Tous trois sont parvenus à faire des principaux médias des soutiens de leur idéologie commune. En deux décennies, la presse a fermé les yeux sur tout ce qui contredit les discours officiels de Washington et s’est convertie à ses inepties. Le jacksonien Donald Trump a fait du rétablissement de la liberté d’expression l’axe de sa campagne de 2024. Il est pour le moment le seul candidat à se positionner ainsi.
Le candidat Donald Trump a prononcé, jeudi 15 décembre 2022, son premier discours électoral. Il a désigné comme sa priorité le rétablissement de la liberté d’expression aux États-Unis alors que les révélations d’Elon Musk (Twitter Files) et celles de l’America First Legal Foundation attestent que toute l’information est manipulée.
On peut penser ce que l’on veut de M. Trump, d’autant qu’il fait l’objet d’une campagne mondiale de diffamation depuis son élection en 2016 nous empêchant d’évaluer correctement son action, mais force est de constater que, depuis le 11 septembre 2001, il pose les bonnes questions.
Les journalistes du mainstream aiment y piocher les informations introuvables ailleurs. Mais ce labeur effectué de main de maître a un coût. Dénicher des vérités peut vous coûter cher, voire très cher : fermeture de compte bancaire personnel et professionnel sur demande du gouvernement, visite de votre domicile, accusation d’antisémitisme, de raciste, de complotisme, convocation à la police, plaintes en tous genres, maison incendiée… Voici l’interview de Xavier Poussard qui vous plonge dans la réalité du travail journalistique jusqu’à toucher le seuil interdit où le mainstream ne s’aventure jamais, au bord de la vérité. Les fans de Truman Show connaissent le scénario…
Malgré ce flop monumental, cette défaite historique de l’idéologie dite dominante, ou qui le croit, la presse aux ordres, comme un poulet sans tête, continue à défendre une injection qui fait peur, et à raison, aux populations qui ont eu un an pour en voir les effets nocifs. Tous ceux qui sont morts, tous ceux qui ont été touchés par les effets secondaires des trois premières injections ont été comme des bombes qui ont frappé l’esprit des sceptiques, et même des provax. Cela a réveillé les consciences. Et il fallait malheureusement en passer par là pour que les Français reprennent leurs esprits. C’est chose faite : si seulement 10 % des plus de 60 ans ont accepté de recevoir cette dose de rappel dite bivalente, alors, pour les 90 % restants, ce sera plus dur, très dur de les traîner vers les médecins qui gagnent 25 à 45 euros (le week-end !) par shoot. Les salles de shoot, elles sont là et elles sont vides !
J’imagine que vous pensez à Google, Twitter, Instagram ou TikTok… Eh bien non, il s’agit de Doctolib. Doctolib, un site de mise en relation entre soignants et patients, qui constitue désormais un quasi-monopole dans l’Hexagone. Paradoxalement, nous ne savons presque rien sur Doctolib, ce géant qui a réussi à se faire oublier.
Qui est à sa tête ? quels sont les projets de ses dirigeants ? Comment ont-ils réussi à s’imposer sur un terrain caractérisé au départ par une forte concurrence ? Qu’est-ce qu’ils monétisent ? Comment ils rentabilisent leur investissement ? En d’autres termes, puisque c’est gratuit, est-ce que c’est nous le produit ? Le journaliste Théophile Kouamouo a fait appel au journaliste Pierre-Philippe Berson, qui a enquêté, avec son collègue Victor Le Grand et pour le magazine Society, sur cette plateforme qui exerce désormais une forme d’ascendant sur notre système de soins.
Le badge bleu certifié indique aux utilisateurs l’authenticité d’un compte d’intérêt public. Alors que la certification des comptes Twitter ne pouvait être obtenu que par les personnalités, il sera possible au commun des mortels d’en bénéficier. Le propriétaire de Tesla et de SpaceX assure que le prix de l’abonnement — annoncé à 8 euros par mois — sera ajusté en fonction des pays et de leur niveau de vie. Voici les avantages de la certification :
- Les tweets apparaîtront en priorité.
- Possibilité de publier de longues vidéos et enregistrements audio.
- Deux fois moins d’annonces.
- Les revenus générés par Twitter permettront de rémunérer les créateurs de contenu.
