Pour rappel, en 2020, L214 a saisi le tribunal administratif de Paris qui, par un jugement du 1er février 2022, a constaté l’illégalité des missions confiées à la cellule Déméter qui ne relevaient pas de délinquance ou de criminalité organisée.
La juridiction a également enjoint à l’État « de faire cesser les activités de la cellule nationale de suivi des atteintes au monde agricole qui visent à la prévention et au suivi d’“actions de nature idéologique” […] dans un délai de deux mois » sous peine de 10 000 € d’astreinte par jour de retard.
L’État a partiellement fait appel de cette décision. En effet, il n’a relevé appel que concernant les activités de suivi d’“actions de nature idéologique”. L’État n’a en revanche pas contesté l’annulation des activités de cette cellule tenant à la prévention des “actions de nature idéologiques”, reconnaissant ainsi clairement l’illégalité de cette activité.
Les distributeurs autorisés à vendre le carburant « à perte » pendant « quelques mois », d’après l’annonce Elisabeth Borne.
Vendre à perte c’est interdit sauf quand ça arrange le gouvernement !
« Dans une interview au Parisien datée du samedi 16 septembre, la Première ministre annonce « qu’à titre exceptionnel (…) et sur une période limitée de quelques mois », les enseignes de la grande distribution pourront vendre à perte le carburant, alors que la loi le leur interdit depuis 1963. L’objectif affiché est de « baisser davantage les prix ». « Avec cette mesure inédite, nous aurons des résultats tangibles pour les Français, sans subventionner le carburant. Le pouvoir d’achat, c’est notre combat », assure Elisabeth Borne. »
La cheffe du gouvernement a en revanche écarté toute idée de baisse des taxes à la pompe. « Chacun prend sa part. C’est normal de mettre à contribution les gros industriels. La responsabilité de l’État, c’est aussi de baisser son déficit et sa dette », justifie-t-elle. »
L’idée géniale du gouvernement ?
Faire la générosité avec l’argent des autres !!
N’en déplaise aux libéraux épris des mirages d’une communauté euro-atlantique, pour les États-Unis, entre le dictateur d’un pays du tiers-monde, le chef d’une milice extrémiste et un pays du Vieux Continent, il n’y a pas de différence substantielle. Les événements récents le prouvent. Avec le manque de marge de manœuvre garanti par les nécessités de la guerre froide, qui ont obligé les États-Unis à garantir la stabilité de l’Europe avec la carotte et le bâton, les pays du continent se sont retrouvés avec un maître de plus en plus encombrant derrière eux, inquiets d’un éventuel défi international représenté par l’euro, vite désamorcé, et surtout intéressés à éviter que, dans un monde qui désavoue formellement, ou renie, la politique des blocs, les États européens ne commencent à interagir avantageusement avec la Russie et la Chine.
Le cas de l’Allemagne est à cet égard emblématique. Du scandale Volkswagen à la destruction du Nord Stream, des sanctions anti-russes au soutien à la Pologne, les États-Unis ont sciemment ignoré les intérêts de leur soi-disant allié dans le double but d’éliminer un dangereux concurrent international et de renforcer le rideau de fer qu’ils voulaient à tout prix ériger aux frontières de l’Eurasie occidentale. Mission accomplie : l’Allemagne en récession et l’ennemi de ce qui aurait été un partenaire naturel, la Russie, ne représentent plus un danger. En même temps, on peut la piller sans craindre de porter atteinte à la dignité nationale. La flambée des prix de l’énergie et les milliards de dollars d’investissements attirés par l’Allemagne grâce à l’Inflation Reduction Act ont contribué à maintenir le système américain debout face à une criticité et une instabilité de plus en plus graves et manifestes.
Après avoir épuisé l’Allemagne, il faut nécessairement se tourner vers la France...
« Les États n’ont ni amis permanents ni ennemis permanents : ils n’ont que des intérêts stables »
C'est ahurissant, à peine croyable. L’État subventionne l’un des hommes les plus riches du monde qui vient d’être classé par Forbes 2e fortune mondiale en 2023 avec 231.9 milliards de dollars !
Bernard Arnault qui a, comme tous les multimilliardaires, mis en place son empire médiatique pour contrôler la propagande, reçoit des subventions provenant de l’argent public : 14 millions d’euros l’année dernière !!!
Ensuite, ce même multimilliardaire va faire un petit chèque de 10 millions d’euros aux Restos du Cœur pour faire croire que c’est un grand philanthrope, un homme comme nous autres, qui a le cœur sur la main.
