Bonjour Nicolas,
Merci grandement pour avoir été notre guide vers ce sublime Monastère de Sel hier, cette balade m’a fait du bien, les barreaux de ma prison ici se sont un peu écartés le temps de cette bonne lecture.
Des nouvelles fraîches d’Ukraine, mon ami me dit que depuis des mois beaucoup n’ont plus rien à manger et fouillent les poubelles pour trouver un peu de pourriture nourriture à se mettre sous la dent. Et ceci pour les affamés « les plus chanceux » qui ne craignent pas de sortir et d’être embarqués manu militari vers un front hachoir à viande vers l’est, c’est à dire les plus âgés, complètement abandonnés à leur sort. Les plus « jeunes » se terrent car ils n’ont pas envie d’être envoyés vers un autre Marioupol ou un autre Bakhmout. Il écrit que pour ce qui sert de gouvernement là bas, tout ce qui ne combat pas ne sert à rien et est donc complètement laissé de côté, sans aucune aide.
Le génocide de la race blanche avance bon train sur ses rails de coke aussi.
Ici lutte en mode solo plus que jamais, mon âme me chuchote que pour être sauvés, nous devons nous souvenir que le Patron a demandé il y a deux millénaires à ce qu’on persévère jusqu’à la fin, sans s’écarter de la Voie étroite afin de ne pas rater la petite Porte.
Donc plus de compromis. Aucun. Évidemment en face, ils apprécient très moyennement et me le font savoir… survols multiples de bruyants anges noirs et d’aciers à très, très ( trop ) basse altitude parfois pour me rappeler ma place en enfer, des fois que j’aurais tendance à oublier que je suis de « ceux qui ne sont rien ». Ça m’apprendra à ne pas déclarer mes impôts et à leur écrire ( insolent en plus à ne pas vouloir tendre l’autre joug! ) sans langue de bois ce que j’en pense, enfonçant le clou pour la deuxième fois en trois ans après réception de leurs courriers à entête de « liberté égalité fraternité » ( la meilleure blague depuis deux siècles ).
Tandis que la théorie de Sélection naturelle de Charles Darwin reposait sur ce que sa propre formation culturelle tendait à le faire observer aux îles Galapagos, Pyotr Kropotkine participa à des expéditions géographiques en Sibérie. Là, il réalisa qu’une vision totalement différente de celle de Darwin se présentait à l’observation, et était susceptible d’être reportée sur la théorie de l’évolution de l’Homme.
« Qui sont les plus aptes ? Ceux qui se font sans relâche la guerre ou ceux qui sont solidaires les uns les autres ? »
Bien que les détails de ces opérations aient toujours été obscurs, un nouveau rapport publié jeudi par le Centre national chinois de réponse aux urgences en matière de virus informatiques et la société chinoise de cybersécurité 360 a dévoilé les principaux moyens techniques utilisés par la CIA pour organiser et promouvoir des troubles dans le monde entier.
Selon le rapport, depuis le début du XXIe siècle, le développement rapide de l’internet a offert de « nouvelles opportunités » aux activités d’infiltration de la CIA dans d’autres pays et régions. Toute institution ou tout individu, où qu’il se trouve dans le monde, qui utilise des équipements numériques ou des logiciels américains pourrait être transformé en « agent fantoche » de la CIA.
Depuis des décennies, la CIA a renversé ou tenté de renverser au moins 50 gouvernements légitimes à l’étranger (la CIA n’a reconnu que sept de ces cas), provoquant des troubles dans les pays concernés. Qu’il s’agisse de la « révolution des couleurs » en Ukraine en 2014, de la « révolution des tournesols » dans l’île de Taïwan en Chine, de la « révolution du safran » au Myanmar en 2007, de la « révolution verte » en Iran en 2009 ou d’autres tentatives de « révolutions des couleurs », les agences de renseignement américaines sont derrière tout cela, d’après le rapport.
La position dominante des États-Unis dans les technologies de télécommunication et de commandement sur place a offert à la communauté du renseignement américain des possibilités sans précédent de lancer des « révolutions de couleur » à l’étranger. Le rapport publié par le National Computer Virus Emergency Response Center et 360 révèle cinq méthodes couramment utilisées par la CIA.
La première consiste à fournir des services de communication en réseau cryptés. Afin d’aider les manifestants de certains pays du Moyen-Orient à rester en contact et à éviter d’être suivis et arrêtés, une société américaine, qui aurait des antécédents militaires aux États-Unis, a mis au point la technologie TOR, qui permet d’accéder furtivement à l’internet – la technologie Onion Router.
Les serveurs cryptent toutes les informations qui y transitent afin d’aider certains utilisateurs à naviguer sur le web de manière anonyme. Après le lancement du projet par des entreprises américaines, il a immédiatement été fourni gratuitement à des éléments antigouvernementaux en Iran, en Tunisie, en Égypte et dans d’autres pays et régions, afin que ces « jeunes dissidents qui veulent ébranler le pouvoir de leur propre gouvernement » puissent échapper à la surveillance de ce dernier, selon le rapport.
