Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
les beatles font parti du club

Réseau InternationalHors des sentiers battus : La théorie du complot la plus impopulaire

Réseau International - 10 jan 2023

Je ne veux vraiment pas contrarier qui que ce soit, et je sais que cette affirmation va être profondément douloureuse pour beaucoup, alors considérez-vous comme dûment prévenus, mais j’ai peur de devoir le dire…

Respirez profondément…

C’est parti…

Les Beatles faisaient partie « du club ».

Oui, j’ai bien peur que ce soit vrai. Ils n’étaient pas « quatre gars ordinaires de Liverpool », John Lennon n’était pas un « héros de la classe ouvrière », et le groupe et tous ses membres constitutifs étaient des agents de renseignement contrôlés par l’establishment : Des « agents de changement » utilisés pour introduire les changements culturels spectaculaires qui ont eu lieu dans les années 1960.

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
La mode - un poison destructeur

Mr MondialisationAccro à la mode, on accepte l’horreur pour un sac tendance

Mr Mondialisation - 30 juin 2022

Notre siècle se passe en effet trop souvent de ce temps fastidieux de lecture, d’ingestion et de recherches avancées pourtant essentiel ; succombant plutôt à un consumérisme addictif de savoirs partiels, de polémiques stériles ou de préjugés binaires.

   

Dans Fashion, Catherine Dauriac – en collaboration avec Isabelle Brokman – expose ainsi les nombreux faits et chiffres vérifiés qui jonchent de honte le secteur de la mode dans le plus grand des silences. Car pendant que nous faisons la sourde oreille, que le sujet nous paraît trop anxiogène, et qu’acheter avec insouciance nous semble plus confortable, l’industrie qui fabrique nos vêtements jetables continue de semer l’horreur, en maltraitant notamment des vies humaines et non-humaines, des étendues de terre, des cours d’eau, l’air, la biodiversité,…

« Notre civilisation est addict à la mode, encore plus qu’au sucre.

Nous achetons de plus en plus de vêtements. Nos armoires débordent, alors que nous ne portons qu’un tiers de notre vestiaire. Nous sommes affamé·es de nouveauté, de style, de fringues.

Sur l’internet, nous n’avons jamais autant commandé. »

Catherine Dauriac

accéder à l'article