« Le système actuel de seigneurs et paysans de Twitter en fonction de qui a ou n’a pas un badge bleu est une connerie. Pouvoir au peuple ! Bleu pour huit dollars par mois »
POURQUOI CETTE VIDÉO ?
Nous montrons aux jeunes que vous n’êtes pas seul ! La société nous pille alors que nous pouvons très bien vivre une vie riche et belle, il suffit d’écouter son cœur !
RETROUVE-NOUS
Le 16 octobre à Pérols (Montpellier) pour la conférence « Un Futur pour la Jeunesse » de Pierre Lassalle et Lucie Delalain, à l’occasion de la sortie du livre du même nom, aux Éditions Terre de Lumière. La lecture de ce livre nous a donné l’idée de créer cette chaîne dédiée aux jeunes et à leurs messages !
Le livre : editions-terre-de-lumiere.com/euro/boutique/livre-un-futur-pour-la-jeunesse
L’événement : kaya-team-universe.org/evenements/conference-un-futur-pour-la-jeunesse
Du 30 décembre au 2 janvier : nous organisons un week-end « Art, Nature & Spiritualité ».
Tu as entre 18 et 33 ans ? Tu aimerais vivre le passage de la nouvelle année dans une ambiance chaleureuse, joyeuse et festive, avec des jeunes résistants à l'oppression sociétale, le tout dans un gîte en pleine nature ?
Au programme : jeu, danse, méditation, arts en tout genres, entraide concernant nos projets...
Alors contacte-nous pour plus d’information !
Pour nous appeler, nous rencontrer, ou même être interviewé et donner ton message !
Les services de renseignement intérieur allemands gèrent des centaines de faux comptes d’extrémistes de droite sur les médias sociaux, selon un rapport du journal allemand Süddeutsche Zeitung. Ces faux agents incitent à la fois à la haine et à la violence, indique le rapport.
« C’est l’avenir de la collecte d’informations », a déclaré un agent au journal.
Les recherches du journal ont permis de découvrir que le gouvernement a fortement investi dans les « agents virtuels » depuis 2019 en utilisant l’argent des contribuables.
Dans un tweet publié le vendredi 5 août, CBS faisait la promotion d’un nouveau film-documentaire Arming Ukraine (Armer l’Ukraine) : « Le nouveau documentaire de CBS Reports explore pourquoi une grande partie des milliards de dollars d'aide militaire que les États-Unis envoient à l'Ukraine n'arrivent pas sur les lignes de front : 30% atteint sa destination », écrivait le média sur Twitter.
« Inonder un pays avec des armes modernes peut entrainer de graves conséquences, même si cela est fait avec les meilleures intentions », pouvait-on lire par ailleurs dans l’article de description du reportage sur le site Internet de la chaine.
Mais depuis, l’article a été mis « mis à jour », selon les termes employés par CBS, et le film supprimé de son site Web au cours du weekend dernier. Faisant face à une avalanche de questions concernant les motivations qui ont sous-tendu cette décision, le média s’en est finalement expliquée sur Twitter.
Comme s’il sortait d’une fiction dystopique, M. Penrose, député de Weston-super-Mare, a proposé que le gouvernement oblige les plateformes en ligne à tenir à jour un score de la véracité d’une personne, déterminé par ses déclarations passées.
Voir les amendements proposés...
Cet inventaire suffit à montrer que cela ne peut pas être le fruit du hasard.
La crise sanitaire a vu l’ensemble des médias répéter à l’unisson les mêmes mantras, invitant les mêmes savants, depuis reconnus incompétents dans les domaines où ils s’exprimaient. Tout le monde l’a observé : aucun pluralisme mais une élimination systématique des opposants, un discrédit et l’opprobre sur les savants réfractaires. L’alignement des grands médias et leur promotion des thèses des gouvernements en sont une preuve éclatante, partout en Occident.
« On a beaucoup donné la parole à des experts, des journalistes ou des éditorialistes qui n’avaient pas plus de compétences médicales que vous et moi »
La première réunion du groupe Bilderberg a eu lieu en 1954, l’ordre du jour étant la reconstruction de l’Europe après la Seconde Guerre mondiale. Elle a été organisée par le prince Bernhard des Pays-Bas et s’est tenue à l’hôtel Bilderberg situé à Oosterbeek.