IVERMECTINE – Articles et protocoles pour le CANCER, études de recherche et accès aux pilules d’ivermectine
Récemment, j’ai constaté une demande énorme pour une sorte de guide initial «PAR OÙ COMMENCER» avec l’ivermectine à haute dose pour le CANCER. Je republie donc mon protocole contre le cancer à l’ivermectine. Il est très simple à utiliser. Saviez-vous que l’ivermectine est prise chaque année par près de 250 millions de personnes ?
L’ivermectine possède une douzaine de mécanismes anticancéreux, mais ils peuvent être résumés en deux principaux :
1. Inhibe les voies de signalisation de la prolifération cancéreuse (Akt, mTOR, Wnt)
2. Inhibe les cellules souches cancéreuses
L’IVERMECTINE agira contre le CANCER régulier ainsi que contre le CANCER TURBO induit par le vaccin à ARNm COVID-19 de Pfizer et Moderna (qui est très résistant à la chimiothérapie)
Voici des études récentes sur l’utilisation de l’IVERMECTINE dans certains types de cancer :
CANCER DE LA VESSIE – (2024 Fan et al) – L’ivermectine inhibe la croissance des cellules cancéreuses de la vessie et induit un stress oxydatif et des dommages à l’ADN
CANCER DU POUMON – (2024 Man-Yuan Li et al) – L’ivermectine induit une autophagie non protectrice en régulant à la baisse PAK1 et l’apoptose dans les cellules d’adénocarcinome pulmonaire
GLIOMA – (2024 Xing Hu et al) – L’ivermectine comme stratégie thérapeutique potentielle pour gliome MYÉLOME MULTIPLE – (2024 Yang Song et al) – Signatures génétiques aux thérapeutiques : évaluation du potentiel de l’ivermectine contre le myélome multiple t(4;14)
CANCER DE L’OVAIRE – (2023 Jawad et al) – L’ivermectine augmente l’activité anticancéreuse de la pitavastatine dans les cellules cancéreuses ovariennes
CANCER DE LA PROSTATE – (2022 Lu et al) – Une analyse intégrée révèle FOXA1 et Ku70/Ku80 comme cibles de l’ivermectine dans le cancer de la prostate
CANCER DU CÔLON – (2022, Alghamdi et al) – Efficacité de l’ivermectine contre le cancer du côlon induit par la diméthylhydrazine chez les rats wistar mâles
CANCER DU PANCRÉAS – (2022 Lee et al) – Le traitement combiné à l’ivermectine et à la gemcitabine induit l’apoptose des cellules cancéreuses du pancréas via un dysfonctionnement mitochondrial
MÉLANOME – (2022 Zhang et al) – La réutilisation de l’ivermectine abroge les pièges extracellulaires des neutrophiles et prévient les métastases du mélanome.
L’IVERMECTINE a prouvé son activité anticancéreuse contre une vingtaine de types de cancer, bien qu’il s’agisse d’études précliniques. Nous ne verrons jamais d’études cliniques car l’ivermectine n’est plus brevetée et est bon marché. Merck, qui détenait auparavant un brevet sur l’ivermectine, s’est associé à Moderna pour des vaccins contre le cancer à ARNm.
L’IVERMECTINE est si sûre que dans une grande partie du monde civilisé, elle est disponible en vente libre, sans ordonnance. C’est ainsi que cela devrait être. J’ai récemment écrit sur la façon dont un médecin de la Saskatchewan, au Canada, vient de se voir infliger une amende de 44 800 $ par l’Ordre des médecins et chirurgiens pour avoir prescrit de l’ivermectine à quelques patients entre 2020 et 2022. L’Ordre des médecins de l’Ontario a même demandé à un enquêteur de se faire passer pour un camionneur canadien pour piéger un jeune médecin qui prescrivait de l’ivermectine à Ottawa en 2022 lors du convoi de camionneurs.
Les Canadiens doivent comprendre que les Collèges des médecins et chirurgiens sont des sociétés privées, entièrement achetées par les grandes sociétés pharmaceutiques et dirigées par des avocats mafieux qui font pression sur les médecins pour qu’ils se conforment, sinon aucun bureaucrate ou avocat de la santé n’a le droit de refuser à quiconque l’accès à des médicaments vitaux. Et s’ils le font, ils commettent un crime très grave.
