Qu’on le veuille ou non, les longues années d’indifférence occidentale au sort des Palestiniens se terminent. Désormais, il va falloir commencer à appliquer le Droit international.
Contrairement à ce que j’ai écrit la semaine dernière sur la base des dépêches d’agences de presse occidentales et arabes filtrées par la censure militaire israélienne, l’attaque d’Israël le 7 octobre 2023 (opération « Déluge d’Al-Aqsa ») n’a pas été perpétrée par le seul Hamas. Son déclenchement a été décidé par une chambre d’opération unitaire de l’ensemble de la Résistance palestinienne. Le Hamas, qui en est de loin la principale composante, a fourni l’essentiel des troupes, mais trois autres groupes y ont participé :
- le Jihad islamique (sunnite et khomeyniste),
- le Front populaire de libération de la Palestine (marxiste)
- et le Front populaire de libération de la Palestine-Commandement général (FPLP-CG).
La presse occidentale a rendu compte des crimes barbares commis par certains des assaillants, mais pas du respect de certains autres. Vérification faite, les accusations de viols et de décapitations de bébés relèvent de la propagande de guerre. Ce journalisme borgne et menteur ne doit plus nous étonner.
Cette précision modifie l’interprétation de l’évènement. Il ne s’agit plus d’une opération jihadiste des Frères musulmans, mais d’une attaque de l’ensemble des Palestiniens de Gaza. Seul le Fatah de Cisjordanie, qui se tient à l’écart des groupes précités et dont le président, Mahmoud Abbas, est gravement malade, n’y a pas participé.
Le but de cette opération n’était pas de « tuer des juifs », même si certains jihadistes du Hamas l’ont fait (les Israéliens dénombrent 2 700 morts au total), mais de faire des prisonniers, civils et militaires, pour les échanger avec les détenus arabes des prisons de haute sécurité israéliennes. Ceux-ci ne sont pas nécessairement des combattants, mais aussi des civils. Les prisonniers ont été emmenés sans pouvoir se changer pour rappeler la manière dont l’armée israélienne avait traité les prisonniers égyptiens à la fin de la guerre des Six jours.
Rappelons que le conflit israélo-palestinien n’oppose pas deux États (celui d’Israël n’a toujours pas de frontières et celui de Palestine n’est toujours pas reconnu), mais deux populations. C’est une situation particulière : les Palestiniens ne sont pas représentés par un État et les Israéliens ont des responsabilités supplémentaires en tant que puissance occupante.
01:43 Économie
Stabilisation du rouble et de l’inflation
G7 vs emprunts russes
Recettes records pour les hydrocarbures russes
Black-out pour la France et l’Ukraine
06:20 Politico-diplomatique
Jeanne d’Arc à Saint-Pétersbourg
Baltic-Connector endommagé (gazoduc Estonie-Finlande)
Poutine à Bichkek
Conflit israélo-palestinien
John Mearsheimer le visionnaire
Héritage soviétique de la politique arabe
Israël vs Ukraine
19:49 Armement
Livraison des SU-35, SU-57, SU-34
20:51 Considérations militaires générales
Israël vs Palestine, premières leçons
Moscou contre-attaque
32:30 Carte des opérations militaires
Gaza est littéralement rasée, les images qui suivent sont issues de l’armée de l’air israélienne, qui a déversé en une nuit 6000 bombes sur les immeubles surpeuplés (de civils).
Tôt le samedi 7 octobre 2023, le Hamas a lancé l’opération «Tempête Al-Aqsa», dirigée par le chef militaire du Hamas, Mohammed Deif. Le même jour, Netanyahou a confirmé un soi-disant «état de préparation à la guerre».
Les opérations militaires sont invariablement planifiées longtemps à l’avance (voir la déclaration de Netanyahou de janvier 2023 ci-dessous). L’opération «Tempête sur Al-Aqsa» était-elle une «attaque surprise» ?
Les services de renseignement américains affirment qu’ils n’étaient pas au courant de l’imminence d’une attaque du Hamas.
«Il faudrait être d’une grande naïveté pour croire le discours des grands médias d’État selon lequel l’invasion du Hamas a été un «échec du renseignement» israélien. Le Mossad est l’une des agences de renseignement les plus puissantes de la planète, si ce n’est la plus puissante».
Netanyahou et son vaste appareil militaire et de renseignement (Mossad et autres) avaient-ils connaissance de l’attaque du Hamas qui a fait d’innombrables victimes israéliennes et palestiniennes ?
