L’effondrement de l’Union soviétique a modifié l’équilibre international des pouvoirs. Le monde bipolaire a été remplacé par un monde unipolaire, ce qui a affecté la situation des médias, le programme libéral est devenu dominant et, en conséquence, les médias libéraux ont fermement pris le contrôle de l’agenda mondial de l’information.
Il y a quelques années, la situation a commencé à changer. Le monde est devenu multipolaire et de nombreux pays ont choisi leur propre voie de développement pour leurs médias. La guerre froide a refait surface, la vieille antithèse capitalisme/socialisme a été remplacée par des polémiques et, dans certains cas, par de véritables batailles entre les adeptes de l’économie libérale et les partisans des politiques de développement intérieur propres aux États à orientation sociale.
Aujourd’hui, notre tâche principale consiste à écraser les grands médias libéraux vecteurs de mensonges et à trouver un moyen de fournir des informations véridiques aux pays dits du « milliard d’or » sur la diversité du monde et le développement dynamique d’autres centres de gravité.
L’Europe a également connu un clivage idéologique qui a également affecté la sphère médiatique. La plupart des médias russes sont bloqués dans de nombreux pays (et pas seulement dans les pays hostiles). Les mégaprojets russes financés à hauteur de plusieurs milliards, qui n’ont pas été restructurés à temps malgré de nombreux avertissements, ne sont malheureusement pas devenus des acteurs importants dans le domaine de l’information étrangère en Europe. Ils n’ont tout simplement pas existé.
Pour trouver des partisans d’un monde multipolaire en Europe, il est nécessaire de créer de nouveaux médias et d’atteindre les plateformes européennes internes dans les réseaux sociaux et autres ressources. Il est possible de commencer par soutenir les ressources d’information des compatriotes russes.
Condamné en première instance et en appel pour « injures publiques » au président de la République, Michel-Ange Flori s'était pourvu en cassation. Emmanuel Macron et les tribunaux l'ont poursuivi jusqu'en appel. La condamnation a paradoxalement prouvé le bien-fondé de Michel-Ange Flori, puisque jamais Hitler et Pétain, auxquels Emmanuel Macron était comparé, n'auraient permis la critique. La cour de Cassation, elle, a jugé que l'humour était légal. Un petit pas dans la jurisprudence, mais un grand pas pour la liberté d'expression.
L’Autre Monde est alors représenté comme un pays lointain et inaccessible au commun des mortels. Dans certaines traditions asiatiques, comme dans « Le Conte de la Princesse Kaguya », la lune joue ce rôle. Ce n’est pas le cas en Occident. Néanmoins, sur un plan archétypal, un voyage sur la lune est un exploit surnaturel de dimension mythologique. Cela fait des astronautes Apollo les égaux des anciens demi-dieux, et cette aura a illuminé les États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages : c’était le récit fondateur d’une nouvelle religion qui élevait les États-Unis au rang de nation messianique propulsant l’humanité vers l’avenir radieux technologique2. Le discours du président Nixon, diffusé tandis que le module d’Apollo 11 traçait sa route vers la lune, invitait l’humanité à communier dans ce nouveau culte universel :
« Apollo 11 est en route vers la lune. Elle transporte trois braves astronautes ; elle porte également les espoirs et les prières de centaines de millions de personnes ici sur terre, pour qui ce premier pas sur la lune sera un moment de drame transcendant. Jamais l’homme ne s’est embarqué dans une aventure aussi épique. […] Alors que les astronautes vont là où l’homme n’est jamais allé, alors qu’ils tentent ce que l’homme n’a jamais fait, nous sur terre voudrons, comme un seul peuple, être avec eux en esprit ; partager la gloire et l’émerveillement, et les soutenir avec des prières pour que tout aille bien. »3
Une fois que Neil Armstrong et Buzz Aldrin eurent posé le pied sur la lune, le même Nixon réalisa « the most historic telephone callever made from the White House », récupérant ainsi une partie de leur pouvoir surnaturel de communication avec l’Au-delà.4
Mais qui fait l’ange fait la bête, ou le démon. Comme le fait remarquer le très sceptique chercheur allemand Gerhard Wisnewski dans « One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space », ce glorieux voyage lunaire mondialement télévisé qui auréolait les Américains d’une quasi divinité, détournait opportunément l’attention de l’enfer qu’ils imposaient à un peuple ici-bas. Apollo 11 atterrissait sur la lune deux mois après les bombardements illégaux au Cambodge ordonnés par Nixon. Et le programme Apollo cessa peu après que les dernières unités américaines aient quitté le Viêt Nam.
« Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une conquête d’un tout autre genre. »5
À vrai dire, en 1972, les gens s’étaient un peu lassés. Malgré l’arrivée de la télévision couleur, l’ajout de quelques gadgets distrayants comme le moon buggy, un suspens redoublé par la longueur des missions (72 heures sur la lune pour Apollo 17), et l’introduction de gags comme les sauts de Kangourou de Eugene Cernan6, l’enthousiasme du public n’y était plus.
Certains se grattaient même la tête: les astronautes n’avaient-ils rien de mieux à faire sur la lune que de planter le drapeau américain et ramasser des cailloux (380 kilos, toutes missions Apollo confondues) ? « Never come to the moon without a hammer », plaisanta Alan Bean d’Apollo 12 devant la caméra.
Sinon, on s’attire de gros problèmes : la Liberté et les Droits de l’Homme, c’est très bien tout ça, mais faut pas pousser.
C’est ainsi qu’apostropher le Chef de l’État en lui reprochant plus ou moins vertement sa politique et la façon dont son gouvernement gère les affaires courantes, ce n’est pas très bien vu et cela peut même vous mener au tribunal. Rien ne crie plus fort “Démocratie !” qu’embastiller ceux qui ne vous montrent pas de respect, n’est-ce pas.
Eh oui : alors que la liberté d’expression fut jadis un pilier des démocraties, il apparaît que la France – qui n’a jamais fait vraiment l’effort d’en être une particulièrement appliquée – est maintenant en pointe pour bien faire comprendre à tous ses citoyens que la question va se poser dans des termes très différents à mesure que les mois vont passer.
C’est ainsi qu’on apprend de source de moins en moins officieuse qu’au prétexte de lutter contre la haine en ligne, le gouvernement envisage de plus en plus sérieusement des mesures coercitives pour éliminer certains internautes des réseaux sociaux.
Bien évidemment et comme d’habitude pour faire passer ce qui apparaît de plus en plus comme une atteinte constitutionnelle grave au droit d’expression fondamental, il s’agira d’enrober la mesure dans une bonne couche de sécurité : afin de conserver les réseaux sociaux propres sur eux, on va en bannir les harceleurs et autres cybercriminels. Il suffira de s’appuyer sur la nouvelle bordée de directives et de règlements en cours d’application dans l’espace européen empaquetées dans le nom de “Digital Service Act”, vaste fourre-tout sécuritaire où tout pourra être prétexte à restreindre et limiter les allers et venues des internautes européens.
Texte : Egalité et Réconciliation
Ce qui est intéressant, c’est de constater la profondeur de l’enracinement de la colère et la forme d’organisation qui se met en place. Celle-ci est non pas élaborée et pensée de manière pyramidale ou imposée par un système, mais bien plutôt de manière anarchiste au sens premier – sans autorité et sans règles formelles. Des « collectifs » locaux, comme d’insaisissables entités qui sourdent de la terre, agissant telle une hydre à plusieurs tête dans des actions à faibles prévisibilités. Tout ce que détestent à la fois un gouvernement autoritaire et son bras policier.
Nous sommes un peu passés des Gilets jaunes première génération qui furent à l’époque comme un cri primal et donc rudimentaire, à des Gilets jaunes protéiformes desquels les organisations syndicales sont encore tenues à distance (en vérité ce sont elles qui constatent qu’elles n’ont plus la main et ne peuvent plus trahir en organisant leur éternel arrangement avec le pouvoir) et qui semblent s’être enracinés de façon durable, comme un lichen providentiel qui recouvrirait chaque jour davantage notre pays.
Il ne nous semble guère faire de doute que Rupert Murdoch, le propriétaire de la chaîne, a fini par céder aux instances de ses amis, tous membres respectés de l’establishmentSystème ; par exemple, – que ce soit Mitch McConnell, chef de la minorité républicaine au Sénat et archétype du RINO (‘Republican In Name Only’), que ce soit le sénateur démocrate Schumer, chef de la majorité démocrate dans la même assemblée.
Les deux hommes, qui dirigent les deux ailes du “parti unique” au Sénat, ont récemment fait des interventions publiques après des émissions de Carlson, chacun demandant à sa façon, – son départ pour des propos provocateurs évoquant quelques vérités qui ne sont pas bonnes à mettre entre toutes les oreilles ... Ils sont exaucés, mais pas vraiment rassurés pour autant.