Comment est-il possible de donner à un multimilliardaire – qui ne cesse de multiplier ces milliards – des subventions publiques ? Ça devrait être tout simplement interdit par la loi car c’est interdit par la raison. En d’autres termes, c’est tout simplement un pillage du Trésor public par une bourgeoisie décadente et totalement hors-sol.
L’État trouve le moyen de subventionner les plus riches tout en affirmant qu’il n’y a pas d’argent pour les plus pauvres qui n’ont rien à se mettre sous la dent.
Ils se consolent en accusant la Russie de sombres machinations. En réalité, ils récoltent uniquement les fruits de ce qu’ils ont semé depuis 12 ans. Cela n’a rien à voir avec ce que furent le colonialisme et la Françafrique. C’est exclusivement la conséquence de la mise à disposition de l’armée française à la stratégie états-unienne.
ace à la vague de changements de régimes en Afrique francophone, les médias français sont stupéfaits. Ils ne parviennent pas à expliquer le rejet de la France.
Les anciennes rengaines sur l’exploitation coloniale ne sont pas convaincantes. Par exemple, on note que Paris exploite l’uranium du Niger, non pas au prix du marché, mais à un autre ridiculement bas. Cependant, les putschistes n’ont jamais évoqué cet argument. Ils parlent de tout à fait autre chose. Les accusations de manipulation russe ne sont pas plus crédibles. D’abord parce que la Russie ne semble pas se tenir derrière les putschistes du Mali, de la Guinée, du Burkina-Faso, du Niger ou du Gabon, mais surtout parce que le mal est de loin antérieur à leur arrivée. La Russie n’est arrivée en Afrique qu’après sa victoire en Syrie, en 2016, alors que le problème date au moins de 2010, si ce n’est de 2001.
Comme toujours, ce qui rend la situation illisible, c’est d’oublier ses origines.
À partir des attentats du 11 septembre 2001, les États-unis ont assigné un rôle en Afrique à son vassal, la France. Il s’agissait d’y maintenir l’ordre ancien en attendant que l’AfriCom s’y installe et que le Pentagone puisse étendre au continent noir la destruction des institutions politiques à laquelle il procédait déjà dans le « Moyen-Orient élargi ». Progressivement, les politiques républicaines ont cédé le pas aux politiques tribales. D’un certain point de vue, c’était une émancipation de la pesante aide française, d’un autre, c’était un formidable retour en arrière.
En 2010, le président français, Nicolas Sarkozy, probablement sur les conseils de Washington, a pris l’initiative de trancher le conflit ivoirien. Alors que le pays était traversé par un conflit tribal, une opération conduite d’abord par la CEDEAO, puis par le Premier ministre kenyan cousin de Barack Obama, Raila Odinga, tente de négocier le départ du président ivoirien Laurent Gbagbo. Leur problème n’est pas le régime autoritaire de Gbagbo, mais le fait que, d’un agent soumis de la CIA, il se soit transformé en un défenseur de sa nation. Paris intervient militairement à l’issue de l’élection présidentielle pour arrêter Gbagbo —prétendument pour faire cesser un génocide— et lui substituer Alassane Ouattara, un ami de longue date de la classe dirigeante française. Par la suite, Laurent Gbagbo sera jugé par la Cour pénale internationale qui, après un procès interminable, reconnaîtra qu’il n’a jamais commis de génocide et que, de facto, la France n’était pas fondée à intervenir militairement.
La présente analyse a été effectuée par Marc Vanguard, qui produit chaque semaine des statistiques sur la France. Cette fois-ci c’est un bien triste constat de l’éducation nationale en berne qui est fait.
Ce qui suit est une série de messages postés sur X par Vanguard, vous pouvez lire les mêmes messages sur X et vous abonner à son compte
Crédit photo : Capture d’écran de la vidéo de l’émission “C dans l’Air” montrant un document relatif à la taxe foncière.
La taxe foncière connaît une augmentation significative dans plusieurs villes françaises, avec des hausses particulièrement marquées à Paris, Meudon et Grenoble. Cette taxe, devenue la principale source de financement pour les communes, prend une importance accrue depuis la suppression totale de la taxe d'habitation sur les résidences principales au début de l'année 2023. En effet, elle constitue désormais l'une des principales ressources budgétaires pour les communes et les intercommunalités.
En progression de 36,6% sur un an, le chômage des chefs d’entreprise a retrouvé son niveau d’avant crise sanitaire. Une enquête réalisée par l’association GSC et la société Altares pour l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs, tire le 28 août la sonnette d’alarme : le phénomène touche les Très Petites Entreprises mais aussi désormais les plus grandes structures.