Un plan soigneusement formulé pour mener une guerre totale contre les Palestiniens a-t-il été envisagé avant le lancement par le Hamas de l’opération «Tempête Al-Aqsa» ? Il ne s’agit pas d’un échec des services de renseignement israéliens, comme le prétendent les médias. Bien au contraire.
Les preuves et les témoignages suggèrent que le gouvernement Netanyahou avait connaissance des actions du Hamas qui ont entraîné la mort de centaines d’Israéliens et de Palestiniens. Et «ils ont laissé faire».
Il ne s’agit pas d’une «attaque surprise».
« J’ai servi dans les forces de défense israéliennes il y a 25 ans, dans les services de renseignement. Il est impossible qu’Israël n’ait pas su ce qui se préparait. Un chat qui se déplace le long de la clôture déclenche le déploiement de toutes les forces. Et ça ?
Qu’est-il arrivé à «l’armée la plus puissante du monde» ?Comment se fait-il que les frontières soient restées ouvertes ? Il y a quelque chose de très mal ici, quelque chose de très étrange, cette chaîne d’événements est très inhabituelle et n’est pas typique du système de défense israélien.
Pour moi, cette attaque surprise ressemble à une opération planifiée. Sur tous les fronts. Si j’étais une théoricienne du complot, je dirais que cela ressemble au travail de l’État profond. J’ai l’impression que les peuples d’Israël et de Palestine ont été vendus, une fois de plus, aux puissances supérieures. »
Du point de vue du Droit international, les Palestiniens ont le droit et le devoir de résister à l’occupation israélienne, comme les Israéliens ont le droit et le devoir de répondre à l’attaque qu’ils subissent. Il est de la responsabilité de chacun d’aider à résoudre les injustices dont les deux groupes sont victimes, ce qui ne signifie pas soutenir la vengeance cruelle de certains d’entre eux.
Par ailleurs, le soutien que l’on peut apporter aux peuples palestinien et israélien ne doit pas conduire à amnistier leurs dirigeants respectifs pour les crimes qu’ils ont commis, ni les grandes puissances qui les ont manipulés.
Le Proche-Orient est un univers instable dans lequel de nombreux groupes s’affrontent pour survivre. Par simplification, nous considérons en Occident que sa population se compose de juifs, de chrétiens et de musulmans, mais la réalité est beaucoup plus complexe. Chaque religion se compose elle même d’une multitude de confessions. Par exemple, en Europe et au Maghreb, nous sommes conscients que les chrétiens se divisent en Église catholique, Église orthodoxes et Églises protestantes, mais au Moyen-Orient, il y a des dizaines et des dizaines d’Églises différentes. Le même constat est vrai au sein des religions juive et musulmane.
Chaque fois qu’une pièce est modifiée sur l’échiquier, l’ensemble des autres groupes doivent se repositionner. C’est pourquoi les alliés d’un jour, seront peut-être les ennemis de demain, tandis que les ennemis d’aujourd’hui étaient nos alliés hier. Au fil des siècles, chacun est devenu à la fois victime et bourreau. Les étrangers qui se rendent au Proche-Orient se reconnaissent a priori dans les personnes ayant la même culture qu’eux, la même confession, cependant ils en ignorent l’histoire et ne sont pas prêts à l’assumer.
Si nous voulons promouvoir la paix, nous ne devons pas écouter uniquement ceux dont nous nous sentons proches. Nous devons admettre que la paix suppose de résoudre non seulement les injustices dont souffrent nos amis, mais aussi celles dont souffrent nos ennemis. Or, ce n’est pas ce que nous faisons spontanément. Ainsi, dans les mois précédents, en France, nous avons entendu exclusivement le point de vue de certains Ukrainiens face aux Russes, de certains Arméniens face aux Azéris et désormais de certains Israéliens face aux Palestiniens.
Enfin, parmi les multiples sources auxquelles nous pouvons nous référer, nous devons distinguer celles qui défendent leurs intérêts matériels immédiats, celles qui défendent leur patrie, et celles qui défendent des principes. Or, les choses sont compliquées par des groupes, non pas religieux, mais théocratiques. Ces derniers ne défendent aucun principe supérieur, mais utilisent un langage religieux pour vaincre.
Ces préliminaires étant posés, venons-en aux faits...
