Allons-nous vers une époque où les progrès extraordinaires qui ont été réalisés dans les domaines de la nanotechnologie, de la neurologie, la psychologie, l'informatique, les télécommunications et l'intelligence artificielle seront utilisés par les autorités gouvernementales pour contrôler la population ?
Déjà, les gouvernements du monde entier se servent de la "lutte au terrorisme" comme prétexte pour nous observer, pour nous pister, pour numériser l'ensemble de nos communications électroniques, pour nous faire subir des "mesures de sécurité", qui sont si extrêmes que même George Orwell (auteur du livre "1984") ne les a pas imaginées !
Qu'arrivera-t-il le jour où des individus poseront une arme de destruction massive dans une grande ville ?
La tentation d'utiliser ces nouvelles technologies pour contrôler le public devient presque irrésistible et à ce point, on peut même envisager un "contrôle de l'esprit" (mind control). Même si ce mot évoque une fiction, il ne s'agirait que de deux autres événements de type 11 septembre 2001 pour que la population réclame des mesures de sécurité jugées extrêmes pour l'instant, mais devenues souhaitables et impératives dans un tel contexte.
Quand la société connaîtra un effondrement complet et total dans les années à venir, les gouvernements du monde entier seront tentés de prendre des mesures extrêmes, y compris le contrôle à distance des individus, pour rétablir l'ordre. C'est pourquoi quelques unes des avancées les plus récentes dans le domaine des nanotechnologies font froid dans le dos...
Une équipe de chercheurs de l'Université de Buffalo a fait une découverte alarmante. Ce qui suit est un extrait de leur communiqué :
"Des nanoparticules magnétiques visant les membranes cellulaires peuvent contrôler à distance les canaux ioniques, les neurones et même le comportement des animaux", selon un document publié par des physiciens de l'Université de Buffalo dans la revue scientifique "Nature Nanotechnology".
Israël, premier exportateur de services en matière de campagnes de diffamation, fausses nouvelles et trucage d’élections, engrange des bénéfices juteux, mais la responsabilité juridique de ces crimes contre la démocratie risque de lui être imputée à plus long terme.
En février 2023, les journalistes d’investigation de l’association Forbidden Stories ont publié un nouveau chapitre de leur projet « Story Killers »1, révélant un réseau d’entreprises israéliennes qui fournissent des services de désinformation aux plus offrants. Ces services, qui portent la cyberguerre à un autre niveau, comprennent des campagnes de diffamation, la diffusion de fausses nouvelles et le trucage d’élections et de référendums.
La prise de conscience de la manière dont les médias sociaux, la surveillance et l’exploration de données peuvent influencer les élections s’est faite après que le scandale de Cambridge Analytica a été rendu public en 20182. Cambridge Analytica a influencé plus de 200 élections dans le monde, et l’un de ses principaux fournisseurs de technologie était Archimedes Group, une société israélienne. Lorsque l’une de ses cadres dirigeantes Brittany Kaiser s’est présentée devant le Parlement britannique pour dénoncer ces crimes, elle a affirmé qu’elle ne se souvenait pas des noms des employés israéliens d’Archimedes Group avec lesquels elle avait travaillé.
La cyberguerre en général et la désinformation en particulier sont des armes très dangereuses. Elles sapent le processus démocratique lorsqu’elles sont utilisées pour influencer les élections en diffusant des rumeurs et de fausses informations, et elles peuvent également devenir mortelles. Ainsi, la journaliste indienne Gauri Lankesh a été assassinée en septembre 2017, quelques jours avant de publier un article sur la désinformation et ses dangers. Elle était elle-même la cible d’une campagne de calomnie. Après son assassinat, on a découvert que les personnes qui l’avaient attaquée sur les réseaux sociaux n’avaient jamais existé. Leurs comptes ont ensuite été supprimés, masquant ainsi les traces de ceux qui avaient orchestré la campagne.
Des messages WhatsApp privés publiés ces derniers jours montrent comment des responsables britanniques de la santé, dont l’ancien ministre de la santé Matt Hancock, ont pris des décisions concernant la COVID-19 en se fondant sur l’opportunisme politique plutôt que sur la science, comme l’ont prétendu publiquement les responsables de la santé.
Les messages « soulèvent de nouvelles questions vitales sur la gestion de la pandémie à l’approche d’une enquête publique sur la réponse à la COVID-19 »et révèlent « des détails dévastateurs sur la réponse à la pandémie qui étaient restés secrets jusqu’à présent », selon The Telegraph, qui a obtenu l’archive de plus de 100 000 messages de – surnommés« The Lockdown Files » [Les dossiers de confinement]– de la journaliste Isabel Oakeshott..
Mme Oakeshott est coauteure du livre de M. Hancock intitulé « Pandemic Diaries: The Inside Story of Britain’s Battle Against COVID ».
