Le G20 va imposer les passeports vaccinaux pour les voyages internationaux (Zerohedge.com) : le ministre indonésien de la santé, Budi Gunadi Sadikin (sic) a appelé à la création d’un certificat de santé numérique utilisant les normes de l’OMS Bill Gates. Les crétins ou agents qui nous font le coup de la Liberté qui vient des Brics et de broc se moquent du monde : le Brésil de Lula est vendu aux labos et au vaccin, la Chine contrôle comme une folle sa population malade et affamée, la Russie devient un régime autoritaire empêtré dans une guerre orwellienne (je sais, c’est le Katechon…) et l’Inde de Modi a liquidé le cash grâce à Amazon et Microsoft.
Les gouvernements sont OK pour numériser et déstocker leur troupeau. La polémique sur les huit milliards d’hommes enfle et va accélérer notre dépeuplement (dixit météo espagnole). Toute contestation sera jugée terroriste : cf. la ministre folle de Nouvelle-Zélande.
« Tant que tous, bourgeois et ouvriers, s’amasseront devant leur téléviseur pour se laisser humilier de cette façon, il ne nous restera que l’impuissance du désespoir. »
00:00 Ouverture du canal Telegram "Stratpol exclusif"
02:10 Vers la fin des sanctions ?
07:36 Réunion du G20
08:20 Kalibrage massif
11:12 Négociations russo-américaines ?
15:40 Prise de Kherson selon le colonel Mac Gregor
17:52 L'armée kiévienne : impuissance et représailles
23:15 Carte des opérations militaires
La séance photo montrait le secrétaire d’État américain Antony Blinken flanquant Baerbock à la table principale avec la sous-secrétaire d’État Victoria Nuland – mieux connue comme la maîtresse de cérémonie lors du coup d’État « Maïdan » de 2014 à Kiev – regardant par derrière.
L’Allemagne rattrape son retard sur le photojournalisme. Sérieusement, la photo n’aurait pas pu figer de manière plus significative pour le public mondial le double visage de la diplomatie allemande alors que la coalition de l’actuel gouvernement tire dans des directions différentes.
Essentiellement, Baerbock a souligné son mécontentement face à la visite de Scholz en Chine en rassemblant autour d’elle les homologues du G7 partageant les mêmes idées. Même selon les normes de la politique de coalition, c’est un geste excessif. Lorsque le plus haut dirigeant d’un pays est en visite à l’étranger, une démonstration de dissonance sape la diplomatie.
De même, les homologues du G7 de Baerbock ont choisi de ne pas attendre le retour de Scholz. Apparemment, ils ont l’esprit fermé et la nouvelle des discbaerbussions de Scholz à Pékin n’y changera rien.
Les activités du corps expéditionnaire américain, qui est resté dans le pays pendant 18 mois, ont depuis longtemps disparu des livres d’histoire aux États-Unis, mais les Russes considèrent toujours cet incident comme un nouvel exemple de l’intervention incessante des États-Unis dans les affaires de leurs voisins. Le fait est que les élites de Washington se sont toujours mêlées des affaires de la Russie malgré les fortes objections de Moscou. En fait, un grand nombre d’élites occidentales pensent non seulement que la Russie devrait être divisée en unités géographiques plus petites, mais aussi que le peuple russe devrait se réjouir d’une telle issue. Les dirigeants occidentaux de l’anglosphère sont tellement consumés par leur orgueil démesuré et leur sentiment aveugle d’être dans leur bon droit qu’ils croient sincèrement que les Russes ordinaires aimeraient voir leur pays divisé en petits États qui resteraient ouverts à l’exploitation vorace des géants pétroliers occidentaux, des sociétés minières et, bien sûr, du Pentagone. Voici comment le cerveau géopolitique de Washington, Zbigniew Brzezinski, résume la situation dans un article de Foreign Affairs.
« L’objectif de l’Occident est d’affaiblir, de diviser et finalement de détruire notre nation. Ils déclarent ouvertement que, puisqu’ils ont réussi à briser l’Union soviétique en 1991, il est maintenant temps de diviser la Russie en de nombreuses régions distinctes qui se disputeront les unes les autres. »
La dette et les usuriers des fonds de pension comme Fink, c’est elle ; le transhumain et le Reset c’est elle et ses milliardaires ; le virus et les vaccins c’est elle (Bourla veut dire « plaisanterie », burla, en espagnol) ; la russophobie et l’extermination nucléaire en Europe, ce sera aussi elle (elle est sûre que jamais la Russie complexée ne s’en prendra à elle directement) ; les nouvelles chasses aux sorcières et le nouveau puritanisme moral, c’est elle ; les privatisations et la déglingue à la Dick, c’est toujours elle. Elle va nous exterminer et nous l’en remercions, et nous la divinisons. Elle fait penser au serpent biblique : elle amène la connaissance, une connaissance vide et creuse, et nous perdons tout au passage. Mais nous sommes contents. Comme le serpent du Livre de Jungle, elle nous hypnotise avant de nous bouffer l’Amérique.
« Quoi qu’il arrive, et quoi qu’on pense de l’arrogance du dollar ou des multinationales, c’est cette culture qui fascine mondialement ceux mêmes qui ont à en souffrir, et ce de par cette conviction intime et délirante d’avoir matérialisé tous leurs rêves. »
Elle devient la plaque-tournante des actions secrètes de l’Otan qui agit, en définitive, contre elle. Le conflit actuel est particulièrement opaque lorsque l’on ignore les liens entre les straussiens US, les sionistes révisionnistes et les nationalistes intégraux ukrainiens.
La guerre en Ukraine agit comme un leurre. Nous ne voyons qu’elle et avons oublié le conflit majeur dans laquelle elle se situe. Du coup, nous ne comprenons pas ce qui se passe sur le champ de bataille, ni ne percevons correctement la manière dont le monde se réorganise et particulièrement la manière dont le continent européen évolue.
En effet, les trois voies d’approvisionnement en gaz des Européens de l’Ouest viennent d’être coupées simultanément, tandis que, toujours concomitamment, un nouveau gazoduc vient d’être inauguré à destination de la Pologne.
De même que Mikhaïl Gorbatchev avait vu dans la catastrophe de Tchernobyl la dislocation inévitable de l’URSS, de même nous pensons que le sabotage des gazoducs Nord Stream marque le début de la chute économique de l’Union européenne.
Que dira Vladimir Poutine ? 80% des citoyens russes souhaitent que l’opération militaire se poursuive dans toute l’Ukraine pour éliminer une bonne fois pour toutes la menace de l’OTAN, à la manœuvre en Ukraine. N’oublions pas que la mobilisation d’une partie des réservistes en Russie vise à conserver la plus grande partie de nos forces pour un éventuel conflit contre l’OTAN (état des forces russes dans l’article ici).
L’OTAN justement continue d’amasser des forces dans les Pays Baltes et en Pologne. Par ailleurs les attentats contre le gazoduc Nord Stream montre qu’elle a l’intention d’en découdre.