À une époque où l'information est abondante mais souvent manipulée, où les médias semblent dicter la réalité, un concept émerge, celui du "Médiavers", développé par le philosophe Alexis Haupt. Dans cette ère de l'hyper-connectivité où tout un chacun peut accéder à une pléthore d'informations en quelques clics, se pose une question cruciale : qu'est-ce qui empêche les individus de se libérer du Médiavers ?
Au cœur du Médiavers réside un manque fondamental : celui de la volonté de savoir. Les médias, contrôlés par des intérêts particuliers, déforment la réalité et manipulent les masses. Dans cet univers parallèle, les véritables enjeux sont occultés, reléguant des sujets essentiels au second plan.
Dans le Médiavers, les déclarations sensationnalistes de certaines organisations, telles que l’OMS, sont amplifiées, détournant l’attention du véritable enjeu. Par exemple, une alarmante augmentation des cas de cancer va être attribuée à des causes superficielles telles que la pollution, l’alcool et la cigarette, alors que des facteurs plus profonds et systémiques sont négligés.
Mais le Médiavers va au-delà de la simple manipulation de l’information. Il façonne la perception de la réalité chez les individus, créant une dichotomie entre ce qui est présenté par les médias et ce qui est vécu dans le monde réel. Les personnes piégées dans le Médiavers nient les réalités évidentes sous leurs yeux, préférant croire ce qui leur est présenté par les médias.
La psychologie des individus en proie au Médiavers est intrigante. Leur perception de la réalité est déformée, et ils peuvent nier les faits les plus flagrants pour adhérer à un récit prédéfini. Même lorsque des preuves tangibles contredisent les récits médiatiques, ils choisissent de les ignorer, préférant vivre dans une illusion confortable.
Il est crucial de reconnaître les dangers du Médiavers. En concentrant l’attention sur des problèmes superficiels ou en déformant la réalité, il détourne l’attention des véritables enjeux. Par exemple, les préoccupations concernant des figures politiques éloignées peuvent occulter les menaces plus proches et plus pressantes qui affectent les individus au quotidien.
Nous avons le plaisir de vous informer que Profession-Gendarme figure en très bonne place au centre de cette carte.
Comme nous sommes des gens ayant un minimum d’éducation, pour une fois nous nous sentons obligés de remercier vivement ce très cher Rudy de ne pas nous avoir oublié.
Nous vous invitons à consulter sa publication avec la carte citée ci-dessus sur le lien suivant : https://www.conspiracywatch.info/conspiracymap/#/graph
Un grand merci à ce très cher Rudy Reichstadt de nous avoir mâché le travail et de nous permettre ainsi de consulter les sites les plus importants de la défense de nos Libertés et de la Vérité.
Pour en savoir davantage sur sa « méthodologie et son approche » qualifiant lui même son travail d’information et de veille critique d’être à juste titre « SANS EQUIVALENT » nous vous invitons à suivre ce lien : Cartographie du web conspirationniste francophone : méthodologie et approche
Par cette publication « Rudy » semble faire ce que l’on nomme de l’autosatisfaction, c’est à dire la satisfaction de lui même. (Synonymes de autosatisfaction : vanité, fatuité, prétention, suffisance, triomphalisme, infatuation )
N’oublions pas non plus l’argent du contribuable qu’il a facilement gagné et détourné à son profit, exemple entre autres le Fond Marianne.
Comme l’expose le Monde Diplomatique, une quarantaine de grands groupes, familles ou individus disposent de la quasi-intégralité des médias de la France. On retrouve parmi eux un certain nombre de milliardaires et de riches industriels. À partir de ce constat, il existe donc de clairs conflits d’intérêts.
