Aujourd’hui, la situation de notre cher pays se résume en un mot : DESASTREUSE
Nous avions le meilleur système de santé du monde, le meilleur modèle d’énergie, la meilleure école, une armée admirée à l’international, une industrie compétitive et une agriculture performante… Mais tout ce qui touchait à l’excellence n’est plus que décombre. Notre pays s’est transformé en une zone mondialisée qui s’appauvrit chaque jour davantage. Alors, la question se pose : comment a-t-on pu tomber aussi bas aussi vite ? Qui est responsable et pourquoi rien n’a été entrepris pour redresser ce pays et protéger sa population ? Seule réponse : l’État.
Françaises, Français, il est temps de demander des comptes aux gouvernants qui depuis plus de trente ans, n’ont pas respecté leurs mandats. Ils n’ont endigué ni l’insécurité, ni l’immigration incontrôlée, et ont aggravé la précarité des plus démunis. MM Sarkozy, Hollande et surtout Macron sont les exemples de Présidents ayant déprécié la fonction politique suprême :
Nicolas Sarkozy bafoue la victoire du NON au référendum sur la constitution européenne de 2005 en faisant adopter le traité de Lisbonne grâce à la tenue du congrès du Parlement.
François Hollande restreint notre énergie nucléaire pour complaire aux lubies écologistes posant les bases des problèmes énergétiques actuels.
Emmanuel Macron sans hésiter fait tirer à balles de défense sur les « gilets jaunes » venus manifester pour le maintien de leur niveau de vie et l’élaboration d’initiatives citoyennes. Au Qatar et en Afrique il a un comportement indigne de la fonction présidentielle. Enfin en s’acharnant à faire passer un projet de loi inique, contre le monde du travail, il prend le risque de susciter un climat de violences sociales incontrôlées.
En conséquence de tous ces échecs, de ces trahisons et de ces mensonges, la France n’est plus considérée comme une grande Nation. Notre pays, subordonné aux institutions européennes s’efface devant l’impérialisme américain, l‘irrédentisme russe et la puissance économique allemande. Il peut, demain avec le conflit Ukrainien courir vers la guerre sans l’accord de notre peuple.
Nous, anciens militaires, ne pouvons cautionner, comme la majorité de nos compatriotes, une telle dérive contraire à notre éthique.
NON, la France des clochers et des cités séculaires n’a pas dit son dernier mot ! Rien n’est inéluctable, tout n’est pas perdu.
La vidéo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux en ce moment montre l’ancien président français François Hollande piégé dans un canular par des Russes se faisant passer pour l’ancien président ukrainien Petro Porochenko. François Hollande avoue sans détour que les accords de Minsk étaient une ruse de l’OTAN pour militariser l’Ukraine, que les nations occidentales ont renversé le gouvernement ukrainien démocratiquement élu en 2014 et qu’il y a une participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine.
Des propos d’une extrême gravité venant d’un ancien président de la République ne pouvaient pas passer inaperçus. L’une des vidéos partagées sur Twitter par kanekoa.substack.com a atteint les 2 millions de vues en moins de 11 heures.
L’interview-canular de François Hollande est tellement explosif que le patron de SpaceX et Twitter, Elon Musk, n’en revient pas et demande sous la vidéo “Is this real?” (en français “C’est réel ?”). Le compte kanekoa.substack.com répond au milliardaire en lui renvoyant un lien vers Sud Radio.
Alors que Hersh a révélé que la CIA était chargée « de donner une impulsion au système dans le but de rejeter l’affirmation selon laquelle Biden avait ordonné la destruction des pipelines », ils ont mis en action les capacités d’intelligence artificielle des agences d’espionnage américaines “Project SABLE SPEAR” (Projet LANCE EN SABLE), et pour comprendre le véritable pouvoir et la menace de TikTok, une bonne première étape est de lire le document “Why TikTok made its user so obsessive? The AI Algorithm that got you hooked” (Pourquoi TikTok a rendu son utilisateur si obsessionnel ? L’algorithme d’IA qui vous a rendu accro).
