenir antidémocratique et dystopique pour le reste d’entre nous.
“Imaginez un monde où vous ne possédez rien et où vous louez tout”, prévient M. Bruner dans les notes du livre. “La plupart des protéines de votre alimentation proviennent d’insectes. Vous n’avez pas le droit d’avoir plus d’un enfant et vos données financières et médicales sont instantanément transférées à une base de données gouvernementale centralisée au moyen d’une puce sous-cutanée“.
Seamus Bruner s’est entretenu avec The Defender pour discuter de son livre, de l’état du monde et de sa vision de l’humanité.
M. Bruner, directeur de recherche à l’Institut pour la responsabilté gouvernementale Government Accountability Institute (GAI), a déclaré qu’il avait perfectionné son art du journalisme d’investigation en aidant le fondateur du GAI, Peter Schweizer, à rédiger son livre de 2011,Throw Them All Out: How Politicians and Their Friends Get Rich Off Insider Stock Tips, Land Deals, and Cronyism That Would Send the Rest of Us to Prison.” (Jetez-les tous dehors: comment les hommes politiques et leurs amis s’enrichissent grâce à des conseils d’initiés, des transactions foncières et des pratiques de copinage qui enverraient le reste d’entre nous en prison”.
Ce projet a donné lieu à deux exposés dans le cadre de l’émission “60 Minutes” et, en fin de compte, à l’adoption de la loi “Stop Trading on Congressional Knowledge Act” ( STOCK Act), votée en 2012, selon M. Bruner. “Cette expérience m’a également dissuadé de me lancer dans la politique”, a-t-il déclaré.
“Suivre l’argent est notre devise ici [at GAI]”, a déclaré M. Bruner, dont les enquêtes ultérieures sont documentées dans ses livres “Compromised: How Money and Politics Drive FBI Corruption” (2018) et “Fallout: Nuclear Bribes, Russian Spies, and the Washington Lies That Enriched the Clinton and Biden Dynasties” (2020, avec John Solomon).
M. Bruner, qui étudie pour devenir un spécialiste certifié de la lutte contre le blanchiment d’argent, a déclaré : “Nous ne sommes pas contre les milliardaires sur le plan conceptuel, mais contre ceux qui veulent utiliser leur argent, leur pouvoir et leur influence pour exercer un contrôle sur votre vie”.
“Les dix hommes les plus riches de la planète – dont Gates, [Jeff] Bezos, Zuckerberg et [Elon] Musc – ont doublé leur valeur nette personnelle combinée au cours de pandémie Covid-19 “, écrit Seamus Bruner dans “Controligarchs”, “alors que la classe moyenne en déclin a souffert et que plus de 160 millions de personnes à travers le monde [worldwide] ont été poussées dans la pauvreté”.
“Controligarchs” retrace l’histoire de certaines des familles les plus riches de la planète et explique comment elles ont utilisé leur richesse et leur influence pour mettre en place des projets tels que Agenda 2030, l’Open Society, La grande remise à zéro ainsi qu’un mouvement transhumaniste – et des organisations telles que la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies et le Wellcome Trust, – qui se traduisent par une guerre virtuelle contre les agriculteurs et l’alimentation, contre le consentement éclairé et les options de guérison naturelle, contre l’énergie et l’emploi, contre la liberté d’expression et d’autres droits inaliénables.
Les Rockefeller et la prise de contrôle de la santé publique...
Il y explique ce qui constitue, selon lui, la différence fondamentale entre les deux conceptions de l’ordre du monde qui s’affrontent aujourd’hui du Donbass à Gaza : celle du bloc occidental et celle à laquelle se réfère le reste du monde. Il ne s’agit pas de savoir si cet ordre doit être dominé par une puissance (unipolaire) ou par un groupe de puissances (multipolaire), mais s’il doit être, ou non, respectueux de la souveraineté de chacun. L’auteur s’appuie sur l’histoire du Droit international, tel que le Tsar Nicolas II et le Prix Nobel de la Paix Léon Bourgeois l’ont conçu.
Nous avons vu les crimes de l’Otan, mais pourquoi affirmer notre amitié avec la Russie ? N’y a-t-il pas un risque de voir celle-ci se comporter demain comme l’Otan aujourd’hui ? N’allons-nous pas substituer un esclavage à un autre ?
