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Aube DigitaleTaïwan : indemnités versées aux victimes de lésions par les vaxxins

Aube Digitale - 14 sep 2023

Taïwan : Les indemnités versées aux victimes de lésions par les vaccins anti COVID dépassent celles versées pour tous les vaccins combinés au cours des 30 dernières années – seules 45 % des demandes d’indemnisation ont été traitées jusqu’à présent

   

Avec seulement 45 % des demandes traitées à ce jour, plus de 153 millions de dollars taïwanais (4,5 millions d’euros) ont déjà été versés aux personnes blessées par les vaccins anti COVID, soit plus que les 129,6 millions de dollars taïwanais (3,8 millions d’euros) versés aux victimes de blessures causées par tous les vaccins combinés au cours des 30 dernières années, a-t-on appris hier lorsque les Centres de contrôle des maladies (CDC) de Taïwan ont répondu aux critiques formulées par le groupe législatif du parti de l’opposition.

Lors d’une conférence de presse tenue hier, le 6 septembre, le parti d’opposition Kuomintang (KMT) a exhorté le gouvernement à accélérer le processus d’examen de l’indemnisation des dommages causés par le vaccin contre le COVID-19.

Tseng Ming-tsung, chef du groupe parlementaire du KMT, a déclaré que trois problèmes majeurs entravaient la résolution des cas : la complexité des procédures, la longueur des délais de traitement et la difficulté à déterminer le lien de causalité.

Tseng Ming-tsung a mentionné que le premier problème est la complexité des procédures, qui oblige les victimes à fournir continuellement des informations supplémentaires. Le deuxième problème est la longueur du temps de traitement, avec un maximum de 9 mois pour l’examen, mais les cas prennent souvent beaucoup plus de temps, même jusqu’à 2 ou 3 ans. Le troisième problème est la difficulté de déterminer le lien de causalité. Sur les 3 271 cas traités à ce jour, seuls 123 cas, soit 3,7 %, ont été jugés comme ayant un lien de causalité avec le vaccin, tandis que les autres ont été jugés comme n’ayant pas de lien de causalité et n’ont donc pas pu être indemnisés.

Le secrétaire général du KMT, Hsieh Yimin, a déclaré que selon les statistiques de la Food and Drug Administration, entre mars 2021 et juillet de cette année, un total de 21 208 réactions indésirables ont été signalées à la suite de la vaccination contre le COVID-19. Toutefois, les statistiques du CIVP font état d’un total de 9 101 cas au cours des trois dernières années. En juillet, 7 741 demandes avaient été déposées dans le cadre du programme d’indemnisation des victimes de vaccins, ce qui signifie que toutes les victimes de vaccins n’ont pas demandé d’indemnisation.

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Japon indemnisations vaxx

Réseau InternationalJapon : 4000 dossiers injections ARNm étudiés, 163 déjà indemnisés

Réseau International - 08 sep 2023

4000 dossiers étudiés, 163 déjà indemnisés, le Japon reconnait que les injections ARNm covid ont bel et bien tué

   

Le Japon a soudainement admis hier 54 décès supplémentaires dus à des vaccins, portant le total du mois d’août à 63. On dirait qu’un raz-de-marée arrive… 4000 dossiers toujours en cours d’examen. Quelque chose s’est cassé ! Pfizer a-t-il oublié de payer les régulateurs ?

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Argentine - indemnisation

France SoirVaccination anti-Covid: l’Argentine va indemniser les victimes des effets indésirables

France Soir - 30 juil 2022

Lundi dernier, en catimini, sans résonance internationale, le gouvernement argentin a établi une procédure « d’indemnisation » pour les personnes qui auraient souffert d'« effets indésirables » après s’être vus imposer le « vaccin destiné à générer l’immunité acquise contre le Covid-19, dans le cadre du Plan stratégique de santé approuvé le 29 décembre 2020 ».

   

Le texte a été signé par Carla Vizzoti, ministre de la Santé, la même qui a mis en place le plan d’injection de masse, optant souvent pour les mêmes formes coercitives que celles actuellement en cours en Europe : exclusion des salariés non vaccinés, stigmatisation sociale, vaccination de centaines de milliers de personnes non informées des possibles effets secondaires, spécialement dans les « villas miserias », ces favelas argentines, dans lesquelles s’entassent des millions de personnes sans existence administrative. C’est donc le premier pays au monde où le responsable politique d’une atteinte à la santé humaine, instaure un mécanisme de réparation et admet officiellement l’existence des effets indésirables. Les produits en cause sont ceux des laboratoires Moderna, AstraZeneca, Pfizer-BioNTech, Johnson & Johnson et Sputnik V, qui ont été administrés indifféremment dans le pays austral.

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