M. Hancock a été le premier membre du gouvernement britannique à annoncer un confinement, dans des déclarations faites le 16 mars 2020, sur la base des conseils du groupe consultatif scientifique pour les situations d’urgence [Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE)]. Le confinement a officiellement commencé une semaine plus tard.
Les messages révèlent comment les fonctionnaires ont pris de manière informelle des décisions concernant les confinements, les mandats de port de masques, la distanciation sociale et l’isolement, les quarantaines, la distribution de vaccins et une foule d’autres questions liées à la COVID-19, et comment ces décisions ont été motivées par des considérations politiques.
Ma thèse sera la suivante : le New Age est issu d’une entreprise d’ingénierie sociale, d’une guerre cognitive faite aux peuples – essentiellement occidentaux – qui aura les effets principaux suivants :
Un relativisme radical des valeurs
L’émergence d’une écologie punitive anti-humaine
L’avènement de l’homme-soja, soit le suicide anthropologique de l’Occident
Une défaite de la pensée qui annonce le wokisme
Pour les besoins d’une conférence sur les nouvelles religions, j’étais invité à plancher sur la question du New Age. Pris par le temps, en bon cancre 2.0, j’interrogeais ChatGPT pour dégrossir le sujet. Voilà une synthèse honnête de ce qui en est ressorti :
Le New Age est un mouvement spirituel et culturel qui a émergé dans les années 1960 et 1970, principalement en Occident ; il est caractérisé par une approche holistique de la spiritualité, qui intègre des éléments de diverses traditions religieuses et spirituelles, ainsi que des pratiques de développement personnel et de guérison alternative.
Il ne s’agit pas des « extraterrestres » en tant que tels, qui, semble-t-il, ne feront pas encore leurs débuts officiels, mais plutôt du fait que la scène mondiale se prépare à leur apparition, comme c’est le cas depuis de très nombreuses années grâce aux offres surnaturelles spectaculaires d’Hollywood. Certains des films familiaux les plus durables et les plus appréciés de tous les temps – par exemple « ET » – et certaines des émissions de télévision les plus cultes et les plus populaires – « X-Files » – ont un message très clair et sans compromis : les extraterrestres sont réels, votre gouvernement les dissimule, mais un jour, bientôt, ils prendront contact…
Nous sommes préparés à l’invasion extraterrestre à travers nos écrans, tout comme nous avons été préparés à la « pandémie » de Covid (et au concept de « pandémie » en général) de la même manière. « Alerte », « World War Z », « Contagion » (dont un jeune ami m’a dit qu’il avait été projeté à sa classe de géographie lorsqu’il était à l’école vers 2015, et sur lequel Matt Hancock a confirmé plus tard qu’il avait « basé sa réponse à la pandémie ») – tout cela vise à manucurer l’esprit de masse pour qu’il accepte que les maladies mortelles qui se propagent lorsque les gens se respirent les uns les autres sont une chose réelle que nous devons craindre. Si ce concept ne nous avait pas été présenté par le cinéma, aucun d’entre nous ne l’aurait jamais cru, car il va à l’encontre de toute notre expérience directe et vécue. En bref, si les « pandémies mortelles transmises par la respiration » étaient une réalité, alors, dans une société aussi mobile et transitoire que la nôtre, nous serions tous constamment malades, et les emplois très exposés au public, comme l’hôtellerie ou la salle des arrivées de l’aéroport d’Heathrow, seraient plus dangereux que d’être en première ligne dans une zone de guerre.
Pierre Conesa : spécialiste des questions stratégiques et géopolitiques, membre des Econoclastes
01:05 Décision politique
02:41 Année 1991
03:12 Invention de l'ennemi
03:42 La guerre du Golf
04:02 La guerre en live
05:00 Gendarme de la planète
06:15 Le 11 septembre
07:17 Plateaux-télé
09:00 Légitimation des guerres
10:00 Néoconservateur et évangélistes
11:35 Colin Powell
12:38 Logique militaire des Etats-Unis
13:55 Chirac
15:00 Destruction des pays
16:20 Limite de l'action militaire
Jean-Robert Raviot : docteur en science politique, professeur et maître de conférence à Paris-Nanterre
17:19 Dialogue Franco-Russe
18:20 Meilleur ennemie de l'Occident
19:54 Russie-ennemi commode
21:21 Ennemi efficace
21:53 Nouvelle guerre froide
25:11 Editorialisme
27:07 Idée dominante occidentale
27:39 Idée russe
29:10 Occidentalisme
30:00 Patriotisme russe
34:10 Virtualisation de l'ennemi
37:10 Qui vote en Russie?
39:58 Justin Trudeau*
41:10 Effet des sacntions
42:02 Guerre classique
44:50 Discours sur la victoire
Pierre Conesa
50:42 Médias
52:34 Vocation donner des leçons
Irina Dubois
53:39 Comment arriver à la paix?