Pour répondre à cette question, je m’appuierais sur mon expérience successive de conseiller de cinq chefs d’État. Partout, les diplomates russes m’ont dit : vous faites fausse route : vous vous engagez à éteindre un incendie ici, alors qu’un autre a débuté ailleurs. Le problème est plus profond et vaste.
Je voudrais donc vous décrire la différence entre un ordre mondial fondé sur des règles et un autre basé sur le Droit international. Il ne s’agit pas d’une histoire linéaire, mais d’un combat entre deux conceptions du monde ; un combat qu’il nous appartient de poursuivre.
Au XVII° siècle, les Traités de Westphalie ont posé le principe de la souveraineté des États. Chacun est égal aux autres et nul ne peut s’ingérer dans les affaires intérieures des autres. Ce sont ces Traités qui ont régi, durant des siècles, aussi bien les relations entre les actuels Länders que celles entre les États européens. Ils ont été réaffirmés par le Congrès de Vienne, en 1815, lors de la défaite de Napoléon Ier.
À la veille de la Première Guerre mondiale, le Tsar Nicolas II convoqua deux Conférences internationales de la Paix (1899 et 1907), à La Haye, afin de « rechercher des moyens les plus efficaces d’assurer à tous les peuples les bienfaits d’une paix réelle et durable ». Il les prépara avec le pape Benoît XV sur la base du droit canon et non pas sur le droit du plus fort. 27 États en signèrent les travaux finaux, après deux mois de délibérations. Le président du Parti [républicain] radical français, Léon Bourgeois, y présenta sa réflexion sur la dépendance réciproque des États et sur l’intérêt qu’ils ont à s’unir malgré leurs rivalités.
Sous l’impulsion de Léon Bourgeois, la Conférence créa une Cour internationale d’arbitrage chargée de régler des conflits par la voie juridique plutôt que par la guerre. Selon Bourgeois, les États n’accepteront de se désarmer que lorsqu’ils auront d’autres garanties de sécurité. Le texte final institue la notion de « devoir des États à éviter la guerre »… en recourant à l’arbitrage.
Sous l’impulsion d’un ministre du Tsar, Frédéric Fromhold de Martens, la Conférence convint que, durant un conflit armé, les populations et les belligérants doivent rester sous la protection des principes qui résultent « des usages établis entre nations civilisées, des lois de l’humanité et des exigences de la conscience publique ». Bref les signataires s’engageaient à ne plus se comporter en barbares.
Ce système ne fonctionne qu’entre États civilisés qui honorent leur signature et rendent des comptes à leur opinion publique. Il échoua, en 1914, parce que les États avaient perdu leur souveraineté en concluant des traités de Défense leur imposant d’entrer en guerre de manière automatique dans certaines circonstances qu’ils ne pouvaient apprécier eux-mêmes.
Les idées de Léon Bourgeois firent leur chemin, mais rencontrèrent des oppositions, dont celle de son rival au sein du Parti radical, Georges Clemenceau. Ce dernier ne croyait pas que les opinions publiques puissent empêcher des guerres. Les Anglo-Saxons, le président des États-Unis, Woodrow Wilson, et le Premier ministre britannique, Lloyd George, ne le croyaient pas non plus. Les trois hommes substituèrent la Force des vainqueurs au Droit international balbutiant à l’issue de la Première Guerre mondiale. Ils se partagèrent le monde et les restes des empires austro-hongrois, allemand, et ottoman. Ils rejetèrent l’entière responsabilité des massacres sur la seule Allemagne, niant les leurs. Ils lui imposèrent un désarmement sans garanties. Pour prévenir l’émergence d’un rival de l’Empire britannique en Europe, les Anglo-Saxons commencèrent à dresser l’Allemagne contre l’URSS et obtinrent le silence de la France en l’assurant qu’elle pourrait piller le II° Reich vaincu. D’une certaine manière, comme l’a dit le premier président de la République fédérale, Theodor Heuss, ils ont organisé les conditions du développement du nazisme.
Comme ils en étaient convenus entre eux, les trois hommes remodelèrent le monde à leur image (les 14 points de Wilson, les accords Sykes-Picot, la déclaration Balfour). Ils créèrent le foyer juif de Palestine, disséquèrent l’Afrique et l’Asie et tentèrent de réduire la Turquie à sa portion congrue. Ils organisèrent tous les désordres actuels du Moyen-Orient.
