Dans la foulée, après avoir demandé le retour du calme en Guadeloupe, le gouvernement fait un pas vers les grévistes : les pompiers n’auront plus besoin d’être vaccinés, aucun ne sera suspendu, toutefois un test PCR gratuit est requis toutes les 72 heures. Pour les soignants qui ne veulent pas des injections à ARN messager, il sera proposé les dangereux vaccins AstraZeneca et Janssen.
Le rapport de forces a commencé lundi 15 novembre, comme annoncé lors de la conférence de presse au Palais de la mutualité de Pointe-à-Pitre. Les leaders syndicaux avaient prévenu par la voix de Maïté Hubert M’Toumo, secrétaire générale de l’UGTG : « Le président français a dit que les vaccins c’est la liberté, la liberté est donc conditionnée à un vaccin, un vaccin qui n’est pas maîtrisé, un vaccin qui génère de plus en plus d’effets secondaires graves. C’est ça la liberté ? C’est pas possible. Donc à partir de lundi, la guerre est déclarée ! »