Crédit photo : Capture d’écran de la vidéo de l’émission “C dans l’Air” montrant un document relatif à la taxe foncière.
La taxe foncière connaît une augmentation significative dans plusieurs villes françaises, avec des hausses particulièrement marquées à Paris, Meudon et Grenoble. Cette taxe, devenue la principale source de financement pour les communes, prend une importance accrue depuis la suppression totale de la taxe d'habitation sur les résidences principales au début de l'année 2023. En effet, elle constitue désormais l'une des principales ressources budgétaires pour les communes et les intercommunalités.
En progression de 36,6% sur un an, le chômage des chefs d’entreprise a retrouvé son niveau d’avant crise sanitaire. Une enquête réalisée par l’association GSC et la société Altares pour l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs, tire le 28 août la sonnette d’alarme : le phénomène touche les Très Petites Entreprises mais aussi désormais les plus grandes structures.
"Il est plus que confirmé que des données de Pôle Emploi sont en vente sur le darknet. Un pirate très connu, spécialiste de vente de bases de données qu’il pirate ou achète, a mis en vente le 8 août une base de données de Pôle Emploi datée de 2022, de 10,2 millions d’usagers, qu’il vend 900 dollars", a déclaré à l'AFP, Damien Bancal du site Zataz.com.
L'expert en cybersécurité Clément Domingo, alias @_SaxX_ sur X (anciennement Twitter) signale également la vente de ces données pour 900 dollars sur un forum de pirates informatiques.
Mercredi 23 août, Pôle Emploi appelait les demandeurs d'emploi à la vigilance, suite à "un acte de cybermalveillance" que subissait la société Majorel. L'organisme public mettait en garde contre la possibilité que les noms et prénoms, statut actuel ou ancien de demandeur d'emploi, numéro de sécurité sociale soient mis en ligne, mais assurait que les adresses e-mail, numéros de téléphone, mots de passe et coordonnées bancaires n'étaient pas concernés, car Majorel "ne dispose pas de ces informations".
L’affaire du compteur Linky géré par Enedis refait surface avec un jugement sans précédent. La justice a ordonné le démantèlement du dispositif, une décision qui réjouit les opposants au compteur Linky. En effet, ce dernier est à l’origine de vives inquiétudes. Depuis des années, son installation a été vivement critiquée, certains consommateurs pointant du doigt des hausses significatives de leurs factures d’électricité. Malgré son efficacité à transmettre automatiquement les données de consommation, ce dispositif n’a pas convaincu tous les utilisateurs. Le problème majeur réside dans les ondes électromagnétiques qu’il émet. En effet, elles sont potentiellement néfastes pour la santé de nombreux individus. Et ceux qui souffrent d’électrohypersensibilité ne peuvent même pas avoir le compteur Linky chez eux.
Bien que l’Agence nationale de sécurité sanitaire ait publié en 2016 un rapport atténuant les risques, les doutes persistent. Certains signalent des symptômes tels que maux de tête, nausées, vertiges et douleurs musculaires. Le 10 juillet dernier, un verdict est tombé : une femme poursuivant Enedis a obtenu gain de cause. Ainsi, l’entreprise a l’obligation de le remplacer par un modèle non communicant. Cette décision pourrait inciter les autorités à approfondir l’examen des risques associés à ce dispositif. Une victoire pour les opposants, mais quel impact cela aura-t-il sur l’avenir du compteur Linky, reste à voir.
Aux naïfs qui se demanderont : « Mais alors, à quoi va servir le Digital Service Act ? », le think tank écosocialiste Institut Rousseau apporte un début de réponse : « A vous bâillonner, gueux, lorsque vous oserez blasphémer contre le climatisme ! »
Dans les années 1980, soudain, des députés et des sénateurs se sont découvert une vocation d’historien : ils ont passé des lois mémorielles, criminalisant la remise en cause du récit historiographique produit, après 1945, par les vainqueurs de la dernière guerre. Comme ces textes ne semblaient viser que quelques excentriques plus ou moins monomaniaques, consacrant leur existence à démontrer que, dans tel ou tel bâtiment de Pologne orientale, une vitre avait ou n’avait pas existé, nous n’avons, pour la plupart, pas accordé une grande attention à la manœuvre.
En réalité, la France et l’Occident, à peine débarrassés de leur vieille religion catholique (devenue minoritaire en France, en termes de pratique, dans le courant des années 1960), venait de basculer dans une nouvelle religiosité dite antifasciste, et de renier le legs démocratique des libertés civiques.