C’est pourtant sur la base des idées de feu Nicolas II et de Léon Bourgeois que la Société des Nations (SDN) fut instituée après la Première Guerre mondiale, sans la participation des États-Unis qui refusaient ainsi officiellement toute idée de Droit international. Cependant, la SDN échoua aussi. Non pas parce que les États-Unis refusèrent d’en faire partie, comme on le dit. C’était leur droit. Mais d’abord parce qu’elle fut incapable de rétablir une stricte égalité entre les États, le Royaume-Uni s’opposant à considérer égaux les peuples colonisés. Ensuite parce qu’elle ne disposa pas d’armée commune. Et enfin parce que les nazis massacrèrent leurs opposants, détruisant l’opinion publique allemande, violèrent la signature de Berlin et n’hésitèrent pas à se comporter en barbares.
Dès la Charte de l’Atlantique, en 1942, le nouveau président états-unien Franklin Roosevelt, et le nouveau Premier ministre britannique, Winston Churchill, se fixèrent comme objectif commun d’instaurer un gouvernement mondial à l’issue du conflit. Les Anglo-Saxons, qui s’imaginaient pouvoir gouverner le monde, ne furent pas pour autant d’accord entre eux sur la manière d’y procéder. Washington ne souhaitait pas que Londres se mêle de ses affaires en Amérique latine, tandis que Londres n’entendait pas partager l’hégémonie de l’Empire sur lequel « le soleil ne se couchait jamais ». Les Anglo-Saxons signèrent quantité de traités durant la Guerre avec les gouvernements alliés, notamment ceux, en exil, qu’ils hébergeaient à Londres.
Au demeurant, les Anglo-Saxons ne parvinrent pas à vaincre le III° Reich, ce furent les Soviétiques qui le renversèrent et prirent Berlin. Joseph Staline, le premier secrétaire du PCUS, était opposé à l’idée d’un gouvernement mondial, qui plus est anglo-saxon. Il souhaitait juste un organisme capable de prévenir de futurs conflits. Quoi qu’il en soit, ce sont les conceptions russes qui ont accouchées du système : celui de la Charte des Nations unies, lors de la conférence de San Francisco.
Dans l’esprit des conférences de la Haye, tous les États membres de l’Onu sont égaux. L’Organisation comprend un tribunal interne, la Cour internationale de Justice, chargé de régler les conflits qui surgissent entre ses membres. Cependant, compte tenu des expériences précédentes, les cinq puissances victorieuses disposent d’un siège permanent au Conseil de sécurité avec un veto. Vu qu’il n’y avait aucune confiance entre eux (les Anglo-Saxons avaient envisagé de poursuivre la guerre avec les troupes allemandes restantes contre l’URSS) et que l’on ignorait comment se comporterait l’Assemblée générale, les différents vainqueurs voulaient s’assurer que l’Onu ne se retourne pas contre eux (les États-Unis avaient commis d’effroyables crimes de guerres en lançant deux bombes atomiques contre des civils, alors que le Japon… préparait sa reddition aux Soviétiques). Mais les grandes puissances ne comprenaient pas du tout le veto de la même manière. Pour les uns, c’était un droit de censurer les décisions des autres, pour d’autres, c’était l’obligation de prendre les décisions à l’unanimité des vainqueurs.
Sauf que dès le début, les Anglo-Saxons n’ont pas joué le jeu : un État israélien s’est auto-proclamé (14 mai 1948) avant que l’on ait convenu de ses frontières, puis l’envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies qui devait veiller à la création d’un État palestinien, le comte Folke Bernadotte, fut assassiné par des suprémacistes juifs, sous le commandement d’Yitzhak Shamir. En outre, le siège du Conseil de sécurité dévolu à la Chine, dans le contexte de la guerre civile chinoise finissante, a été donné au Kuomintang de Tchang Kaï-chek et non pas à Beijing. Les Anglo-Saxons proclamèrent l’indépendance de leur zone d’occupation coréenne sous le nom de « République de Corée » (15 août 1948), créèrent l’Otan (4 avril 1949), puis proclamèrent l’indépendance de leur zone d’occupation allemande sous le nom d’« Allemagne fédérale » (23 mai 1949).