«Le gouvernement fasciste de Netanyahou porte l’entière responsabilité de la dangereuse escalade». (Parti communiste d’Israël et Hadash)
Dans une déclaration concernant l’escalade rapide de la confrontation militaire entre le Hamas et les forces israéliennes survenue aujourd’hui, le Parti communiste d’Israël (MAKI) et le Hadash blâment la politique d’occupation criminelle du gouvernement d’extrême droite de Netanyahou, soulignant les graves dangers qu’elle pose pour la paix dans la région.
«Les crimes du gouvernement de droite fasciste visant à perpétuer l’occupation conduisent à une guerre régionale qui doit être stoppée».
Cette position du Parti communiste d’Israël et Hadash devrait être celle de tous les partis communistes et nul ne peut ignorer les faits et leurs conséquences prévisibles. Parce que si l’on veut la paix on ne peut pas ignorer qui est à l’origine de la guerre.
Le Premier ministre israélien dit «nous sommes en guerre» après les attaques du Hamas par «terre, air et mer». Il précise : il ne s’agit pas simplement d’une opération, c’est une guerre et ce criminel qui a tout fait pour en arriver là à l’instar des autres impérialistes veut profiter de l’occasion pour éradiquer définitivement le peuple palestinien quitte à détruire son propre peuple le peuple israélien qu’il n’a cessé de limiter au seul peuple juif. La démocratie pour les juifs, la prison pour les autres. C’est Netanyahou qui après Begin en est le fleuron, celui qui a porté jusqu’à l’incandescence la haine comme seule identité juive et il a eu des soutiens de plus en plus larges, de plus en plus irresponsables qui se sont présentés comme les seuls défenseurs des juifs. Cette corruption identitaire s’est cru tout permis dans le contexte du pseudo triomphe du capitalisme et de son bras armé, l’impérialisme occidental, avec les USA et l’OTAN.
Aujourd’hui alors que nous assistons à un basculement historique avec la fin de la militarisation du dollar ces explosions se multiplient sur toute la planète.
C’est un scénario qui se répète partout non seulement en Amérique latine, en Afrique, en Asie, au Moyen Orient, mais hier dans le Caucase avec la malheureuse Arménie et bien sûr avec l’Ukraine. Ceux qui ont partout encouragé ces brasiers ce sont les États-Unis et les «alliés». Qui ignore qu’ils ont fait d’Israël un état de l’impérialisme etasunien, celui-ci ne tient désormais que par la seule volonté des États-Unis et il a été insufflé au peuple juif tout ce qui avait causé sa perte depuis des millénaires, le racisme et les pogromes comme seule réponse à la revendication légitime du peuple palestinien.
Alors que la résistance palestinienne affronte ce gouvernement criminel d’extrême-droite, il est essentiel que les internationalistes du monde entier s’expriment, se mobilisent et agissent pour dénoncer les États-Unis, y compris les États de l’UE, la Grande-Bretagne et toutes les puissances complices de ce qui se passe depuis tant d’années et qui a fait qu’en Israël l’extrême-droite se soit crue de plus en plus protégée. Comme partout dans le monde, les 3,8 milliards de dollars d’aide militaire américaine chaque année, la propagande impérialiste qui jour après jour se déverse dans notre presse et qui crée de fait les conditions de l’injustice, allant jusqu’à soutenir des régimes ouvertement nazis et corrompus comme ceux de Zelensky en Ukraine ou des tortionnaires en Amérique du sud, représente-t-elle réellement ce qui va vers la paix ? Alors qu’Israël et la Palestine aurait pu bénéficier de deux puissances comme la Chine et la Russie réellement éprise de paix, le régime de Netanayou a soutenu en sous-main toutes les manipulations bellicistes y compris dans le Caucase, en Afrique… Alors que de plus en plus nombreux sont les juifs qui refusent d’être enrôlés dans la guerre impérialiste ils doivent le faire à titre individuel et sans pouvoir dire que le peuple juif comme tous les peuples a besoin d’états, de nations qui ne soit pas ethnicisés, ni relevant d’une religion, mais de construire la nation dans la diversité des origines, comme un lieu d’égalité et de conquête de droits pour tous, et ça aurait été possible avec le socialisme, le vrai, celui qui crée la coopération et le développement.
Que vous le vouliez ou non les seuls systèmes aptes à imposer la paix est celui de nations ayant des États avec à leur tête des partis communistes avec un projet qui tend vers l’égalité, le développement, dans le respect mutuel des origines, ce qui a été réalisé en URSS, en Yougoslavie et qui ne peut pas exister dans le capitalisme, l’impérialisme. Tout ce qui est possible est un espace de négociation en lien avec le droit international et pas avec des blocus, des sanctions, des répressions fascistes.
