Christophe MERGAULT père de deux enfants, informaticien, militant EHS hors norme et diabétique, qui consomme 4 fois plus d'insuline depuis que les Linky ont été installés dans son quartier s’est opposé à la société anonyme ENEDIS afin de rétablir un courant propre non rayonnant en mode conduit pour certains EHS en shuntant les concentrateurs des compteurs connectés Linky.
Ses actes salutaires légitimes de salubrité publique contre cette nouvelle pollution irradiante délétère l’honorent, mais suite à une délation, dans un procès de David contre Goliath il est financièrement sévèrement condamné.
La violence de ce procès tient au fait qu'il était jugé d'avance, en effet le verdict était prêt le jour même, même si le juge après un moment d’hésitation décida de ne le donner que quelques jours après.
Cette précipitation signifie que les documents fournis au juge soit plus de 2000 pages concernant des informations scientifiques sur la nocivité de la Linky Dirty Electricity injectée par les concentrateurs, ses conséquences graves sur la santé, ainsi que les preuves vivantes données par de nombreux témoignages de personnes Electro Hyper Sensibles, ont été balayés d'un revers de main !
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Cet opposant au Linky avait trouvé un point faible au dispositif : les concentrateurs, qui rendent les compteurs « communicants ». Las de suivre la voie légale qui ne reconnaissait pas l'électrohypersensibilité, il a commencé à en « faucher » une petite centaine avant de se faire pincer.
Enedis a voulu faire un exemple.
MORT D'UN INVISIBLE
Il y a quelques jours, Christophe M. a mis fin à ses jours. Originaire de la Vienne, il vivait, travaillait et militait en Bretagne. Nos routes se sont croisées, il y a déjà un paquet d’années, à la faveur d’activités militantes. Plutôt qu’activité militante, « combat » serait un mot plus juste. Pour lui, se résigner n’était pas une option de vie. Ni se résigner, ni se soumettre.
Devenu EHS – électrohypersensible – il avait dû cesser son activité professionnelle. Il a alors consacré l’essentiel de son temps et de son énergie à faire connaître cette pathologie – méconnue et niée, en dépit des chiffres maintenant officiels de l’Anses, soit 3,5 millions de personnes (en France) en 2018. Il s’est attelé, de diverses manières, à faire connaître la nocivité des brouillards perpétuels d’ondes électro-magnétiques dans lesquels nous baignons tous, ondes qui impactent plus ou moins notre santé, et qui rendent la vie « normale » impossible aux malades : de lourds symptômes douloureux, difficiles à soigner et invalidants, entraînant exclusion scolaire et professionnelle, vie sociale impossible, en tous lieux puisque les ondes sont omniprésentes…. et recherche sans fin de zones blanches – plutôt grises, à ce jour – se raréfiant de plus en plus avec l’arrivée des 5 et 6G. Ces malades ont découvert la réalité d’un confinement total, bien avant la « crise sanitaire » . Et pour eux, ça ne s’arrête pas sur décret gouvernemental !
Dans le microcosme, Christophe était connu en tant qu’intrépide et joyeux militant anti-Linky. Nous, les militant-es Stop-Linky, ne sommes pas nombreux. Il est très difficile de mobiliser, les ondes ne se voient pas – donc elles n’existent pas ou sont inoffensives – et la majorité des gens ont tellement bien digéré le message technophile qu’ils sont persuadés que les problèmes créés par la technologie seront réglés par la technologie. Ignorant – volontairement ou non – que c’est une course sans fin puisque voulant et prétendant résoudre les problèmes qu’elle a générés, la technologie en crée de nouveaux…. Bref, parmi les quelques militants actifs énervés par l’alien vert-fluo (et ses frangins), Christophe était sans doute le plus audacieux, intrépide et activiste. Ses petits bricolages pour désactiver les envahisseurs ont fini par être dénoncés à la police par une « bonne Française ». Enedis, agacé et voulant faire un exemple, a fait traduire notre camarade en justice et lui a demandé une quarantaine de milliers d’euros de dédommagement, demande suivie par le juge. Christophe avait renoncé à faire appel, découragé par son avocat qui prédisait un second verdict plus lourd encore que le premier.