Considérant qu’on l’avait bernée, l’URSS claqua la porte (politique du « siège vide »). Le Géorgien Joseph Staline avait cru, à tort, que le veto n’était pas un droit de censure, mais une condition d’unanimité des vainqueurs. Il pensait bloquer l’organisation en la boycottant.
Les Anglo-Saxons interprétèrent le texte de la Charte qu’ils avaient rédigé et profitèrent de l’absence des Soviétiques pour poser des « casques bleus » sur la tête de leurs soldats et ont livré une guerre aux Coréens du Nord (25 juin 1950) au « nom de la communauté internationale » (sic). En définitive, le 1er août 1950, les Soviétiques revinrent à l’Onu, après 6 mois et demi d’absence.
Si le Traité de l’Atlantique Nord est légal, le règlement intérieur de l’Otan viole la Charte des Nations unies. Il place les armées alliées sous le commandement des Anglo-Saxons. Son commandant-en-chef, le SACEUR, est obligatoirement un officier états-unien. Selon son premier secrétaire général, Lord Ismay, le véritable objectif de l’Alliance n’est ni de préserver la paix, ni de lutter contre les Soviétiques, mais de « Garder les Américains à l’intérieur, les Russes à l’extérieur et les Allemands sous tutelle ». Bref, c’est le bras armé du gouvernement mondial que Roosevelt et Churchill voulaient créer. C’est en application de ce but que le président Joe Biden a ordonné le sabotage du gazoduc Nord Stream qui reliait la Russie à l’Allemagne.
À la Libération, le MI6 et l’OPC (c’est-à-dire la future CIA) ont secrètement installé un réseau stay-behind en Allemagne. Ils y ont placé des milliers de responsables nazis qu’ils ont aidés à échapper à la Justice. Klaus Barbie, qui tortura le coordinateur de la Résistance française Jean Moulin, devint le premier commandant de cette armée de l’ombre. Puis ce réseau fut incorporé au sein de l’Otan où il fut largement réduit. Il fut alors utilisé par les Anglo-Saxons pour s’ingérer dans la vie politique de leurs prétendus alliés, en réalité de leurs vassaux.
Les anciens collaborateurs de Joseph Goebbels créèrent la Volksbund für Frieden und Freiheit. Ils persécutèrent les communistes allemands avec l’aide des États-Unis. Plus tard les agents stay-behind de l’Otan purent manipuler l’extrême-gauche pour la rendre détestable. C’est par exemple le cas de la bande à Bader. Mais comme ces hommes furent arrêtés, le stay-behind vint les assassiner en prison, avant qu’ils ne soient jugés et parlent. En 1992, le Danemark, a espionné la chancelière Angela Merkel sur instruction de l’Otan, comme en 2022, la Norvège, autre membre de l’Otan, a aidé les États-Unis à saboter Nord Stream…
Revenons au Droit international, progressivement les choses sont rentrées dans l’ordre jusqu’à ce que l’Ukrainien Léonid Brejnev fasse, en Europe centrale, en 1968 lors du printemps de Prague, ce que les Anglo-Saxons faisaient partout ailleurs : il interdit aux États alliés de l’URSS de choisir un autre modèle économique que le sein.
C’est à la dissolution de l’URSS que les choses commencèrent à empirer. Le sous-secrétaire à la Défense US, Paul Wolfowitz, élabora une doctrine selon laquelle, pour rester les maîtres du monde, les États-Unis devaient tout faire pour prévenir l’émergence d’un nouveau rival, à commencer par l’Union européenne. C’est en application de cette idée que le secrétaire d’État James Baker imposa l’élargissement de l’Union européenne à tous les anciens États du Pacte de Varsovie et de l’URSS. En se développant ainsi, l’Union se privait de la possibilité de devenir une entité politique. C’est toujours en application de cette doctrine que le Traité de Maastricht a placé l’UE sous la protection de l’Otan. Et c’est encore en application de cette doctrine que l’Allemagne et la France paient et arment l’Ukraine.