Les explications de FoxNews pour décrire et justifier une décision prise vendredi et annoncée lundi matin à Carlson, de la façon la plus brutale du monde, sans qu’il lui soit donné l’occasion d’annoncer lui-même son départ de la chaîne comme c’est la coutume, ne présentent guère d’intérêt. Elles sont à la fois pathétiques et typiques de l’hypocrisie du Système, et donc de FoxNews qui a perdu lundi plus d’un $milliards du fait de la chute de ses actions à Wall Street suivant l’annonce du départ de Carlson. D’autres réseaux ont vu leur côté monter, comme Rumble, selon les rumeurs affirmant que Carlson passerait chez eux.
La notoriété, l’influence, l’abattage et le courage de ce journaliste profondément antiSystème à partir du cœur du Système, – un journaliste qui rappelle les ‘antiwar’ des premières années 2000, comme Justin Raimondo, – sont absolument immenses. Ce caractère exceptionnel de Carlson a été largement mis en évidence par son discours du 22 avril au 50ème anniversaire d’Heritage Foundation. Il a exposé la « spiritualité » du combat qu’il mène contre ce qu’il estime être les « forces diaboliques » agissant contre lui, exactement au moment où la direction de FoxNews décidait de se séparer de lui, – exactement comme si ceci expliquait cela, sans consultation préalable.
Parmi les réactions, on notera celles-ci, – dont certaines qui peuvent avoir une signification politique.
Malgré leur pouvoir informationnel jamais égalé, les réseaux sociaux restent pourtant amplement façonnés par les intérêts financiers de sociétés monopolistiques. Dans son ouvrage Algocratie, vivre libre à l’heure des algorithmes publié aux éditions Actes Sud, Arthur Grimonpont dresse avec rigueur et pédagogie le tableau dantesque de l’impact des réseaux sociaux sur l’ensemble de la société du XXIème siècle. Afin d’associer intelligence artificielle et enjeux actuels, Arthur Grimonpont plaide pour une véritable révolution de l’attention.
Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemblerait notre vie sans les réseaux sociaux ? Que se passerait-il si, le premier réflexe d’une majorité d’individus au saut du lit n’était pas de consulter leur smartphone ? S’ils ne pouvaient pas se contenter d’admirer les dernières photos de vacances de leurs proches pour considérer « avoir pris de leurs nouvelles » ? Si la moitié de notre garde-robe ne leur avait pas été directement recommandée par les publicités ciblées de Facebook ou leur influenceur préféré ? Si leur source d’information principale ne se déclinait pas sous forme de feed, de post et de short ?
Un vidéo publiée par l’Organisation d’informations « Projet Veritas » montre un cadre supérieur de Pfizer, Jordan Tristan Walker, se vantant devant la caméra de la façon dont son entreprise mène une sorte de science à la « Frankenstein » manipulant des virus pour le profit, mettant potentiellement en danger le monde entier en violation avec la loi fédérale.
Les déclarations faites par M. Walker sont graves et doivent être prises au sérieux. Si elles sont avérées, cela signifie que Pfizer aurait potentiellement violé la loi en manipulant des virus, mettant ainsi en danger la santé publique. Il est important de rappeler que toute manipulation de virus est illégale et met en danger le monde entier.
Il est également important de noter que cette histoire n’a pas été couverte par les grands médias, comme MSNBC et CNN, qui peut être par coïncidence, reçoive d’énormes sommes d’argent de Pfizer pour la publicité. Il en va de même du côté des médias français qui cherchent actuellement à discréditer l’organisation « projet Véritas » plutôt que de vérifier la véracité de l’information. Cela soulève des questions sur la capacité des médias à couvrir des histoires qui mettent en cause des entreprises puissantes et leur capacité à rester indépendants.
Ces dernières semaines, j’ai constaté qu’un sophisme narratif intéressant était vendu au grand public en ce qui concerne les desseins des globalistes. Les grands médias et d’autres acteurs suggèrent ouvertement qu’il est normal de s’opposer à certains aspects de groupes tels que le Forum économique global. Ils vous donnent la permission d’être inquiet, mais n’osez pas parler de conspiration.
Cette propagande s’écarte des dénégations abjectes que nous sommes habitués à entendre dans le mouvement de la liberté depuis une dizaine d’années. Nous avons tous été confrontés à la dissonance cognitive habituelle – les affirmations selon lesquelles les groupes globalistes « ne font que s’asseoir et parler de questions économiques ennuyeuses » et que rien de ce qu’ils font n’a d’incidence sur la politique globale ou sur votre vie quotidienne. Dans certains cas, on nous a même dit que ces groupes d’élites « n’existent pas ».
