Dès 1956, le Time Magazine avait consacré une publication à la science alors déjà fort prometteuse du « biocontrôle » :
« Une horreur bien connue des amateurs de science-fiction, c’est l’esclave dont les pensées et les actions sont régies par un gadget électronique greffé dans son cerveau. Il pourrait y avoir une part de vérité dans cette fiction affirme l’ingénieur électricien Curtiss R. Schafer, qui conçoit et développe des instruments électroniques pour la Norden-Ketay Corp. de New York. L’électronique, pense-t-il, pourrait épargner beaucoup de travail aux endoctrineurs et aux contrôleurs de la pensée du futur. […]
Le biocontrôle est la nouvelle science du contrôle des processus mentaux, réactions émotionnelles et perceptions sensorielles par des signaux bioélectriques. […] Déjà, grâce au biocontrôle, les scientifiques ont changé le sens de l’équilibre des gens. Et ils ont fait en sorte que des animaux avec le ventre plein aient faim – ou qu’ils aient peur quand ils n’ont rien à craindre. »
« Les neurotechnologies nous permettent de mieux influer sur la conscience et les pensées. Ceci inclut un décodage affiné de ce que l’on pense grâce à de nouveaux produits chimiques et des interventions qui peuvent influencer nos cerveaux pour y corriger les erreurs ou en améliorer le fonctionnement. […] Des technologies spécialisées telles que les microélectrodes modernes sont capables d’enregistrer l’activité d’un neurone individuel – ou de l’activer, quand on en a besoin. […] Pouvoir « lire et écrire dans » le cerveau va créer de nouvelles industries et de nouveaux systèmes de création de valeur… »
Michel Dogna : infolettre
J’ai déjà largement parlé de ce précieux acide aminé concernant la production de glutathion tellement indispensable pour détruire l’oxyde de graphène vaccinal puisqu’ elle en est le précurseur donc le fabricant. Vu qu’elle pénètre facilement au sein des cellules, elle y est omniprésente et doit normalement se maintenir à un taux suffisant pour pouvoir affronter toutes pathogénies toxiques, bactériennes, virales, ou de peroxydation.
L’on pourrait s’étonner que le complexe médico pharmaceutique mondial ne parle guère voire pas du tout de ce couple NAC / L Glutathion en dépit de sa discrète efficacité contre la plupart des agressions extérieures en tant qu’antioxydant majeur …sauf si l’on réalise que le L glutathion est l’ennemi n° 1 du plan actuel de graphénisation généralisée des populations. Je ne vais pas revenir ici sur les désastres vasculaires entre autres dus au graphène et que vous pouvez retrouver en détail sur mon site dans ARCHIVES.
De plus, en augmentant les niveaux de L Glutathion, la NAC, permet la chasse aux radicaux libres pathogènes responsables de nombreuses maladies infectieuses chroniques.
En multi-diffusion sur TV-ADP, JSF, Gutch TV sur Twitch, VK, Odysee, Rumble et Crowdbunker.
En cas de censure sur YouTube et Facebook qui interdisent encore les contenus sur les effets indésirables des injections expérimentales, vous retrouverez une copie de l'emission.
Jacques Bauer est un pharmacien installé en suisse qui a analysé les produits injectables Pfizer, Moderna, Astrazeneca et de nombreux vaccins, ainsi que le sang des injectés. A ce jour, il a collecté une base de données de 1000 échantillons.
Il a participé aux documentaires censurés Hold-On et Hold-Out, les suites de Hold-UP.
Les images sont authentiques, les produits sont authentiques et ont été manipulés avec précaution pour éviter les contaminations.
Pfizer et Moderna ont refusé de répondre à Pierre Barnerias. Il a ensuite eu des problèmes avec son entreprise de production de cinéma. Des membres d'Agora TV qui sont témoins des observation ont reçu des menaces et la police ne nous protège pas.
Extrait AGORA-TV
Après l’alerte initiale des espagnols de la Quinta Columna c’est enfin un labo anglais qui confirme la présence non déclarée de graphène dans les « toxins ».
Presque en fin d’article lien d’une une revue indépendante qui démontre la toxicité du graphène.
Les vaccins Covid-19 ont fait l’objet d’un examen médico-légal au Royaume-Uni et un rapport de laboratoire confirme qu’ils contiennent des nanomatériaux de graphène, qui peuvent pénétrer les barrières naturelles de l’organisme et endommager le système nerveux central, et de l’oxyde de graphène qui peut endommager les organes internes, endomager le sang, déclencher un cancer et provoquer des mutations génétiques, parmi nombre d’autres effets délétères.
Une analyse plus approfondie du Dr Phillipe van Welbergen conclue que le graphène se transmet des vaccinés aux non vaccinés, pouvant détruire les globules rouges et provoquer des caillots sanguins.
Le Dr Philippe montre que des Non-Vaxxinés sont contaminés par le graphène, et il attribue cette contamination par la proximité des Vaxxinés qui émettent du graphène, mais il y a d’autres sources de graphène comme dans les masques chirurgicaux, les tests PCR, les Gels hydroalcooliques… ou même les chemtrail qui apportent du graphène !
Dans sa dernière série de lames d’échantillons de sang prélevés à la fois sur des personnes « vaccinées » et non vaccinées, le Dr Philippe van Welbergen a démontré que le graphène injecté aux personnes s’organise et se développe en fibres et structures plus grandes, acquérant des propriétés magnétiques ou une charge électrique et les fibres montrent des indications de structures plus complexes avec des stries.
Il a également démontré que des « éclats » de graphène sont transmis de personnes « vaccinées » à des personnes non vaccinées ou non vaccinées, détruisant leurs globules rouges et provoquant des caillots sanguins chez les personnes non vaccinées.
Voici l'article initial, ou il réfute ladite hypothèse ainsi qu'un autre intitulé « Parades à l'empoisonnement ».
Certains masques ne présenteraient pas leur composition et ceux contenant du graphène pourraient être extrêmement nocifs pour la santé.
« Les chercheurs ont étudié les impacts négatifs potentiels de l'inhalation de graphène microscopique sur les mammifères. Dans une expérience de 2016, des souris avec du graphène placé dans leurs poumons ont subi des lésions localisées du tissu pulmonaire, une inflammation, la formation de granulomes (où le corps essaie de murer le graphène) et des lésions pulmonaires persistantes, similaires à ce qui se produit lorsque les humains inhalent de l'amiante. Une étude différente de 2013 a révélé que lorsque des cellules humaines étaient liées au graphène, les cellules étaient endommagées. »