Même si, dans diverses luttes, les « minuscules » remportent parfois de beaux combats contre les « puissants », David ne gagne encore que rarement contre Goliath. Sans emploi ni source de revenus donc incapable de s’acquitter de la somme réclamée, non reconnu dans ses activités de lanceur d’alerte, très isolé en dépit des quelques déclarations de comités de soutiens, Christophe s’est trouvé pris à la gorge… il n’y avait plus qu’un petit pas jusqu’à la corde qu’il s’est passé au cou ce mercredi 28 septembre.
Si on considère le résultat de certains combats, on peut parler d’échec. Il est pourtant tout à fait possible de le regarder autrement. Dans cette société où les injustices, de plus en plus nombreuses, sont d’État, dans ce temps gangréné par l’individualisme, refuser de se soumettre, refuser de se résigner, résister, agir dans le sens du commun et du meilleur, dans quelque domaine que ce soit, c’est déjà une victoire. Contre l’indifférence et le fatalisme. Contre la perte galopante de notre humanité – de notre essence, donc.
Christophe (Linkiller) était mon camarade, mon frère d’armes – et d’âme – mon ami. Personne n’a le droit de le juger, et surtout pas ceux qui n’ont ni son courage, ni son engagement. Ses obsèques auront lieu dans le petit cimetière de St Pierre les Églises à Chauvigny, ce mercredi 5 octobre à 10 h.Le 3 octobre 2022
La façon dont le cartel de la presse subventionnée a volé au secours d'Enedis a démontré, s'il le fallait encore, combien le régime s'appuie sur des "journalistes de confiance" pour convaincre les gueux de ne pas s'inquiéter et d'obéir sans broncher à tous les délires qui ont pris le pouvoir.
Les réactions à une dépêche de l’AFP publiée mardi, annonçant qu’Enedis interromprait l’alimentation électrique des ballons d’eau chaude entre 12h et 14h pendant six mois ont constitué un puissant révélateur du malaise français qui devrait fortement inquiéter le pouvoir. Jamais encore les citoyens ordinaires n’ont autant exprimé de défiance vis-à-vis des mensonges incessants de la caste qui les dirige et les manipule.
La polémique autour des compteurs Linky a été relancée par la publication, discrète, d'un arrêté ministériel, le 22 septembre dernier. Selon certaines analyses un peu rapides, le texte permettrait à Enedis, le gestionnaire du réseau de distribution du courant, de « couper votre eau chaude à distance cet hiver » via les fameux compteurs Linky.
Voici, en images, de quoi il en est exactement.
Pour s’en convaincre, il suffira d’aller lire le court décret en application depuis samedi dernier et dont le texte, rédigé avec toute la légèreté des intestins législatifs habituels, est sinon limpide au moins peu ouvert à extrapolation : son premier article explique qu’il sera désormais possible de couper l’électricité à volonté pendant une durée ne dépassant pas deux heures, entre 11h et 15h30, au bon vouloir des pouvoirs publics pardon je veux dire en fonction des besoins énergétiques patati et des tensions du réseau patata.
Ici, l’idée est toujours la même : les zotorités, les pouvoars publics et le gouvernemaman vont multiplier les vexations puis le retour à la normale, alterner en somme claques et caresses dans une succession rapide afin de désarçonner les individus en les faisant passer d’une émotion négative (peur de manquer, d’avoir froid ou faim, etc.) à une émotion positive (soulagement d’un retour à la « normale ») pour les rendre émotionnellement malléables, prêts à accepter différentes pertes plus ou moins importantes de dignité et de liberté.
5,33 euros par mois. C’est ce que les utilisateurs récalcitrants devront peut-être payer en guise de pénalité pour refuser de se voir installer un compteur Linky à leur domicile.
Comme au Texas en février, où de nombreuses installations électriques avaient été paralysées par un froid extrême, faisant flamber les prix en Bourse.
Son audience a été repoussée au 7 janvier 2022, il plaide coupable mais demande la relaxe.
La brochure existe en format papier mais peut aussi être consultée en ligne. Elle comporte plus de 140 références vers des articles, documents et vidéos.
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« Nous décidons quelque chose, et la publions. Ensuite, nous attendons un peu pour voir les réactions. S’il n’y a pas de protestations ni insurrection, car la majorité ne comprend même pas ce qui a été décidé, alors nous continuons. Pas par pas, jusqu’au point de non-retour. »