La deuxième méthode consiste à fournir des services de communication hors ligne. Par exemple, afin de s’assurer que le personnel antigouvernemental en Tunisie, en Égypte et dans d’autres pays puisse rester en contact avec le monde extérieur lorsque l’internet est déconnecté, Google et Twitter ont rapidement lancé un service spécial appelé « Speak2Tweet », qui permet aux utilisateurs de composer et d’envoyer gratuitement des notes vocales.
Ces messages sont automatiquement convertis en tweets, puis téléchargés sur l’internet et diffusés publiquement via Twitter et d’autres plateformes afin de compléter le « compte rendu en temps réel » de l’événement sur place, selon le rapport.
00:00 Géopolitique profonde
03:50 Economie :
- Explosion de la dette française
- Dédollarisation (suite)
- Yuan pour tous
- Reconstruction d’Artémiovsk
09:44 Terra Bellum vs économie russe
21:30 Poutine libère les entrepreneurs
23:23 Bases US en Finlande
25:18 Fillon anti-système
27:47 Considérations militaires :
- Attentat sur le Kremlin
- Gamelins de la semaine (double dose) !
36:43 Le milliard pour les munitions
38:45 Carte des opérations militaires
Nous pensions que cela n’existait que sous des dictatures et dans des temps troublés. Or, pour notre plus grande honte, c’est très exactement ce que sont en train de faire les gouvernements ukrainiens et occidentaux en général.
es guerres s’embrasent du Soudan à l’Ukraine. La dépense militaire mondiale croit en conséquence. L’Europe a dépensé en 2022 en armes et opérations militaires 13 % de plus par rapport à 2021, enregistrant la plus forte augmentation depuis 30 ans. La dépense annuelle de l’Italie est montée à plus de 30 milliards d’euros, c’est-à-dire à une moyenne de plus de 80 millions d’euros par jour.
On continue en même temps à cacher ou à mystifier les véritables causes des guerres. Le président Biden déclare que « la tragique violence au Soudan est inconcevable et doit finir ». Il efface de cette façon le fait que, quand il était vice-président de l’Administration Obama, il a été un des principaux artisans de la stratégie états-unienne qui a alimenté la guerre au Soudan pour briser le pays en deux parties. Ainsi naissait en 2011 l’état artificiel du Soudan du Sud, en possession de 75 % des réserves pétrolifères soudanaises. Ceci a provoqué l’ultérieure extension des conflits internes et des ingérences externes pour le contrôle de la région soudanaise, importante à la fois parce qu’elle est riche en pétrole, gaz naturel, or et autres matière premières et parce qu’elle a une position géostratégique clé dans le continent africain.
En Ukraine, les États-Unis, l’Otan et l’Union européenne continuent à alimenter la guerre contre la Russie, en fournissant au régime de Kiev de croissantes quantités d’armes et une assistance militaire en tout genre. En même temps, ils font en sorte que le régime de Kiev efface tout ce qui est russe de l’Ukraine et de son histoire. Après que Kiev a décrété d’envoyer au bûcher 100 millions de livres russes depuis les classiques de la littérature —pratique analogue à celle du nazisme hitlérien—, le président Zelensky a signé une loi qui interdit les noms russes des lieux et autres symboles de la fondamentale composante russe de l’histoire ukrainienne.
Ils auraient agi dans le cadre du Bataillon Azov et de la 92° brigade des forces armées ukrainiennes.
La Commission d’enquête établira toutes les circonstances des incidents pour traduire en justice les personnes impliquées dans la commission des crimes.
Il y aurait 8 000 mercenaires étrangers sur le front ukrainien, principalement Polonais, États-uniens, Canadiens, Roumains et Britanniques.
Selon le Haut Commissaire des Nations unies pour les Droits de l’homme (OHCH), l’Autrichien Volker Turk, l’Ukraine n’engage aucune poursuite contre ses soldats ayant commis des crimes de guerre documentés.
J’ai déjà parlé à maintes reprises de l’incompréhension absolue de la plupart des gens en ce qui concerne Wagner et son rôle dans le conflit.
Certains l’ont apparemment considéré comme une sorte de singleton autonome, avec Prigozhin comme commandant en chef et stratège militaire. En réalité, Prigozhin n’est bien sûr pas le véritable « commandant » des forces. Il n’a aucune expérience militaire à proprement parler et ne sait probablement presque rien des tactiques/stratégies militaires. Il n’est que le visage public du groupe, le porte-parole.
Le véritable commandant de Wagner serait un nom de code Lotus, ou Lotos en russe.