P Conesa
54:07 Macron
55:14 Histoire longue d'un pays
56:10 Stalingrad
Nos gouvernements européens savaient ce qui était sur le point d’être perpétré contre le peuple turc. Ils avaient été avertis, et par qui sinon par le Grand Allié ? Celui qui avait le pouvoir de provoquer le tremblement de terre ?
Ils se sont rendus complices du crime contre l’humanité le plus monstrueux qui se soit jamais produit ou qui puisse se produire dans l’histoire, parce qu’il a été commis contre une population civile sans défense et sans méfiance, exterminée par dizaines de milliers, faisant en un instant 2 à 3 millions de sans-abri, détruisant avec fracas des millions d’infrastructures civiles, maisons civiles par excellence, hôpitaux, routes, pour parfaire le crime contre l’humanité. Ajoutez à cela le fait qu’il a été commis contre un pays – la Turquie – formellement allié et contre lequel la guerre n’avait pas été déclarée.
L’atrocité du crime modifie également le concept même de « complicité » : lorsque le gouvernement italien ou allemand sait que le Grand Allié vous fera la même chose, si vous imitez Erdogan dans la désobéissance, en tuant des dizaines de milliers de vos propres citoyens et détruisant des millions de leurs maisons et infrastructures civiles, avec un tremblement de terre provoqué à volonté, mais dont le caractère artificiel peut être non seulement nié de manière plausible, mais moqué et même puni comme une théorie du complot délirante inspirée par la volonté de trahison pro-Poutine, votre adhésion au crime du Grand Allié se fait par pure terreur.
« Quelqu’un habillé en blanc venait de temps en temps me donner à boire et me nourrir. »
La Syrie vient, avec la Turquie, d’être durement frappée par un séisme d’une magnitude de 7,8.
Plus d’un millier de morts dans les deux pays et d’énormes dégâts. De nombreux immeubles et infrastructures sont détruits, projetant les survivants dans un énorme désarroi.
La Syrie, pays martyr, dont le peuple est toujours sous embargo depuis 2011, est en train de subir une nouvelle épreuve. Cet embargo prive le peuple de médicaments, de produits de première nécessité, de nourriture, mais aussi empêche toute reconstruction.
La Syrie est sous le couperet américain, les sanctions tuent. Washington pratique une politique servant les intérêts d’Israël.
Alors que la Grande Révélation bat son plein, avec la suspension des armes biologiques à ARNm qui semble imminente (et toutes les retombées explosives qui s’ensuivront), on pourrait être pardonné d’avoir négligé l’autre programmation sociale, relativement subtile, qui se fraie de plus en plus un chemin à travers l’opération psychologique de niveau militaire que sont les médias grand public.
Sur ma carte de bingo de l’apocalypse, je compte depuis longtemps la « prohibition » – mais pas seulement pour l’alcool, pour « l’amour » également. Cela vous semble être un peu trop de conspirationnisme ? Eh bien, décomposons les éléments constitutifs de mon titre définitivement-pas-pute à clics-parce-que-je-suis-sournoisement-shadow-bannie…
Tout d’abord, mes prédictions concernant l’interdiction de l’alcool :
J’en ai déjà parlé auparavant, et d’autres ont objecté, ce qui est compréhensible, « mais pourquoi les seigneurs obsédés par la dépopulation voudraient-ils interdire l’alcool alors que l’abus d’alcool contribue à tuer tant de gens ? ». Je réponds que c’est à cause du « paradoxe de l’alcool », un phénomène qui fait que les gros buveurs vivent plus longtemps que les abstinents (oui, vous avez bien lu). L’abus d’alcool ou de toute autre substance est indiscutablement mauvais, et il y a évidemment des buveurs à problèmes qui doivent s’arrêter, mais il n’en reste pas moins que la consommation régulière d’alcool est liée à une longévité accrue. Cela semble s’expliquer par le fait que la consommation d’alcool est très souvent liée à une socialisation accrue – elle a souvent lieu dans des pubs, des fêtes, des pique-niques, etc. – et parce que les effets protecteurs de la connectivité sociale sur la santé sont si puissants qu’ils contribuent à neutraliser bon nombre des dangers pour la santé associés à la consommation d’alcool – faisant de la consommation d’alcool et de la socialisation une activité statistiquement plus saine que l’abstinence seule.
Ainsi, puisque les seigneurs veulent que nous soyons aussi solitaires et isolés que possible (notamment parce que la solitude et l’isolement sont fortement prédictifs d’une mort prématurée), l’un des principaux facilitateurs d’une socialisation régulière et soutenue en Grande-Bretagne – l’alcool – doit disparaître.
Son nom ne vous est pas inconnu, cette femme a défrayé la chronique de toute la presse française dans les années fin 90- début 2000.
Connue sous le sobriquet de « la putain de la République », Christine Deviers-Joncour réapparaît dans la lumière par le biais de l’écriture.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !
« J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète » car, disaient-ils, le peuple pollue et pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». »