La semaine dernière, le FBI a décrit Lee Fang, Michael Shellenberger et moi-même comme des « théoriciens de la conspiration » dont le « seul but » est de discréditer l’agence. Cette déclaration va bientôt paraître ironique, car nous avons passé une bonne partie de la semaine à apprendre l’existence d’autres agences et organisations qui peuvent désormais être également discréditées grâce à ces fichiers. Par égoïsme, il se peut que je divulgue certaines de ces informations dans la matinée, afin d’en finir et de pouvoir être un père pleinement présent le jour de la fête.
Dans la novlangue actuelle, toute recherche de causes d’un évènement, autre que celle fournie par les médias officiels, est appelée “théorie du complot”.
Voici, cités dans l’ordre où ils se sont présentés à nous, les éléments qui vont vous permettre de vous faire une opinion sur l’incendie de Notre-Dame, sur la gigantesque opération de spoliation qu’il révèle, sur Macron, sur les élus parisiens et sur ceux qui nous gouvernent
Vertige des pérégrinations de sa pensée. Mieux, de sa prise de conscience. Mieux encore, de sa déconstruction. Comme un cheminement dont le paysage nous fait fatalement écho – même si un peu, même si de loin : lettre ouverte d’un citoyen du siècle.
Nous nous sommes nous-même créés des dépendances avec les années. Aux objets, aux habitudes qu’on a prises. Elles se sont insinuées dans nos vies sans qu’on prenne conscience des impacts qu’elles auraient avec le temps. Nos souvenirs en sont pétris, on en a garni notre présent et on s’en découvrira de nouvelles demain. Mais une fois ce constat fait, est-il si grave de ralentir ?
On est de la génération touche-à-tout, parfois, on apprend dans l’urgence, par besoin, par nécessité, par instinct de survie. Et on se bat pour des droits, pour des causes, justes, pour les un(e)s et les autres. Et c’est normal, c’est simplement parce qu’on habite tous et toutes la même maison. Je me retrouve agitant les drapeaux pour essayer à mon échelle, de faire changer la trajectoire de la barque même d’un millimètre. Mais je sais que je ne suis pas seul et c’est aussi ça qui me donne cette rage, ce “courage” comme tant d’autres avant moi.
« Comme je le redoutais, arrive le jour où l’on m’ordonne à nouveau de ne pas joindre des analyses compromettantes. »
De retour de la magnifique rencontre de Saintes où plus d’un millier de personnes ont, le 28 oct 2022, partagé dans cette conférence-débat leur soif de savoir, leur soif de rencontres humaines dans une ambiance chaleureuse et familiale formidable1, j’ai été surprise de voir dans l’article de sud-ouest qui lui était consacré, un encart faisant l’écho des récriminations de deux associations de Saintes, alertant le maire de la présence de « Reinfocovid » qui « serait suivi pour dérives sectaires » ! 2
J’ai cru qu’il s’agissait d’une calomnie isolée, mais le 3 novembre 2022, je suis tombée sur cette annonce d’une secrétaire d’État annonçant de prochaines « assises contre les dérives sectaires et le complotisme ». Bingo !
Depuis que le mur du pouvoir se fissure, celui-ci dégaine une nouvelle arme pour faire peur et surtout faire TAIRE. Inquiet de l’accumulation de preuves sur la gestion catastrophique et malhonnête de la crise covid, et l’accumulation de mensonges, de contre-vérités et de décisions délétères pour le peuple, la DIVERSION se prépare.
Carl Sagan explore les nombreux types de tromperies dont nous pourrions être victimes, de la voyance au fanatisme religieux, en passant par la recommandation déloyale de produits par des « spécialistes » rémunérés pour le faire, au carrefour des croyances, des pseudo-sciences et des marchands en blouse blanche sur petit écran. Il tenait d’ailleurs ces derniers en piètre estime, considérant que leurs actes « révèlent le mépris qu’ils éprouvent pour l’intelligence de leurs clients » et « altèrent insidieusement les attitudes des peuples face à l’objectivité scientifique ».
Le kit proposé ici est bien plus qu’une simple ressource scientifique : il propose une démarche sceptique salutaire applicable à la vie de tous les jours. Appliqué au monde des réseaux sociaux, il devient véritablement vital tant la désinformation, les « infomercials » (faux articles commerciaux qui font la promotion d’un produit tout en prétendant informer), les fakes ou les manipulations politiques sont monnaie courante. En l’adoptant, nous nous tenons à l’abri de la fourberie et de la manipulation.
Nous sommes empoisonnés par un président plus préoccupé de plonger notre pays dans la guerre plutôt que de jouer la carte de l’apaisement dans le conflit russo-ukrainien.
Nous sommes empoisonnés par un déficit et une dette publique record, par une précarité et par une misère grandissante, pendant que la caste dirigeante continue à s’en mettre plein les poches. Les grands patrons du CAC 40, continuent de recevoir chaque année 200 milliards de cadeaux fiscaux (Subventions publiques, crédit d’impôts, et exonérations fiscales).
Nous sommes empoisonnés par des politiciens corrompus qui ne démissionnent pas et qui ne seront probablement jamais jugés correctement. Qu’il s’agisse d’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, mis en examen pour « prises illégales d’intérêts », d’Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, accusé lui aussi de « prises illégales d’intérêts », et d’Édouard Philippe bientôt convoqué le 24 octobre 2022 devant la Cour de justice de la République, reste-t-il un politicien intègre dans notre pays ?