"Il est plus que confirmé que des données de Pôle Emploi sont en vente sur le darknet. Un pirate très connu, spécialiste de vente de bases de données qu’il pirate ou achète, a mis en vente le 8 août une base de données de Pôle Emploi datée de 2022, de 10,2 millions d’usagers, qu’il vend 900 dollars", a déclaré à l'AFP, Damien Bancal du site Zataz.com.
L'expert en cybersécurité Clément Domingo, alias @_SaxX_ sur X (anciennement Twitter) signale également la vente de ces données pour 900 dollars sur un forum de pirates informatiques.
Mercredi 23 août, Pôle Emploi appelait les demandeurs d'emploi à la vigilance, suite à "un acte de cybermalveillance" que subissait la société Majorel. L'organisme public mettait en garde contre la possibilité que les noms et prénoms, statut actuel ou ancien de demandeur d'emploi, numéro de sécurité sociale soient mis en ligne, mais assurait que les adresses e-mail, numéros de téléphone, mots de passe et coordonnées bancaires n'étaient pas concernés, car Majorel "ne dispose pas de ces informations".
L’affaire du compteur Linky géré par Enedis refait surface avec un jugement sans précédent. La justice a ordonné le démantèlement du dispositif, une décision qui réjouit les opposants au compteur Linky. En effet, ce dernier est à l’origine de vives inquiétudes. Depuis des années, son installation a été vivement critiquée, certains consommateurs pointant du doigt des hausses significatives de leurs factures d’électricité. Malgré son efficacité à transmettre automatiquement les données de consommation, ce dispositif n’a pas convaincu tous les utilisateurs. Le problème majeur réside dans les ondes électromagnétiques qu’il émet. En effet, elles sont potentiellement néfastes pour la santé de nombreux individus. Et ceux qui souffrent d’électrohypersensibilité ne peuvent même pas avoir le compteur Linky chez eux.
Bien que l’Agence nationale de sécurité sanitaire ait publié en 2016 un rapport atténuant les risques, les doutes persistent. Certains signalent des symptômes tels que maux de tête, nausées, vertiges et douleurs musculaires. Le 10 juillet dernier, un verdict est tombé : une femme poursuivant Enedis a obtenu gain de cause. Ainsi, l’entreprise a l’obligation de le remplacer par un modèle non communicant. Cette décision pourrait inciter les autorités à approfondir l’examen des risques associés à ce dispositif. Une victoire pour les opposants, mais quel impact cela aura-t-il sur l’avenir du compteur Linky, reste à voir.
Aux naïfs qui se demanderont : « Mais alors, à quoi va servir le Digital Service Act ? », le think tank écosocialiste Institut Rousseau apporte un début de réponse : « A vous bâillonner, gueux, lorsque vous oserez blasphémer contre le climatisme ! »
Dans les années 1980, soudain, des députés et des sénateurs se sont découvert une vocation d’historien : ils ont passé des lois mémorielles, criminalisant la remise en cause du récit historiographique produit, après 1945, par les vainqueurs de la dernière guerre. Comme ces textes ne semblaient viser que quelques excentriques plus ou moins monomaniaques, consacrant leur existence à démontrer que, dans tel ou tel bâtiment de Pologne orientale, une vitre avait ou n’avait pas existé, nous n’avons, pour la plupart, pas accordé une grande attention à la manœuvre.
En réalité, la France et l’Occident, à peine débarrassés de leur vieille religion catholique (devenue minoritaire en France, en termes de pratique, dans le courant des années 1960), venait de basculer dans une nouvelle religiosité dite antifasciste, et de renier le legs démocratique des libertés civiques.
La guerre contre le cash n’est pas perdue d’avance.
La preuve avec la construction de cette nouvelle usine de billets qui verra le jour à Vic-le-Comte, dans le Puy-de-Dôme.
« La construction de cette usine, d’une valeur de 250 millions d’euros, qui avait été repoussée à plusieurs reprises par le passé, va finalement avoir lieu.
Lors d’un entretien téléphonique accordé à l’AFP, le directeur général des moyens de paiement de la banque, Erick Lacourrège, s’est félicité pour la construction à venir de la nouvelle usine de billets de la Banque de France. « La décision du Conseil général a été de valider le projet, en soi, c’est une très bonne nouvelle », a-t-il, en effet, déclaré.
Les travaux devraient être lancés dans un avenir proche. Une période de deux mois devrait désormais s’écouler avant le « démarrage en tant que tel de la construction de l’usine », selon le directeur général des moyens de paiement de la Banque de France.
La nouvelle usine du Puy-de-Dôme viendra en remplacement de l’usine actuelle de Chamalières, à côté de Clermont-Ferrand. Sa construction avait initialement été décidée l’été dernier.