L’un des leaders mondiaux de la recherche sur l’intelligence artificielle est le laboratoire OpenAI, le créateur du générateur avancé de langage d’intelligence artificielle ChatGBT ChatBot. Lors d’une récente interview, le PDG de ces laboratoires d’intelligence artificielle, Sam Altman, a déclaré avec crainte : « Je pense que les gens devraient être heureux que nous soyons un peu effrayé par cela… Je suis particulièrement inquiet que ces modèles puissent être utilisés pour une désinformation à grande échelle… La chose que j’essaie le plus de mettre en garde les gens est ce que nous appelons le “problème des hallucinations”… Le modèle énoncera avec confiance les choses comme s’il s’agissait de faits, mais elles sont entièrement inventées ». Et le co-fondateur de ce laboratoire d’intelligence artificielle, Elon Musk, a carrément averti lors d’un discours au symposium du centenaire du département d’aéronautique et d’astronautique du MIT le 24 octobre 2014 : « Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons le démon. Dans toutes ces histoires où il y a le gars avec le pentagramme et l’eau bénite, c’est comme ouais il est sûr qu’il peut contrôler le démon… ça n’a pas marché ».
Au cours des dernières 48 heures, le “démon” de l’intelligence artificielle et son “problème d’hallucinations” ont été mis en évidence après que le président Donald Trump a publié une vidéo dévoilant son plan de démantèlement de l’État profond, qui a été visionnée 1,7 million de fois — une vidéo immédiatement contrées par l’intelligence artificielle, des images créées montrant le président Trump se battant furieusement avec les policiers de New York qui l’arrêtent, ont été visionnées plus de 4 millions de fois et constituent une démonstration terrifiante prouvant le pouvoir de l’intelligence artificielle sur la vérité.
« Avec l’IA, nous invoquons le démon »
Qu’est-ce que l’on rigole dans notre monde de margoulins.
En voici une nouvelle et sacrément copieuse.
La banque JPMorgan possédait du « nickel » au LME et la banque américaine avait mis le métal sur le marché au début de l’année dernière.
Le problème c’est que JPMorgan Chase & Co. possédait les contrats de nickel du London Metal Exchange qui se sont avérés être garantis par des sacs de pierres plutôt que par le métal concerné.
Du coup, la semaine dernière, le LME a annoncé qu’il avait annulé neuf contrats de nickel – d’une valeur d’environ 1,3 million de dollars – après avoir découvert des « irrégularités » dans un certain entrepôt, qui, selon Bloomberg (source ici), appartenait à Access World.
Et tenez-vous bien la nouvelle a choqué le monde des métaux, car les contrats du LME sont généralement considérés comme incontestables !!
Hahahahahahahahaha.
Hahahahahahahahahaha.
Il n’y a que les vilains « complotistes » pour ne pas croire un strict mot des inventaires qui sont fournis années après années.
Si Churchill disait qu’il ne croyait aux statistiques que si c’étaient les siennes, je pourrait le paraphraser en disant que je ne crois aux inventaires des détenteurs de métaux, que si c’est moi qui vient de les réaliser.
Si je vous parle du LME, le London Metal Exchange, c’est que l’on y traite un peu d’or chaque jour et un peu d’argent métal aussi.
À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure comme d’habitude extrêmement rapide, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées. Pour cela, il a usé de stratégies, de mensonges et de récits fictifs, pour que jamais ne soient sérieusement et concrètement discutés le fonctionnement technique de ces outils et leurs conséquences politiques et juridiques en termes de surveillance de masse. Grâce à une majorité totalement désinvestie et au soutien total de l’extrême droite, la VSA a donc pu être légalisée sur la base de mensonges sapant toujours un peu plus le jeu démocratique.