Vint alors le professeur tchéco-US Josef Korbel. Il proposa aux Anglo-Saxons de dominer le monde en réécrivant les Traités internationaux. Il suffisait selon lui de substituer le droit anglo-saxon, fondé sur la coutume, à la rationalité du droit romain. De la sorte, tous les Traités donneraient à long terme l’avantage aux puissances dominantes : les États-Unis et le Royaume-Uni, liés par une « relation spéciale », selon les mots de Winston Churchill. La fille du professeur Korbel, la démocrate Madeleine Albright devint ambassadrice à l’Onu, puis secrétaire d’État. Puis, lorsque la Maison-Blanche passa aux mains des Républicains, la fille adoptive du professeur Korbel, Condoleeza Rice, lui succéda en tant que conseillère nationale de Sécurité, puis secrétaire d’État. Pendant deux décennies, les deux « sœurs » ont patiemment réécrit les principaux textes internationaux, prétendument pour les moderniser, en fait pour en changer l’esprit.
Aujourd’hui, les Institutions internationales fonctionnent selon des règles édictées par les Anglo-Saxons, basées sur les précédentes violations du Droit international. Ce droit n’est écrit dans aucun code, puisqu’il s’agit d’une interprétation de la coutume par la puissance dominante. Tous les jours, nous substituons des règles injustes au Droit international et nous violons notre propre signature.
Le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours le 5 octobre lors de la session plénière de la 20ème réunion du Club de discussion international Valdai à Sochi et a souligné les changements tectoniques et irréversibles qui se produisent dans l’ordre mondial.
Selon Poutine, les mondialistes, dont Schwab et ses proches conseillers, sont des «cibles militaires légitimes» parce qu’ils ont activement tenté de prendre le pouvoir illégalement par le biais d’un coup d’État mondialiste.
Il y a seize ans, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, Poutine a déclaré aux dirigeants occidentaux que le type naturel de système international était la multipolarité, montrant clairement que la Russie s’opposerait à la création d’un nouvel ordre mondial fondé sur l’ordre international libéral basé sur des règles et poussé agressivement par l’élite mondialiste et ses politiciens libéraux dans les démocraties occidentales.
L’heure de vérité a sonné, selon Poutine, et les plans de l’élite mondiale pour un nouvel ordre mondial reculent sous nos yeux tandis qu’un nouveau monde multipolaire, dans lequel les cultures traditionnelles conservent leur héritage à l’intérieur de leurs propres frontières, se lève comme un phénix.
Poutine expose six principes de civilisation pour le monde de l’après-Nouvel Ordre Mondial...
Pour dissocier le faux du vrai dans les témoignages d’apparitions d’ovnis, les médias grand-public occidentaux s’appuient sur les conclusions d’organismes d’études officiels, dont le but essentiel est d’élaborer un dogme uniforme et policé auprès de leur population. En fonction des objectifs des gouvernements, ces comptes rendus peuvent soit nier l’évidence, soit alimenter la peur.
Ce résumé s’appuie sur la perception du phénomène aux Etats-Unis et en France, car aucun regroupement des commissions d’enquête n’a lieu à un niveau international. Le peu d’informations qui transpirent laisse à penser qu’il en est ainsi dans tout le monde occidental.
Les comités « Théodule » qui se sont succédé depuis 1950 ont tous employé des techniques équivalentes pour expliquer les phénomènes ovnis : décrédibiliser le témoin par ses antécédents, objecter un manque d’informations fiables, associer l’observation à un phénomène physique banal (ballon sonde, avion, météorite, reflet sur l’eau, lune, lampadaire…)
Le petit nombre d’événements qui ne rentre manifestement pas dans le cadre de ces explications simplistes est tout simplement ignoré.
Les commissions sont à sens unique, elles pompent tous les témoignages, mais ne restituent rien. La commission Majestic12, très secrète, a la particularité d’être privée, et agit pour le compte de Rockfeller and Co, au cas où il y aurait quelque chose à breveter.
Le phénomène Ovni a récemment été à juste titre requalifié en PAN (Phénomène Aérien Non-identifié) ou UAP (Unidentified Aerial Phenomena). Néanmoins, on n’a pas souhaité faire allusion dans le sigle au comportement intelligent du phénomène.
La solution radicale employée par les armées du monde entier est de lancer sans sommations la chasse aérienne avec ordre de tirer pour abattre l’intrus, alors qu’un ovni ne devient agressif que si le témoin est, le premier, l’agresseur. Vous avez dit fraternité galactique ?
