La brochure s’appelle « Hey You », a été rédigée par la fondation « Santé sexuelle Suisse » et fait débat au Palais fédéral. La fondation, qui reçoit environ 800 000 francs de la Confédération sur son budget total de 1,2 million, serait beaucoup trop explicite dans ce livret, estiment certains parlementaires. Raison pour laquelle la conseillère nationale Verena Herzog (UDC/TG) déposera ce jeudi une intervention dans laquelle elle demande au Conseil fédéral de prendre position.
Résultat des courses : un beau bordel, une honte internationale et une preuve de plus que la gestion globale française ressemble en tout point à celle d’une république bananière.
Suite à cet événement, qui a eu un retentissement mondial – fort négatif pour la France –, deux écoles s’affrontent : la première, c’est celle d’un pouvoir néolibéral dont la tâche principale consiste à détruire les services publics, y compris celui de la sécurité, pouvoir qui a donné l’impression d’être complètement dépassé dans le maintien de l’ordre samedi 28 mai 2022 au soir, à Saint-Denis, mais aussi à Paris, où des supporters anglais ont été gazés. On ne reviendra pas sur les exactions des uns et des autres, racailles racketteurs, supporters sans billet ou policiers gazeurs.
La seconde est plus tordue, mais elle commence à émerger.
Cette théorie consiste à penser que le chaos a été pensé pour faire du 28 mai une date qui, un peu comme un attentat, justifierait un accroissement de la surveillance des citoyens, en prenant évidemment prétexte des débordements des supporters ou des racailles.
« Estrosi dit ce matin sur Europe1 qu’il faut profiter du chaos au #stadedefrance pour mettre en place « la reconnaissance faciale » ! Au moment où un rapport du Sénat la réclame aussi !
Vous les voyez venir ?! »
L'intérêt du document de Glaser de 1972 est de contrer les déclarations selon lesquelles il n'existe pas de recherches "crédibles" montrant les effets non thermiques. Il s'agit d'une fausse déclaration promue par ceux qui, soit ne connaissent pas la littérature, soit ne veulent pas admettre que ce rayonnement, aux niveaux auxquels nous sommes actuellement exposés, peut être nocif.
Des recherches crédibles existent, elles existent depuis des décennies et elles ont été largement ignorées par les responsables de la santé publique et professionnelle.
Le document de Glaser est téléchargeable ici.
Note : Ce document est "non classifié" et "a été approuvé pour une diffusion et une vente publiques ; sa distribution est illimitée"
La dysphorie de genre, anciennement appelée « trouble de l’identité de genre », se caractérise par un malaise profond et persistant vis-à-vis de son sexe anatomique. […]. Historiquement, elle n’a concerné qu’une infime partie de la population (environ 0,01 %) et presque exclusivement des garçons. Au cours de la dernière décennie, la donne a changé de façon spectaculaire. L’Occident a vu une augmentation subite du nombre d’adolescents affirmant souffrir de dysphorie de genre et s’identifiant comme « transgenres ».