Le Média en 4-4-2 vous présente à travers sa série « Artistes à contre-courant » des personnalités qui choisissent de sortir des sentiers battus malgré les défis qui en découlent. Pour le cinquième épisode, nous recevons l’illustrateur et auteur René Bickel. Cet autodidacte est un dessinateur engagé, écologiste dans l’âme qui a choisi une arme redoutable pour faire passer ses messages : l’humour. Il dépeint une société dont le « progrès » réside avant tout dans la mise en place d’un ordre mondial dont il s’attache à démontrer les buts premiers et inavoués de la domination et de l’exploitation des individus.
« Tout est planifié pour empêcher l’individu de se construire et de chercher sa réalité propre. »
Nos gouvernements européens savaient ce qui était sur le point d’être perpétré contre le peuple turc. Ils avaient été avertis, et par qui sinon par le Grand Allié ? Celui qui avait le pouvoir de provoquer le tremblement de terre ?
Ils se sont rendus complices du crime contre l’humanité le plus monstrueux qui se soit jamais produit ou qui puisse se produire dans l’histoire, parce qu’il a été commis contre une population civile sans défense et sans méfiance, exterminée par dizaines de milliers, faisant en un instant 2 à 3 millions de sans-abri, détruisant avec fracas des millions d’infrastructures civiles, maisons civiles par excellence, hôpitaux, routes, pour parfaire le crime contre l’humanité. Ajoutez à cela le fait qu’il a été commis contre un pays – la Turquie – formellement allié et contre lequel la guerre n’avait pas été déclarée.
L’atrocité du crime modifie également le concept même de « complicité » : lorsque le gouvernement italien ou allemand sait que le Grand Allié vous fera la même chose, si vous imitez Erdogan dans la désobéissance, en tuant des dizaines de milliers de vos propres citoyens et détruisant des millions de leurs maisons et infrastructures civiles, avec un tremblement de terre provoqué à volonté, mais dont le caractère artificiel peut être non seulement nié de manière plausible, mais moqué et même puni comme une théorie du complot délirante inspirée par la volonté de trahison pro-Poutine, votre adhésion au crime du Grand Allié se fait par pure terreur.
« Quelqu’un habillé en blanc venait de temps en temps me donner à boire et me nourrir. »
Si le gouvernement chinois a dit la vérité et que le ballon n’était rien de plus qu’un « dirigeable civil sans pilote » hors de contrôle en raison d’un cas de force majeure, le résultat est exactement le même. C’est également le même résultat si les Chinois ont menti et que le ballon était une opération de renseignement militaire.
Et si les responsables américains ont menti, caché ce qu’ils savaient sur la mission du ballon, la conclusion reste la même : le ballon a révélé aux ennemis des USA les faiblesses fondamentales de la guerre des États-Unis contre la Russie et la Chine. ; et également aux alliés américains sur le champ de bataille ukrainien, au Japon, en Corée, au Canada et en Australie pour voir par eux-mêmes.
Le dossier public tarde à être publié sur ce qui s’est exactement passé lorsque le ballon géant est entré dans l’espace aérien entre les îles Kouriles russes et les îles Aléoutiennes américaines ; puis est entré dans les eaux territoriales américaines et a touché terre au-dessus de l’Alaska, puis du Canada, puis à nouveau des États-Unis.
Les cartes publiées disponibles dans les médias américains ont toutes été déformées par des projections et des estimations basées sur des données météorologiques et des observations rapportées à la presse par des personnes sur le terrain.
Les données précises sur la trajectoire de vol, la vitesse, les signaux électroniques vers et depuis le dirigeable et les preuves de contrôle (ou d’absence de contrôle) sur ses opérations sont des secrets militaires – américains, chinois, russes.
Il n’est cependant pas nécessaire de les ouvrir pour tirer plusieurs conclusions. Pour le moment, et à défaut de plus de preuves ce qui suit est une poignée de certitudes validées par les probabilités.
C’est le test que les jurys américains font pour condamner en cas de fraude.