Aujourd’hui, selon Média Crash d’Oxfam qui cite Julia Cagé : 9 milliardaires possèdent plus de 80 % des médias en France. Ces 9 milliardaires sont :
- Bernard Arnault : Les Echos, L’Opinion, Le Parisien, une partie du Groupe Perdriel (Challenges, Sciences et Avenir)
- Patrick Drahi : BFMTV, RMC, L’Express, Libération i24
- Xavier Niel : Le Monde SA (Le Monde, Télérama, Courrier International, L’OBS, Le Monde Diplomatique, Huffpost), NJJ (Paris Turf, Nice Matin, Var Matin, Monaco Matin)
- Daniel Kretinsky : Le Monde SA (Le Monde, Télérama, Courrier International, L’OBS, Le Monde Diplomatique, Huffpost), Elle, Marianne, Télé 7 Jours
- La famille Dassault : Le Figaro, Le Figaro Magazine
- François Pinault : Le Point
- La famille Bouygues : Groupe TF1 (TF1, LCI, TMC, TFX)
- Arnaud Lagardère : Paris Match, Hachette Livre, le JDD, Europe 1
- Vincent Bolloré : Groupe Canal + (Canal +, C8, CNews), Prisma Media (Capital, Femme Actuelle, Télé Loisirs, GEO, Voici, Gala), une partie de Lagardère(Paris Match, Hachette Livre, le JDD, Europe 1), France Catholique
En effet, parmi les 6 principaux quotidiens nationaux généralistes vendus en France, 4 sont contrôlés par des milliardaires. La dynastie Dassault, spécialisée dans l’aviation d’armement, possède donc le Figaro. Les échos sont détenus par Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France. Et malgré des fonds d’indépendance pour la presse, les richissimes Xavier Niel et Patrick Drahi gardent respectivement la main sur le Monde et Libération. Seuls donc l’Humanité et la Croix conservent une relative autonomie.
Celle-ci est l’œuvre d’un polytechnicien de formation, devenu entrepreneur et pilote, David van Hemelryck. Ce dernier a choisi ce mode d’action pour simplement sensibiliser les Français à propos de l'existence d'un processus de destitution du président de la République. Une destitution qu'il appelle de ses vœux, peu satisfait de l'état du système politique et démocratique de la France à l'heure actuelle. Une action qu'il aimerait voir se déclencher au-delà des chapelles politiques, des querelles partisanes ou des idéologies divergentes et dont il explique la nécessité à ses yeux au sein d'un site internet.
(voir la suite de l'article après la vidéo)
Ce qui n’est pas du goût du gouvernement allemand, car Alina Lipp est très populaire, un peu trop d’ailleurs, elle comptabilise pas moins de 167 000 abonnés sur la messagerie Telegram que les sites d’informations reprennent très largement.
Mais quel est donc le crime d’Alina ? Cette dernière a eu l’impertinence de qualifier les crimes de guerre de l’Ukraine dans le Donbass, qui se sont déroulés depuis 2014, de « génocide ». Elle risque jusqu’à trois ans de prison ferme. Loin de s’arrêter là, le gouvernement allemand a fermé ses comptes bancaires, ainsi que ceux de son père afin d’assécher ses revenus qui lui permettent d’informer la population allemande.
Mais l’acharnement ne s’arrête pas là. Elle a publié un message sur Telegram disant que « La dénazification a commencé », en référence à l’incursion de l’armée russe contre les soldats du bataillon Azov, soutenus par le régime de Zelensky, qui ne cachent pas leur adoration d’Hitler, ainsi que du nazi Stepan Bandera. Après ces propos, le Parquet enquête sur un acte « criminel », considérant que la journaliste « « encourage ou tolère des crimes réglementés par le Code pénal, et que l’invasion russe soutenue par Alina Lipp constituerait un crime au regard du droit pénal international ».
Au lieu de mener l’enquête sans conflits d’intérêts et de façon distanciée, au service de la chose publique, nombre de ces acteurs se sont recyclés dans ce que Lowenthal nomme la “lutte contre la désinformation”.
Un schéma qui est bien connu des lecteurs de France-Soir avec le compte rendu des Twitter Files, dont les épisodes ont été publiés dans nos colonnes depuis décembre 2022. Ces documents internes de l’oiseau bleu ont été dévoilés par Elon Musk. Ils ont permis à des journalistes d’investigation de mettre à jour plusieurs scandales d’ampleur. Ceux-ci montrent à quel point sont menacées à la fois la libre information et la liberté d’expression, du fait d’une emprise grandissante du pouvoir politique : c'est en effet au prétexte de cette lutte contre la désinformation que ce dernier exerce la censure.
Ce mécanisme n’est pas uniquement à l'œuvre outre-Atlantique. Les évolutions du règlement européen des plateformes numériques (le Digital Services Act) posent les mêmes questions de fond : jusqu'où le politique peut-il interférer avec la sphère de l’information ? In fine, peut-on alors parler d’une sorte de “mécanisme industriel de la censure” en vue de contrôler cette dernière ?