La doxa officielle ignore que le phénomène UAP existe depuis la nuit des temps et a arbitrairement fixé à juin 1947 le début des premières observations. Tous les pays occidentaux (et wikipédia) centrent la genèse du phénomène essentiellement sur les Etats Unis, alors que les observations ont lieu dans le monde entier, sous les mers, dans l’espace, autour de la lune et des planètes.
Le profil en forme de soucoupe devient rare, alors qu’il était fréquent dans l’antiquité. Les très nombreuses observations actuelles font essentiellement référence à des sphères lumineuses ou métalliques, parfois à proximité de sites militaires sensibles, de centrales nucléaires ou lors de catastrophes (tremblements de terre, tsunami, incendies, Tchernobyl, 11 septembre, Fukushima…)
Cas des abductés (enlèvements) Seuls 7 cas d’enlèvement sont officiellement référencés (voir Wikipédia), bien que la plupart des 7 soient totalement bidonnés. Depuis 1997, aucun enlèvement ou contact rapproché n’a été officiellement enregistré, alors qu’ils se comptent par centaines. Il faut savoir que des revues spécialisées, comme LDLN de Joel Mesnard (1), ont pendant des années (1988 à 2014) enregistré tous les témoignages de terrain par l’intermédiaire d’un réseau d’ufologues indépendants. Ils n’ont jamais rencontré de cas similaires à l’affaire montée en icône par Betty et Barney Hill en 1961. Enlevés et violés dans une soucoupe carcérale, qui présente toutes les caractéristiques d’une séance satanique bien de chez nous. Les cas documentés d’enlèvements font plutôt état d’une inspection médicale bienveillante, quoique traumatisante.
A l’opposé du sensationnel malsain, la presse néglige les observations rapprochées d’ovnis multiformes et stupéfiants par leur originalité qui vont parfois jusqu’à la distorsion de l’espace-temps, la paralysie ou même une communication interactive intelligente de type hypnotique avec les témoins.
Mais avant de savoir qui fait quoi, qui est derrière telle ou telle organisation, commençons tout d’abord par constituer le puzzle de ces organisations afin d’y voir plus clair ; afin de comprendre comment cette toile d’araignée totalitaire s’est tissée tranquillement avec l’approbation ignorante des peuples !
Première Partie
1 – Commission Trilatérale
En juillet 1973, les mondialistes créaient un parti politique transnational, une organisation de contrôle et de décisions politiques, économiques et policières, voire militaires, la Commission Trilatérale. Les fondateurs : David Rockefeller, Henry Kissinger, Zbigniew Brezinski, notamment…
Cette Commission se présentait comme un «Forum mondial de penseurs» qui allait très vite radicaliser le point de vue keynésien du capitalisme : l’hégémonie d’une économie multinationale, l’accélération de l’exploitation mondiale du travail, l’hégémonie militaire mondiale, (c’est l’objectif de l’OTAN), le contrôle absolu des énergies et des matières premières, le contrôle alimentaire de la Planète, le contrôle démographique mondial, le contrôle sanitaire des peuples…
Brezinski était un membre éminent du Club de Bilderberg et principal conseiller en politique extérieure d’Obama. (décédé en 2017)
Henry Kissinger, anciennement Secrétaire d’État des USA, était aussi membre éminent du club de Bilderberg et cheville organisatrice de cette oligarchie pour la gouvernance mondiale.
La Trilatérale est donc un «parti politique à l’échelle mondiale».
« La Nation État, en tant qu’unité fondamentale de la vie organisée de l’homme, a cessé d’être la principale force créatrice: les banques internationales et les corporations transnationales sont à présent les acteurs et les architectes au sens que prenaient autrefois ces termes appliqués à la Nation-État. »
Lucifer et les anges déchus existent-ils ? Et s’ils existent ont-ils une quelconque influence sur notre monde ? Nous remercions nos ennemis de venir aujourd’hui à notre rescousse. Leurs allusions de moins en moins voilées à l’empire d’une spiritualité globale, et qui n’est certes pas celle de Jésus-Christ, ont plus de poids que nos prédications pour convaincre nos contemporains déchristianisés de l’existence de ces puissances nuisibles qui sont à l’œuvre dans l’histoire des sociétés et des hommes. Les chrétiens n’y croient plus mais les thuriféraires du mondialisme n’ont pas de doute à ce sujet et ont choisi leur camp. Donnons-leur la parole en cette première conférence ; recueillons leurs aveux.