La guerre contre le cash n’est pas perdue d’avance.
La preuve avec la construction de cette nouvelle usine de billets qui verra le jour à Vic-le-Comte, dans le Puy-de-Dôme.
« La construction de cette usine, d’une valeur de 250 millions d’euros, qui avait été repoussée à plusieurs reprises par le passé, va finalement avoir lieu.
Lors d’un entretien téléphonique accordé à l’AFP, le directeur général des moyens de paiement de la banque, Erick Lacourrège, s’est félicité pour la construction à venir de la nouvelle usine de billets de la Banque de France. « La décision du Conseil général a été de valider le projet, en soi, c’est une très bonne nouvelle », a-t-il, en effet, déclaré.
Les travaux devraient être lancés dans un avenir proche. Une période de deux mois devrait désormais s’écouler avant le « démarrage en tant que tel de la construction de l’usine », selon le directeur général des moyens de paiement de la Banque de France.
La nouvelle usine du Puy-de-Dôme viendra en remplacement de l’usine actuelle de Chamalières, à côté de Clermont-Ferrand. Sa construction avait initialement été décidée l’été dernier.
Dès la lecture du titre, on comprend l’orientation de ce travail et le procès exclusivement à charge que le CNOM a réalisé contre ces «soins non conventionnels». Même le terme de «non-conventionnel» est par lui-même péjoratif et manipulatoire.
Ainsi, l’acupuncture est une médecine parfaitement «conventionnelle» en Chine et l’homéopathie fait partie des thérapeutiques officiellement reconnues en Inde. On constate dès le départ que la réflexion du CNOM se veut purement franco-française et rejette par principe toutes les pratiques officielles d’autres pays.
Mais, c’est un autre débat et, si je me permets cet article au sujet du rapport du CNOM, c’est parce qu’avant tout j’ai été choqué de certaines conclusions et recommandations qui m’ont immédiatement fait penser au célèbre livre de Georges Orwell : «1984». Ce livre est un best-seller dans la plupart des pays du monde. Je l’ai même étudié pendant ma scolarité. C’est pour dire à quel point les pratiques et la société totalitaire qu’il dénonce sont sérieusement prises en compte par nos philosophes et beaucoup d’élites. Mais apparemment pas par les médecins du CNOM qui ont dû oublier de le lire ou bien qui ne l’ont pas compris.
Dans ce livre publié juste après la 2ème guerre mondiale, Orwell, contrairement aux idées reçues, ne fait pas la critique du nazisme ou du stalinisme. Il se réfère à la société qu’il connaît le mieux, la bien-pensante société anglaise d’après-guerre où il perçoit déjà les risques d’une pensée unique et de la manipulation des masses. C’est évidemment une œuvre de fiction dans laquelle l’auteur nous décrit à quoi pourrait ressembler un monde où toute pensée serait réellement l’expression de l’idéologie de la classe dominante. Il imagine que cela pourrait arriver en 1984 et beaucoup l’ont raillé, car en 1984, pas la moindre situation totalitaire dans les sociétés industrielles et démocratiques. Enfin en apparence !
La postface de l’édition publiée aux éditions Agone (celle qui propose la traduction la plus respectueuse du texte d’Orwell) nous dit : «Le véritable apport de ce roman d’anticipation est l’identification d’un type de société qui pourrait advenir si on laisse s’installer «l’esprit totalitaire». Une mentalité qui gagne plus facilement les classes sociales cultivées et les experts que les gens ordinaires».
Et c’est exactement ce que j’ai ressenti en lisant le rapport du CNOM. D’ailleurs, qui sont les membres de ce conseil national ? Des médecins comme moi qui ont fait les mêmes études et qui ne sont ni plus ni moins savants qu’un autre. Ils ont juste décidé un jour de se présenter aux élections pour faire partie du Conseil de l’Ordre des Médecins. Pourquoi ? Pour certains, c’est sans aucun doute par altruisme, par envie d’être utile à leurs confrères en organisant la profession de médecin. Pour d’autres, comme on le voit en politique, c’est parce qu’ils ont des convictions, voire des croyances et qu’ils veulent les mettre en application, pensant que cela fera progresser la médecine, quitte à imposer leur vision par des lois voire des contraintes et des procès à ceux qui osent ne pas penser de la même façon.