Lotus, né Anton Yelizarov à Rostov, en Russie, était un officier de réserve russe et diplômé de plusieurs prestigieuses académies militaires russes dans les années 90, dont l’école de parachutistes d’élite Suvorov Military Guards Ulyanovsk et l’école aéroportée Ryazan. Il a ensuite servi dans le district militaire du Sud en tant que commandant de peloton et de compagnie dans la 7e division de montagne d’assaut aéroportée d’élite. Il aurait ensuite été promu à la 10e brigade des forces spéciales séparées du GRU.
Il a ensuite été transféré à Wagner et aurait servi en Syrie où il a été blessé, ainsi qu’instructeur en République centrafricaine, puis commandant en Libye.
En bref : ce type a une sacrée carrière et une expérience de conflit actif sans pareille.
Mais les États sont raisonnables et, dans les faits, envisagent plutôt une séparation à l’amiable, une division du monde en deux mondes différents, l’un unipolaire et l’autre multipolaire. Peut-être assistons-nous en réalité à un troisième scénario : l’« Empire américain » ne se débat pas dans le piège de Thucydide, il s’effondre comme son ex-rival soviétique est mort.
Les « straussiens » états-uniens, les « nationalistes intégraux » ukrainiens, les « sionistes révisionnistes » israéliens et les « militaristes » japonais appellent de leurs vœux une guerre généralisée. Ils sont bien seuls et ce ne sont pas des mouvements de masse. Aucun État ne s’engage pour le moment sur cette voie.
L’Allemagne avec 100 milliards d’euros et la Pologne avec beaucoup moins d’argent se réarment massivement. Mais aucun des deux ne semble impatient de se mesurer à la Russie.
L’Australie et le Japon investissent aussi dans l’armement, mais aucun d’eux n’a d’armée autonome.
Les États-Unis ne parviennent plus à renouveler les effectifs de leurs armées et ne sont plus capables de créer d’armes nouvelles. Ils se contentent de reproduire à la chaîne celles des années 80. Ils entretiennent cependant l’arme nucléaire.
La Russie a déjà modernisé ses armées et s’organise pour renouveler les munitions qu’elle utilise en Ukraine et produire en série ses nouvelles armes que nul ne peut concurrencer. La Chine, quant à elle, se réarme pour contrôler l’Extrême-Orient et, à terme, pour protéger ses routes commerciales. L’Inde se pense en puissance maritime.
On ne voit donc pas qui, à la fois, souhaiterait et pourrait déclencher une Guerre Mondiale.
Contrairement à leurs discours, les dirigeants français ne se préparent pas du tout à une guerre de haute intensité [1]. La loi de programmation militaire, établie pour dix ans, prévoit de construire un porte-avion nucléaire, mais réduit l’armée de Terre. Il s’agit de se donner des moyens de projection, mais pas de défendre le territoire. Paris continue à raisonner en puissance coloniale alors que le monde devient multipolaire. C’est un classique : les généraux se préparent à la guerre précédente et ignorent la réalité de demain.
L’Union européenne met en œuvre sa « Boussole stratégique ». La Commission coordonne les investissements militaire de ses États-membres. Dans la pratique, ils jouent tous le jeu, mais poursuivent des buts différents. La Commission, quant à elle, tente de prendre le contrôle des décisions de financement des armées qui jusqu’ici dépendent de leurs parlements nationaux. Cela permettrait d’édifier un Empire, mais pas de déclarer une guerre généralisée.
À la fin de la première guerre du Golfe, Saddam Hussein a été dénoncé comme un méchant féroce pour avoir ordonné à ses troupes en retraite de détruire les champs pétrolifères koweïtiens, coagulant l'air de nuages toxiques de fumée noire et saturant le sol de marécages de brut. Cela a été appelé à juste titre un crime de guerre environnemental.
Mais des mois de bombardements de l'Irak par des avions et des missiles de croisière américains et britanniques ont laissé derrière eux un héritage encore plus meurtrier et insidieux: des tonnes de douilles, de balles et de fragments de bombes mélangés à de l'uranium appauvri. Au total, les États-Unis ont frappé des cibles irakiennes avec plus de 970 bombes et missiles radioactifs.
Il a fallu moins d'une décennie pour que les conséquences sanitaires de cette campagne de bombardements radioactifs commencent à se faire jour.
Et ils sont terribles, en effet. Les médecins irakiens l'appellent «la mort blanche» - la leucémie. Depuis 1990, le taux de malades de la leucémie en Irak a augmenté de plus de 600%. La situation est aggravée par l’isolement forcé de l'Irak et le régime sadique des sanctions, récemment décrit par le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, comme «une crise humanitaire», qui rend la détection et le traitement des cancers d'autant plus difficiles.