Aujourd’hui, les médias admettent que, oui, les globalistes ont peut-être plus qu’une petite influence sur les gouvernements, les politiques sociales et les résultats économiques. Mais ce que le courant dominant n’aime pas, c’est l’affirmation que les globalistes ont des intentions néfastes ou autoritaires. Ce ne sont que des propos insensés de type « chapeau d’alu », non ?
La raison de ce changement de discours est évidente. Un trop grand nombre de personnes ont été témoins du véritable programme globaliste en action pendant les blocages de la pandémie et elles voient maintenant la conspiration pour ce qu’elle est. Les globalistes, à leur tour, semblent avoir été choqués de découvrir que plusieurs millions de personnes s’opposaient aux obligations et que les refus de se conformer étaient clairement bien plus nombreux qu’ils ne le pensaient. Ils essaient toujours de faire passer leur marque de peur Covid, mais le chat est sorti du sac maintenant.
Ils n’ont pas réussi à obtenir ce qu’ils voulaient à l’Ouest, à savoir une tyrannie médicale perpétuelle de type chinois avec des passeports vaccinaux comme norme. La stratégie des globalistes a donc changé et ils cherchent à s’adapter. Ils admettent un certain niveau d’influence, mais ils font comme s’ils étaient bienveillants ou indifférents.
La réponse à ce mensonge est relativement simple. Je pourrais souligner comment Klaus Schwab du WEF a savouré le frisson de l’apparition initiale de la pandémie et a déclaré que la Covid-19 était l’« opportunité » parfaite pour initier ce que le WEF appelle « Grand Reset ».
Jeudi 15 décembre, l’Agence France presse (AFP) a diffusé une dépêche titrée « Électricité : le relevé de compteurs payant à partir du 1er janvier pour certains clients non équipés de Linky » et dont le contenu a été repris par de nombreux médias et sites web. Or, même si ce qu’a écrit l’AFP n’est pas formellement faux, le fait est que la plupart des gens qui ont vu passer cette information ont été désinformés.
En effet, les personnes qui résistent depuis 2015 à l’invasion des compteurs communicants verts fluo ont juste à faire une auto-relève de leur consommation sur le site web du distributeur d’électricité Enedis, ou par téléphone, pour échapper au moins jusqu’en 2025 à la facturation actuellement agitée pour les intimider.
Notons qu’il s’agit bien d’une simple facturation, parmi les nombreuses autres figurant dans le catalogue des prestations d’Enedis, et en aucun cas d’une amende : les 4 millions de foyers encore équipés de compteurs ordinaires ne sont pas hors-la-loi.
Lorsqu’un gouvernement est incapable d’organiser ou d’assurer les conditions d’un bon approvisionnement, il rationne et organise la pénurie.
Comme pour tout bon gouvernement socialisto-communiste, en France nous ne faisons pas exception à la règle et tout se termine toujours dans la pénurie, le manque, et l’absence.
Cette pénurie actuelle de médicament ne doit strictement rien au hasard et tout à l’action publique, et les médias cachent l’essentiel de la vérité.
Oui.
C’est le gouvernement qui est responsable des pénuries.
Pourquoi ?
Parce que dans un monde globalisé, mondialisé, où l’on a délocalisé volontairement nos usines, et où l’on a abandonné volontairement tous les droits de douane, on a décidé (en réalité on nous l’a imposé) de laisser jouer la concurrence internationale.
Le marché français du médicament n’est plus qu’un petit marché de 67 millions d’habitants dans un océan de 8 milliards de gens à soigner. Dans un tel monde et quand la demande est forte, l’ajustement se fait toujours par le prix… et la pénurie.
Ceux qui peuvent payer ou veulent payer sont servis. Les autres, se voient imposer la pénurie.
La semaine dernière, le FBI a décrit Lee Fang, Michael Shellenberger et moi-même comme des « théoriciens de la conspiration » dont le « seul but » est de discréditer l’agence. Cette déclaration va bientôt paraître ironique, car nous avons passé une bonne partie de la semaine à apprendre l’existence d’autres agences et organisations qui peuvent désormais être également discréditées grâce à ces fichiers. Par égoïsme, il se peut que je divulgue certaines de ces informations dans la matinée, afin d’en finir et de pouvoir être un père pleinement présent le jour de la fête.