Dans l’affrontement géopolitique entre l’impérialisme étasunien en crise profonde et un monde multipolaire, tout a été fait malgré la Chine et la Russie pour qu’Israël et les juifs de la planète se rangent dans le camp de la mort et de la guerre. D’autres peuples sont pris aujourd’hui dans cet affrontement qui nous mène à la guerre mondiale et à des exterminations de masse. Mais ils seront balayés comme des fétus de paille s’ils n’acceptent pas cet espace de négociation et de droit, d’égalité, de justice.
Il est clair que personne, aucun communiste, aucun progressiste ne peut souhaiter ce qui est en train de se passer ici, pas plus que personne ne peut souhaiter ce qui a été construit dans le Caucase, en Ukraine, en Syrie, mais le déplorer ce n’est pas se tromper d’adversaire et encourager à la poursuite du crime.
Les faits événementiels : le Hamas s’est emparé de plusieurs villages dans le sud d’Israël, et Tel-Aviv a mené des frappes aériennes sur Gaza, au moins 200 Israéliens et 230 Palestiniens tués. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré : «Nous sommes en guerre, ce n’est pas une opération». Ce criminel a au moins raison là-dessus il ne s’agit pas d’une action isolée des Palestiniens même si Gaza, cette prison à ciel ouvert, entretenue comme un prurit parait le lieu de l’explosion, celle de desperados n’ayant plus rien à perdre après le traitement des Palestiniens à la mosquée al-Aqsa. Gaza est l’une des zones les plus densément peuplées de la planète, avec 2 millions de personnes vivant sur 140 miles carrés. Israël restreint sévèrement la quantité de nourriture, de carburant et d’eau à laquelle la population de Gaza peut accéder, et les dirigeants corrompus des Palestiniens, loin de résoudre le problème l’aggravent.
Depuis l’affaire COVID les preuves s’accumulent ! Les injections dangereuses faisaient partie du plan de dépopulation mis en place par les satanistes, ainsi que Karl Schwab l’avoue dans son livre :
«LE GRAND RESET» !
Ce plan fut initié depuis longtemps ainsi que le mentionne Attali dans une interview avec un certain Salomon paru dans les années 70 :
«Les inutiles iront à l’abattoir», disait-il en conclusion !
Tout y est parfaitement décrit et ceux qui en ont été informés à l’époque ont compris ce que l’affaire Covid et leurs injections dangereuses et mortelles signifiaient.
En France depuis les trois derniers présidents, le pays se dégrade et notre pays est vendu à la découpe au profit des USA.
La dernière trahison aura été la vente d’Alstom !! Et il y en a d’autres. La liste serait trop longue !
Les USA mentors de notre classe politique européenne ont tout fait pour empêcher que l’UE ne se tourne vers l’Est ! Pour ce, il fallait détruire la Russie, la mettre en pièces détachées et l’annexer et ouvrir la voie vers la Chine.
Alors la guerre proxy en Ukraine fut initiée pour cette raison ! Ce n’est plus ignoré ! Hollande et Merkel l’ont avoué !
Ce qui me révolte est le comportement non seulement des médias mainstream manipulés aux ordres et leurs affidés qui vomissent à jet continue sur la Russie sans aucune honte, mais surtout le silence de nos politiques dans notre pays. (Exceptés les généraux de plateaux TV pauvres Gamelin pitoyables et sans honneur !)
Que ce soit l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel … Pas une voix ne s’élève !!! Ils sont tous le doigt sur la couture du pantalon et regarde sans broncher notre pays couler au fond des abysses.. Rien ne les émeut ! RIEN !
Et ils laissent ces imposteurs aux commandes continuer à soutenir l’Ukraine, totalement corrompue, sans aucun respect ou condescendance pour leurs morts qui ne sont pour eux que de la chair à canon.
Je ne commenterai pas ici leur folie transgenres, LGBT, pédophilie, adrénochrome, vente d’organes, changement climatique bidon, chemtrails nocifs, nourriture frelatée, G5, perte de liberté, immigration organisée, Éducation nationale en décadence, destruction de notre Constitution et de nos églises et Vatican sataniste.
La France pays des Droits de l’Homme a sombré dans le néant !
La France chrétienne est condamnée !
Mais nous tous «les complotistes» c’est à dire ceux qui ont le courage de dénoncer leurs immondes complots -souvent au prix de leur vie – nous voulons garder la foi et continuons à éveiller ceux qui ont encore la tête dans le sable.