La première certitude est que le ballon a été détecté par des pisteurs militaires et civils américains bien avant qu’il n’atteigne les eaux territoriales américaines au large des îles Aléoutiennes (Alaska).
Dans la novlangue actuelle, toute recherche de causes d’un évènement, autre que celle fournie par les médias officiels, est appelée “théorie du complot”.
Voici, cités dans l’ordre où ils se sont présentés à nous, les éléments qui vont vous permettre de vous faire une opinion sur l’incendie de Notre-Dame, sur la gigantesque opération de spoliation qu’il révèle, sur Macron, sur les élus parisiens et sur ceux qui nous gouvernent
Il ne sera pas question ici de faire la liste des imbécillités qu’ils profèrent mais de pointer les désastreuses déclarations de l’ancienne chancelière allemande Angéla Merkel à propos des accords de Minsk. Désastreuses parce qu’elles vont avoir un impact considérable sur le rapport de force dans la guerre hybride globale qui oppose l’Occident au reste du monde. Merkel vient de reconnaître que les accords de Minsk, dont l’application aurait permis d’éviter la guerre en Ukraine et la tragédie pour son peuple, n’était dans son esprit qu’un chiffon de papier. Accords qu’elle avait parrainés, promus, et soutenus. Elle est venue tranquillement nous dire que tout cela était bidon, qu’il n’avait jamais été question de les appliquer, mais que c’était une manière de gagner du temps pour se préparer à faire la guerre à la Russie.
Mais grâce à la valeureuse police allemande, au renseignement intérieur et à la vigilance civique toujours en éveil, notre ami Olaf va pouvoir rester chancelier et notre autre grande amie, Annalena, continuer à pouvoir apprendre l'histoire militaire et la géographie de l'Europe et du monde pour faire son job de ministresse des Affaires Etrangères. Le fascisme est toujours renaissant mais les femmes et les hommes de progrès veillent: no pasaran! Une fois qu'on a ri un bon coup, on comprend cependant que, derrière le scénario farcesque, qui consiste à prendre les citoyens allemands pour des imbéciles, se profile une intimidation d'envergure contre tous ceux qui critiquent l'incompétence du gouvernement allemand et son aliénation à Washington, Davos et Pékin.
Le coup d’Etat était presque parfait
A vrai dire, la seule chose hilarante dans le scénario proposé, c’est que les ingrédients attendus y sont. Je ne résiste pas au plaisir de citer le copié-collé du très macroniste Figaro, sous le titre “L’Allemagne déjoue un complot d’extrême-droite” – rien que ça ! Accrochez-vous à la table, fou-rire assuré.
Vertige des pérégrinations de sa pensée. Mieux, de sa prise de conscience. Mieux encore, de sa déconstruction. Comme un cheminement dont le paysage nous fait fatalement écho – même si un peu, même si de loin : lettre ouverte d’un citoyen du siècle.
Nous nous sommes nous-même créés des dépendances avec les années. Aux objets, aux habitudes qu’on a prises. Elles se sont insinuées dans nos vies sans qu’on prenne conscience des impacts qu’elles auraient avec le temps. Nos souvenirs en sont pétris, on en a garni notre présent et on s’en découvrira de nouvelles demain. Mais une fois ce constat fait, est-il si grave de ralentir ?
On est de la génération touche-à-tout, parfois, on apprend dans l’urgence, par besoin, par nécessité, par instinct de survie. Et on se bat pour des droits, pour des causes, justes, pour les un(e)s et les autres. Et c’est normal, c’est simplement parce qu’on habite tous et toutes la même maison. Je me retrouve agitant les drapeaux pour essayer à mon échelle, de faire changer la trajectoire de la barque même d’un millimètre. Mais je sais que je ne suis pas seul et c’est aussi ça qui me donne cette rage, ce “courage” comme tant d’autres avant moi.
« Comme je le redoutais, arrive le jour où l’on m’ordonne à nouveau de ne pas joindre des analyses compromettantes. »