En écrivant ces lignes, je ne peux m’empêcher de penser au compagnonnage qui a permis de construire des cathédrales et bien d’autres merveilles de technologie comme le Pont Neuf à Paris. Autant d’exploits pour l’époque tout en se respectant les uns les autres. Pourquoi, parce que les compagnons étaient des hommes libres qui accueillaient toutes les religions, toutes les nationalités et avaient des principes dont un des principaux était : «ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse».
Autant de principes qui n’existent plus aujourd’hui au CNOM où la fraternité parait être un gros mot et la con-fraternité s’écrit en 2 mots tellement certains médecins sont vraiment pris pour des «cons» et jugés indignes de poursuivre leur activité de médecin uniquement parce qu’ils ne pensent pas exactement comme l’impose la DOXA que veut établir le CNOM.
Au total, depuis 2021, le tarif réglementé de l’électricité, dont dépendent quelque 23 millions de clients, aura augmenté de 31 %.
Cette hausse de 10 %, mécaniquement, va jouer sur l’inflation à la hausse.
Comme c’était prévisible, la politique française est toujours la même.
C’est un processus itératif. Une inflation plus forte plus longtemps mais moins forte que les pays ou elle a été la plus forte, puisque nous « étalons » les hausses.
Au final, il n’y aura pas de cadeau pour les Français sur les prix de l’énergie, et le gouvernement n’est arrivé à rien avec les Allemands qui refusent de revoir le marché de l’énergie en Europe et la fixation des règles de prix.
Du coup, nous avons l’électricité la moins chère d’Europe que nous devons payer au prix fort.
La porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que les manifestants en France utilisaient des armes que les alliés occidentaux du régime de Kiev fournissaient aux militants ukrainiens. Ces propos ont été rapportés par l’agence TASS.
Mme Zakharova affirme que les armes fournies par les alliés occidentaux, l’OTAN et la France elle-même pour soutenir «les nationalistes, les nazis et les fascistes en Ukraine n’arrivent pas seulement en boomerang sur leur territoire, mais frappent leur propre peuple», soulignant que les armes finissent entre les mains de ces mêmes manifestants français.
«Les armes fournies à Kiev finissent entre les mains de ces mêmes manifestants et sont utilisées contre la police en France»
Au lieu de détruire l’économie française et son industrie en mettant en place des restrictions dangereuses et inutiles sous prétexte de sauver le climat, il serait beaucoup plus intéressant d’investir quelques milliards dans la remise en état des réseaux de distribution d’eau afin de récupérer ce milliard de m3 d’eau potable qui disparaît chaque année dans les fuites. Cet argent d’ailleurs reviendrait à des salariés français en diminuant le chômage contrairement aux milliards d’euros donnés à Big Pharma qui finissent dans des paradis fiscaux pour des injections purulentes hasardeuses aux effets indésirables catastrophiques.
00:00:00 Intro
00:02:30 Présentation
00:06:40 Fait & Doc
00:11:35 Les risques du métier
00:13:23 La France vu de l’étranger
00:19:00 Le point de vue de Soral
00:22:53 Hanouna est complice de la destruction de la France ?
00:31:00 L’agenda de Macron
00:36:40 Macron et Hanouna
00:40:45 L’affaire Houellebecque
00:42:25 Macron futur Zelensky ?
00:43:30 Booba fait téchouva
00:46:30 La réponse du gouvernement face à Internet
00:47:58 JM Trogneux
00:52:00 L’affaire Mathieu Gallet
01:01:40 Comment Macron est-il arrivé au pouvoir ?
01:07:40 Brigitte et son frère
01:19:05 Comment contacter Fait & Doc
01:20:20 Le rôle de Brigitte
01:23:00 Le cas Borello
01:24:45 Le réveil des Français ?
01:30:00 : Conclusion
Pour sauver le climat, roulez en voiture électrique, mais pour sauver les finances publiques, payez une taxe aux kilomètres parcourus !!!
Car, oui, c’est un angle mort terrible pour l’Etat, pour notre Etat fort dispendieux pour lequel la voiture thermique est une manne financière extraordinaire. TVA à l’achat, taxe sur chaque litre de carburant, vignettes, PV, assurance obligatoire, contrôle technique, entretien, à toutes les étapes l’Etat encaisse, l’Etat empoche.
Alors la voiture électrique est une calamité fiscale pour l’Etat français.
38 milliards d’euros qui vont manquer à l’appel !