À l’issue pacifique de la crise, plusieurs procédures de sauvegarde ou, comme nous les appelons aujourd’hui, des «garde-fous», ont été mises en place pour éviter que la compétition entre les États-Unis et l’Union soviétique pour le contrôle de la destinée humaine ne dégénère soudainement en une guerre chaude. Une «ligne rouge» téléphonique a été mise en place pour permettre aux chefs d’État de se contacter au cas où les actions de l’un ou l’autre camp seraient interprétées à tort comme une attaque nucléaire. Ce dispositif a fait l’objet d’une moquerie célèbre dans le film anti-guerre Dr Strangelove.
Décennie après décennie, au cours du siècle dernier, d’autres garanties procédurales sont apparues sous la forme de traités sur la limitation des armements, puis sur la réduction des arsenaux nucléaires, avec des inspections sur place, le tout dans l’intention de renforcer la confiance entre les deux parties hostiles et méfiantes.
Néanmoins, il est arrivé à plusieurs reprises que seul le sang-froid d’un officier ayant le pouvoir de lancer des missiles, qu’il soit russe ou américain, ait empêché que de fausses lectures radar sur l’activité des missiles de l’autre partie n’entraînent une frappe «préventive», en appliquant le principe «utilisez-les ou perdez-les» à l’égard de l’arsenal qu’il contrôlait. Le fait que nous ayons traversé le XXe siècle sans encombre peut être considéré comme une «chance insensée», comme on dit en anglais américain, ou comme un «miracle», comme le diraient les personnes qui ont foi en Dieu.
Dans ce contexte, je soutiens que ce qui s’est passé hier au Congrès américain est un acte d’intervention divine pour nous sauver de nous-mêmes. Le délai d’avertissement de trente minutes avant qu’un missile balistique intercontinental ne frappe ou le délai d’avertissement d’une heure avant qu’un bombardier nucléaire n’atteigne sa cible, comme dans le cas de Dr Strangelove, est un luxe qui n’existe plus. L’existence de missiles américains à portée intermédiaire dotés d’armes nucléaires aux frontières de la Russie et de missiles russes hypersoniques logés sur de petits navires de surface ou des sous-marins dans les eaux internationales au large des côtes des États-Unis signifie que le délai d’alerte a été réduit à cinq ou dix minutes, c’est-à-dire qu’il n’y a plus de tampon contre les fausses alertes et les lancements automatisés. Si les États-Unis devaient poursuivre leur politique d’escalade en Ukraine, avec l’aide et la complicité des Britanniques et des Allemands, qui viennent d’annoncer leur intention d’introduire des avions à réaction Typhoon ou des missiles TAURUS dans la guerre en Ukraine, nous n’aurions pratiquement aucune chance d’empêcher l’OTAN ou la Russie de passer aux armes nucléaires tactiques, puis stratégiques, ce qui signifierait la fin de la civilisation sur terre.
C’est là que survient l’intervention divine.
[...]
Il n’y aura plus de nuit montre des images que ne devraient pas être vues. «Ces images ne sont pas faites pour être regardées». Non, ces images sont faites pour être simplement, pour exister car elles doivent rendre compte de la substance d’une opération, d’un mouvement, d’un moment. Il n’y plus de frontière entre réel et fictionnel car l’image même incarne la vision propre de celui qui voit et de celui qui agit.
Nous voyons ce que voit le pilote de l’hélicoptère de combat dans lequel la caméra est embarquée. Elle suit les mouvements du pilote, elle filme ce qu’il regarde. Ou plutôt, elle est l’extension de l’œil du pilote, elle lui apporte ce qu’il n’a pas : la possibilité de voir à plusieurs kilomètres, la nyctalopie, la vision thermique. Mais au-delà même de la technicité — cette caméra enregistre, aide mais aussi astreint le pilote à un contrôle permanent — c’est le rapport à l’autre qui commande. Celui qui est regardé mais qui ne le sait pas. Le jour, à des centaines de mètres voire à des kilomètres de la cible, le pilote distingue le genre, les vêtements, les détails d’une voiture, ou encore à quoi un groupe d’enfants est en train de jouer. En Syrie, en Irak, en Afghanistan et en règle générale partout où l’armée d’une grande puissance militaire impose sa force, cette armée voit, presque divinement, les individus vivre. De jour comme de nuit : la nuit, ils sont aussi visibles que le jour, mais les hélicoptères, eux, ne sont plus repérés qu’au roulis de leurs pales.