C’est le Président de Civitas lui-même qui a réalisé les édifiantes collectes des témoignages de cette spiritualité inversée, antichrétienne, voire ouvertement satanique, professée par les mentors du mondialisme.
Derrière la rhétorique se cache le véritable objectif : renforcer et consolider le pouvoir et l’autorité du «régime de gouvernance mondiale» et exploiter les menaces – réelles ou imaginaires – afin de faire progresser l’hégémonie du régime.
Si nous acceptons l’hypothèse selon laquelle le «développement durable» est un développement mondial qui répond aux besoins des pauvres du monde, il est peu probable qu’une personne raisonnable soit en désaccord avec cet objectif déclaré.
Mais aider les pauvres n’est pas le but de l’ODD 16.
Le véritable objectif de l’ODD 16 est triple : (1) renforcer un régime de gouvernance mondiale, (2) exploiter les menaces, réelles et imaginaires, pour faire avancer les objectifs du régime, et (3) imposer à l’humanité un système mondial d’identité numérique (ID numérique) injustifié, indésirable et contrôlé de manière centralisée.
L’objectif de l’ONU en matière d’identité numérique est caché dans l’objectif 16.9 de l’ODD :
«D’ici à 2030, garantir à tous une identité juridique, ainsi que l’enregistrement des naissances».
Bien que l’ODD 16 ne fasse pas spécifiquement allusion à l’identification «numérique», c’est ce qu’il signifie.
Comme nous le verrons, les indicateurs de la cible de l’ODD 16 ne révèlent pas non plus la vérité. Par exemple, le seul «indicateur» permettant de mesurer les progrès de l’ODD 16.9 (16.9.1) est le suivant :
«La proportion d’enfants de moins de 5 ans dont la naissance a été enregistrée auprès d’une autorité civile, par âge».
On pourrait donc penser que la tâche de «fournir une identité légale» incombe en premier lieu auxdites «autorités civiles». Ce n’est pas le cas.
Au sein du système des Nations unies, tous les gouvernements (qu’ils soient locaux, de comté, provinciaux, d’État ou fédéraux) sont des «partenaires parties prenantes» d’un réseau mondial composé d’un large éventail d’organisations publiques et privées. Nombre d’entre elles sont explicitement soutenues par les Nations unies ou hébergées dans leurs locaux, et toutes prônent l’identification numérique comme mécanisme clé pour atteindre l’ODD 16.
Cet aspect de l’ODD 16 sera examiné plus en détail dans la partie 2.
Cet amalgame mondial d’organisations utilise souvent un terme pour se décrire : il s’agit d’un partenariat mondial public-privé (G3P).
Le G3P travaille sans relâche à créer les conditions nécessaires pour justifier l’imposition d’une gouvernance mondiale «avec des dents» et de son système d’identification numérique indispensable. Ce faisant, le G3P inverse la nature de nos droits. Il fabrique et exploite des crises afin de revendiquer la légitimité des «solutions» qu’il propose.
Le G3P comprend pratiquement toutes les organisations intergouvernementales, les gouvernements, les entreprises mondiales, les grandes fondations philanthropiques, les organisations non gouvernementales (ONG) et les groupes de la société civile. Collectivement, ils forment les «parties prenantes» qui mettent en œuvre le développement durable, et notamment l’ODD 16.
L’identification numérique déterminera notre accès aux services publics, à nos portefeuilles de monnaie numérique de banque centrale (CBDC), à nos certificats de «vaccin» – à tout, même aux aliments et boissons que nous sommes autorisés à acheter et à consommer.
Les citoyens méfiants sont attentifs aux abus potentiels de l’identification numérique par leurs autorités. Dans les pays où une carte d’identité numérique nationale n’est pas la bienvenue, comme au Royaume-Uni, la solution du G3P consiste à construire un système «interopérable» qui relie différents systèmes d’identification numérique entre eux. Cette approche de «plateforme modulaire» est conçue pour éviter les problèmes politiques que la délivrance officielle d’une carte d’identité numérique nationale susciterait autrement.
Établir l’identité numérique mondiale de l’ODD 16.9 est essentiel pour huit des dix-sept ODD de l’ONU. C’est le pivot au centre d’un panopticon numérique mondial qui est en train d’être conçu sous les auspices du «régime» de partenariat public-privé mondial de l’ONU.