Nous sommes empoisonnés par des écolos de pacotille, les « Khmers Verts », favorisant les éoliennes qui, non seulement produisent peu d’énergie, mais dont les pales, les montants et les batteries sont non recyclables. Quand tous les parcs éoliens défigurant la France seront achevés, les éoliennes ne produiront que 13% de nos besoins en électricité. Des milliards d’euros investis pour rien, mais pas perdus pour tout le monde. Bienvenue dans le monde glauque de la cupidité.
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En 5 ans (entre 2014 et 2019), Big Pharma a débloqué 818 millions d’euros pour récompenser des médecins influenceurs en France, d’après une étude consultée par Lecourrier-du-soir.com et dont les résultats ont été publiés ce 02 février.
Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour se remplir les proches. En tout cas, en pleine crise sanitaire où les liens entre laboratoires et scientifiques a déjà suscité une vive indignation, une étude menée par des chercheurs français risque de provoquer un vif tollé en France.
Nicolas Bonnal nous fait découvrir Bernays, un homme qui aimait rester dans les coulisses, comme Jean Monnet, mais, comme ce dernier, ne résista pas à raconter comment il avait mis en place une "machine" devant emmener les peuples là où ils ne voulaient.
Edouard Bernays est un expert en contrôle mental et en conditionnement de masse. C’est un neveu viennois de Freud, et comme son oncle un lecteur de Gustave Le Bon. Il émigre aux États-Unis, sans se préoccuper de ce qui va se passer à Vienne… Journaliste (dont le seul vrai rôle est de créer une opinion, de l’in-former au sens littéral), il travaille avec le président Wilson au Committee on Public Information, au cours de la première Guerre Mondiale. Dans les années Vingt, il applique à la marchandise et à la politique les leçons de la guerre et du conditionnement de masse ; c’est l’époque du spectaculaire diffus, comme dit Debord. A la fin de cette fascinante et marrante décennie, qui voit se conforter la société de consommation, le KKK en Amérique, le fascisme et le bolchévisme en Europe, le surréalisme et le radicalisme en France, qui voit progresser la radio, la presse illustrée et le cinéma, Bernays publie un très bon livre intitulé Propagande (la première congrégation de propagande vient de l’Eglise catholique, créée par Grégoire XV en 1622) où le plus normalement et le plus cyniquement du monde il dévoile ce qu’est la démocratie américaine moderne : un simple système de contrôle des foules à l’aide de moyens perfectionnés et primaires à la fois ; et une oligarchie, une cryptocratie plutôt où le sort de beaucoup d’hommes, pour prendre une formule célèbre, dépend d’un tout petit nombre de technocrates et de faiseurs d’opinion. C’est Bernays qui a imposé la cigarette en public pour les femmes ou le bacon and eggs sau petit déjeuner par exemple : dix ans plus tard les hygiénistes nazis, aussi forts que lui en propagande (et pour cause, ils le lisaient) interdisent aux femmes de fumer pour raisons de santé. Au cours de la seconde guerre mondiale il travaille avec une autre cheville ouvrière d’importance, Walter Lippmann.
Moi qui ai consacré une partie de ma vie au « changement climatique », j’ai fini par comprendre que cette thématique était également une manipulation des élites mondialistes pour parvenir à leur Agenda de dictature mondiale transhumaniste.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de problème écologique, mais ce n’est en fait pas le sujet puisque leur intention n’est pas d’y remédier.
Je ne suis donc pas surpris que les mêmes qui veulent :
• soigner l’ensemble de la population à coup d’injection,
• combattre toutes les « dictatures » du monde en renversant les régimes,
• éteindre la désinformation en censurant tous les discours alternatifs,
• sauver la démocratie en achetant les médias et les élections ;
veulent également sauver la planète en imposant des restrictions climatiques.
« Tout ce que les dirigeants ont à faire, c’est de dire au peuple qu’ils ont quelque chose à craindre. Pointez du doigt la source de leur peur, et vous pourrez obtenir des humains qu’ils fassent tout ce que vous désirez. Vous pouvez les rendre obéissants. »
Les services de renseignement intérieur allemands gèrent des centaines de faux comptes d’extrémistes de droite sur les médias sociaux, selon un rapport du journal allemand Süddeutsche Zeitung. Ces faux agents incitent à la fois à la haine et à la violence, indique le rapport.
« C’est l’avenir de la collecte d’informations », a déclaré un agent au journal.
Les recherches du journal ont permis de découvrir que le gouvernement a fortement investi dans les « agents virtuels » depuis 2019 en utilisant l’argent des contribuables.
Le lavage de cerveau par omission a une longue histoire. Le massacre de la Première Guerre mondiale a été autocensuré par des journalistes qui ont été anoblis pour leur conformité. Certains l’ont avoués dans leurs mémoires. En 1917, le rédacteur en chef du Manchester Guardian, CP Scott, confiait au premier ministre Lloyd George : « Si les gens savaient vraiment [la vérité], la guerre serait arrêtée demain, mais ils ne savent pas et ne peuvent pas savoir ».
Le refus de voir les gens et les événements comme ceux des autres pays les voient est un virus médiatique en Occident, aussi débilitant que le Covid. C’est comme si nous voyions le monde à travers un miroir sans tain, dans lequel « nous » sommes moraux et bienveillants et « eux » ne le sont pas. C’est une vision profondément impériale.
Ces dernières années, certains des meilleurs journalistes ont été écartés du grand public. « Défenestré » est le mot utilisé. Les espaces autrefois ouverts aux non-conformistes, aux journalistes à contre-courant, aux diseurs de vérité, se sont fermés.