Il est temps que les Canadiens traduisent les Collèges des médecins et chirurgiens en justice pour leurs nombreux crimes liés à la COVID-19, qu’ils les reprennent, les dissolvent et prennent un nouveau départ. J’ai maintenant une source fiable et abordable pour l’ivermectine, donc si vous avez besoin d’accéder à l’ivermectine, veuillez m’envoyer un e-mail. Lien de l’article sur la photo pour éviter le shadowban, retapez simplement l’URL de la 1ère photo en haut, dans votre navigateur pour y accéder
Elle est utilisée en médecine vétérinaire depuis des années contre des virus comme celui de la pseudo rage porcine ou l’encéphalite équine vénézuélienne, tous deux virus à ARN comme le Sars-Cov-2. Son action sur les importines, empêchant les virus de pénétrer dans les cellules, est connue et reconnue depuis 1972, tout comme son action contre le choc cytokinique responsable des décès du Sars-Cov-2, comme le montre nombre d’études et comme l’écrit aussi le Vidal.
Alors que l’ivermectine a démontré en 2020 son efficacité dans de nombreux témoignages et dans toutes les études publiées dans l’année, début 2021 a eu lieu la plus grande manipulation sanitaire de l’histoire. La France semble y avoir joué un rôle non négligeable pour rayer l’ivermectine de la pharmacopée, bien qu’ayant démontré ses possibilités tout en étant un des médicaments les plus sûrs qui soit.
La montée en puissance de l’ivermectine au second semestre 2020, faisait qu’elle représentait un grave danger pour l’industrie pharmaceutique qui avait investi des milliards dans la recherche contre le covid. Il fallait donc mettre un terme à cette thérapeutique croissante, sans concurrence, sinon l’hydroxychloroquine que les politico-financiers aidés de « médecins » avaient déjà réussi à faire taire.
L’ivermectine a été saluée comme un « médicament miracle » et, selon le rapport mondial sur la science de l’UNESCO, comme un élément essentiel de « l’une des campagnes de santé publique les plus triomphantes jamais menées dans le monde en développement ».
Cependant, depuis le début de la pandémie de COVID-19, les National Institutes of Health (NIH) et les autorités sanitaires affiliées ont vivement recommandé de ne pas utiliser l’ivermectine comme traitement potentiel du virus.
• Bien que la Food and Drug Administration (FDA) ait approuvé l’utilisation de l’ivermectine chez l’homme pour le traitement des maladies causées par des parasites, elle a également insisté sur le fait que l’ivermectine « n’a pas été démontrée comme étant sûre ou efficace » pour le traitement du COVID-19.
Complotisme ? Non, c’est officiel !
Parmi les auteurs figurent Flávio Cadegiani, endocrinologue certifié par le conseil d’administration, et Pierre Kory, un spécialiste franc de la médecine pulmonaire et des soins intensifs, ainsi que président et médecin en chef de la Front Line Critical Care Alliance.
L’étude, publiée le 31 août dans le Cuerus Journal of Medical Science, a été menée via une étude observationnelle prospective d’une « population strictement contrôlée » de 88 012 sujets dans la ville brésilienne d’Itajaí.
« Les personnes qui prenaient de l’ivermectine comme médicament préventif avant l’infection COVID ont vu des réductions remarquables des hospitalisations ainsi que des décès, selon la publication. »
Dernièrement, des médecins libéraux ayant prescrit ces médicaments ont reçu une convocation par leur conseil départemental de l’Ordre des médecins. Mettant en cause leur décision de prescription, l’organisme prévoit rien de moins que des conseils de discipline. Le début d’une nouvelle « chasse aux sorcières à grande échelle », estime le médecin généraliste, Grégory Pamart, toujours suspendu depuis le 15 septembre suite à son refus de recevoir la vaccination contre le Covid-19.
« La chasse aux sorcières à grande échelle a commencée. L'ordre multiplie les convocations.
Mort annoncée de l'article 5 du code de déontologie (indépendance des médecins), un pas de plus vers une médecine de protocole.
Qui restera pour vous soigner ? »
Grâce à l'Australie, nous pouvons voir au-delà des apparences, il suffit de regarder ce qu'il se passe dans ce pays...