Un nouvel épisode des Twitter Files produit par Lowenthal lui-même aborde ce sujet et sera prochainement évoqué par France-Soir.
En attendant, voici un texte d'exception de l'essayiste qui rend compte de ses observations précitées et qui expose une nouvelle forme de manipulation de l'information. Celle-ci repose essentiellement sur ce mélange des genres aussi surprenant que grave entre des acteurs qui ne devraient jamais collaborer ensemble du fait d'évidentes questions de déontologie : universitaires, membres d'ONG, journalistes avec politiques, industriels et militaires.
Pour ma part, et ayant une assurance-vie, j’ai contacté mon assureur et lui ai demandé si j’étais couvert; sa réponse a été simple et claire, à savoir que c’était une injection en phase d’essai, qu’en acceptant je me mettais en situation de participant volontaire à une expérimentation médicale et que cela n’était pas expressément mentionné dans mon contrat!
Ceci étant il s’agissait pour moi d’une démarche et d’une décision individuelles que je n’ai porté à la connaissance que de ceux qui me demandaient si j’étais injecté et qui, devant ma réponse négative, me demandaient pourquoi; au même titre que je n’ai demandé à personne, ni dans ma famille ni parmi mes amis, s’ils étaient vaccinés ni s’ils avaient fait vacciner leurs gosses ou leurs parents … tentant de ne pas confondre le médical avec quelque chose qui ressemblait un peu trop à une pression sociale, d’ailleurs les dirigeants, les „médecins” et les journaleux ne se sont pas trompés, parlant de distanciation sociale et non de distanciation médicale !!!
Nota: ce qui suit a été pour partie publié sur Réseau International en août 2021, puis actualisé en novembre 2021.Je viens à nouveau de l’actualiser (essentiellement en référence aux dates, pas au contenu) du fait que nous en sommes arrivés à entendre des prises de position intéressantes, à savoir que les non-injectés auraient dû informer les injectés !!!
Selon l’humoriste et commentateur politique Russell Brand, les débats sur la récente acquisition de Twitter par Elon Musk ont fait rage entre les défenseurs de la liberté d’expression qui se réjouissent de cette opération et les démocrates néolibéraux qui s’inquiètent de voir un seul milliardaire contrôler la plateforme.
Dans sa dernière vidéo, Russell Brand soulève des questions sur les plans de Musk pour Twitter qu’aucun des deux camps ne pose.
Brand fait valoir que le paysage médiatique a changé. Aujourd’hui, de nombreux journalistes et personnalités des médias sont de plus en plus opposés à la liberté d’expression.
La Newsletter de Michel DOGNA
Ceux qui n’ont pas encore compris qu’il ne faut pas compter sur télémensonge qui est pilotée par la seule AFP (la voix de l’ennemi mondialiste) pour savoir ce qui se passe réellement sont vraiment hors-jeu.
Bien qu’il y ait grand danger atomique imminent de la part de deux dangereux tueurs psychopathes Z (UK) et M (FR) dépourvus de toute conscience et d’empathie que le "deep state" nazi-sataniste en plein naufrage utilise pour effectuer les sales boulots de dernière carte à jouer, je me contenterai ici de faire totale confiance à l’invincible avance technologique militaire russe et à la grande intelligence stratégique de Vladimir Poutine.
On n’évoque donc pas ici des titres faussement rebelles comme Le Canard Enchaîné ou Charlie Hebdo. En quelques mois, plusieurs périodiques de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne se retrouvent en difficulté.
Hale, un ancien analyste du renseignement électromagnétique de l’armée de l’air âgé de 34 ans, purge une peine de 45 mois de prison, à la suite de sa condamnation en vertu de la loi sur l’espionnage pour avoir divulgué des documents classifiés sur le programme d’assassinat par drone de l’armée des EU et son nombre élevé de morts civiles.
Les documents seraient la source de « The Drone Papers » publié par The Intercept, le 15 octobre 2015.
Hale fait partie des quelques dizaines de personnes de conscience qui ont sacrifié leur carrière et leur liberté d’informer le public sur les crimes, la fraude et les mensonges du gouvernement. Plutôt que d’enquêter sur les crimes révélés et de demander des comptes à ceux qui les ont commis, les deux partis au pouvoir font la guerre à tous ceux qui s’expriment.