«Nous avons la preuve de traces d'uranium appauvri dans des échantillons prélevés pour analyse et ça contredit carrément ceux qui affirment que les cas de cancer ont augmenté pour d'autres raisons», a déclaré le docteur Umid Mubarak, ministre irakien de la Santé.
Le docteur Mubarak soutient que la crainte des États-Unis de faire face aux conséquences sanitaires et environnementales de leur campagne de bombardements à l'uranium appauvri est en partie à l'origine de leur échec à respecter leurs engagements dans le cadre d'un accord autorisant l'Irak à vendre certaines de ses vastes réserves de pétrole en échange de nourriture et de fournitures médicales.
«La poussière du désert transporte la mort», a déclaré le docteur Jawad Al-Ali, oncologue et membre de la Royal Society of Physicians d'Angleterre. «Nos études indiquent que plus de quarante pour cent de la population autour de Bassorah aura un cancer. Nous sommes en train d’assister à un autre Hiroshima.»
La plupart des victimes de leucémie et de cancer ne sont pas des soldats. Ce sont des civils. Et beaucoup d'entre eux sont des enfants. Le Comité des sanctions irakiennes, dominé par les États-Unis, à New York, a rejeté les demandes répétées de l'Irak pour du matériel de traitement du cancer et des médicaments, même des analgésiques comme la morphine. En conséquence, les hôpitaux débordés dans des villes comme Bassorah sont obligés de traiter les cancéreux avec de l'aspirine.
Cela fait partie d'une plus grande horreur infligée à l'Irak qui voit jusqu'à 180 enfants mourir chaque jour, selon les chiffres de mortalité compilés par l'UNICEF, à partir d'un catalogue de maladies du 19ème siècle: choléra, dysenterie, tuberculose, e. coli, oreillons, rougeole, grippe.
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26:00 Carte des opérations militaires
La première a reçu une réponse de son chef de cabinet avant le début de l’opération militaire spéciale, m’assurant que le président français ferait tout ce qui est en son pouvoir pour nous apporter la paix. La seconde a été écrite un an plus tard. J’ai dit tout de suite que M. Macron ne me répondrait pas cette fois-ci. Et c’est ce qu’il a fait. Il n’avait rien à dire.
Vous vous demandez peut-être pourquoi moi, une adolescente de 14 ans, j’ai le culot d’écrire au chef d’un grand État européen ? Je ne pense pas que j’en aurais le droit si je n’avais pas vécu la guerre dont M. Macron et la France, entre autres, sont responsables, car dans le Donbass, des enfants meurent à cause des armes que M. Macron fournit au régime ukrainien. Ces armes ne contribuent pas à protéger la vie de personnes innocentes, elles aident l’Ukraine à tuer des civils. J’ai donc décidé d’écrire une troisième lettre dans l’espoir d’atteindre le cœur du président français. Monsieur Macron, vous en avez un, n’est-ce pas ?
Chaque jour, de nouveaux noms apparaissent sur l’Allée des anges à Donetsk et à Lougansk, dans le Donbass. Ils sont tués avec vos armes, Monsieur Macron. Dites-moi, les enfants que nous avons sont-ils différents de ceux qui vivent en France ? Je ne le crois pas. Tous les enfants du monde ont le droit de vivre. Vous avez promis qu’en tant que président d’un grand pays – et je considère la France comme un pays avec une grande histoire – vous aideriez à établir la paix. Vous avez menti, Monsieur le Président. Vous et d’autres pays européens vous êtes préparés à cette guerre depuis longtemps. Mais quelle que soit votre volonté de vaincre la Russie, cela n’arrivera pas. Car la Russie ne commence pas les guerres, elle les termine.
Je regrette que vous poussiez votre peuple vers une grande guerre. Est-ce pour le bien de la France ? Est-ce que cela améliore la vie des gens ordinaires en France ? J’en doute. Les incendies de Lyon et de Paris et l’attitude de votre peuple à votre égard en sont la preuve. La France était autrefois un allié de la Russie, mais aujourd’hui, vous aidez ceux qui tentent de mener une nouvelle guerre mondiale par l’intermédiaire d’autres personnes.
...
Ils n’ont d’autre choix que de la livrer s’ils veulent sortir vainqueurs du « piège de Thucydide ». À moins que tout ce remue-ménage ne soit qu’une mise en scène pour « tenir » les alliés dans leur camp tandis que de très nombreux États, en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie, se déclarent « neutres ». Dans le même temps, les bruits de bottes rameutent les militaristes japonais qui, comme les « nationalistes radicaux » en Ukraine, sont de retour.
Face aux progrès accomplis par les partisans d’un monde multipolaire, les défenseurs de l’« impérialisme américain » n’ont pas été longs à réagir. Deux opérations seront analysées ici : la transformation du marché commun européen en une structure militaire et la reformation de l’Axe de la Seconde Guerre mondiale. Ce second aspect fait entrer en jeu un nouvel acteur : le Japon...