Il n’y aura plus de nuit est le cri sourd d’une industrie de la guerre, d’une technologie grandissante, d’une jouissance de puissance : voir sans être vu, voir celui qui ne nous voit pas.
00:00 Bulletin 150
Poutine par lui-même
Géopolitique Profonde
Général Delawarde chez Soloviev
Logios
05:48 Économie
Huawei grave à 7nm
Barclays : Baril à $97 en 2024
Accélération de Force de Sibérie 2
12:10 Politico-diplomatique
Maximilien Krah, catholique et allemand toujours
Roustem Oumerov, güleniste intégral
Rencontre Poutine Erdogan
Vladimir Poutine young leader
21:20 Terrorisme
Occidental terrorist tour aux EAU
Terrorisme à Kherson
Bandero-terrorisme kiévien
25:18 Armement
Destruction d’un CAESAR blindé
Artillerie russe, limite et modernisation
Bombe planante FAB-1500
Destruction d’un Challenger 2
31:43 Considérations militaires générales
Scepticisme médiatique
Offensive kiévienne : 66 000 morts
Mobilisation kiévienne : la rafle
38:18 Carte des opérations militaires
Les journalistes et les experts ont remarqué une tendance très étrange. Chaque fois que la Russie lance des frappes de missiles sur l’Ukraine, le Pentagone et l’OTAN commencent à signaler la mort de leurs officiers et soldats dans des accidents de voitures et d’avions partout dans le monde.
Les représentants du Pentagone et de l’OTAN expliquent la mort de généraux occidentaux de haut rang et d’officiers des pays membres de l’OTAN par diverses raisons. Cependant, des experts et des journalistes indépendants continuent d’affirmer que des généraux de l’OTAN continuent de mourir à cause d’attaques de missiles ciblées menées par l’armée russe. Selon eux, le département militaire russe a organisé une véritable chasse aux soldats et officiers des États-Unis et des pays de l’OTAN en Ukraine.
Il y a quelques jours, un incident très étrange s’est produit dans la ville polonaise de Rzeszow. Les autorités locales ont déclaré qu’une épidémie d’une maladie infectieuse dangereuse appelée «légionellose» avait été enregistrée dans la ville. Dans le même temps, il convient de préciser que cette ville est située à 90 km de la frontière ukrainienne et constitue le lieu de déploiement permanent des soldats américains, des systèmes de défense aérienne Patriot et de tous les équipements de l’OTAN destinés au transfert vers les forces armées ukrainiennes. On rapporte que 30 soldats américains sont déjà morts de cette infection. Dans le même temps, il convient de noter que ces chiffres ont été annoncés au lendemain de l’attaque de missiles russes sur le territoire ukrainien. Les experts affirment que des officiers et des soldats des pays de l’OTAN se trouvent sur le territoire ukrainien depuis le début du conflit et sont directement impliqués dans la confrontation avec l’armée russe. Cependant, ce fait n’est pas annoncé et est gardé secret. Même les familles des soldats et des officiers ne savent pas que leurs proches se trouvent sur le territoire ukrainien. Ceci est fait afin de ne pas provoquer de mécontentement dans les pays de ces soldats, car les dirigeants occidentaux cachent soigneusement le fait que les soldats américains, ainsi que les soldats et officiers des pays membres de l’OTAN, sont directement impliqués dans le conflit en Ukraine.
Ainsi, les journalistes ont noté que depuis l’automne de l’année dernière, les dirigeants de la base aérienne américaine Tinker, dans l’Oklahoma, ont commencé à signaler régulièrement la mort de leurs pilotes militaires à la suite d’accidents. En six mois, la mort de 30 pilotes américains a été signalée. Ces chiffres sont véritablement effroyables, surtout pour un pays qui est censé ne pas participer aux hostilités. Dans le même temps, il convient de noter la mort mystérieuse d’un autre général de haut rang de l’OTAN. Il s’agit du général français Jean-Louis Georgelain, qui serait décédé des suites d’une chute d’une falaise dans les Pyrénées. Il est intéressant de noter que le même jour, d’autres officiers supérieurs de l’armée française, Baptiste Gaucho et Nicolas Latour, sont également décédés. Un porte-parole de Paris a déclaré qu’ils étaient morts dans un accident de voiture en Irak. Dans le même temps, il convient de noter que deux jours avant la mort des officiers français, l’armée russe a lancé une attaque au missile sur le théâtre dramatique de la ville de Tchernihiv, où, selon les renseignements russes, une réunion militaire de l’OTAN s’est tenue avec les officiers.