« Quoi ?! Il y a des milliers de données stockées dans ce vieux bâtiment ?! » Ce chauffeur de bus marseillais n’en revient pas mais tous les jours, et ce depuis des années, il passe à côté d’une ancienne base allemande de sous-marins reconvertie en data center [1].
De l’extérieur, cet édifice de la Seconde guerre mondiale niché dans le port de Marseille ressemble à un immense hangar en béton marron. Nommé MRS3, il est le troisième centre de données implanté par la société Digital Realty France, à Marseille. La société en compte désormais quatre. Peu connue du grand public, cette activité ancrée dans la ville phocéenne la positionne pourtant à la septième place sur l’échelle mondiale des hubs numériques. Elle devrait même se hisser dans le top cinq d’ici l’an prochain.
Revenons aux faits : comme le montrent les graphiques ci-dessous, pendant la grave crise de 2008 le baril était monté jusqu’à 145 $ et pourtant le litre de sans plomb 95 était à 1,55 €. Aujourd’hui, ce même baril de pétrole brut est à 82 $ et pourtant le sans plomb 95 dépasse les 2 € le litre. En d’autres termes, avec un prix du baril 40 % moins cher, le litre d’essence coûte 0,50 € de plus !
Il faut vraiment être totalement décérébré, atteint d’une profonde dégénérescence irréversible pour accepter de payer aussi cher le litre d’essence sans se révolter et demander des comptes au gouvernement ainsi qu’aux distributeurs !
Comme vous le savez, il y a dans ce monde de taux variables dans lequel nous évoluons, un petit village qui résiste encore et toujours aux légions bancaires.
Entouré de camps retranchés de banquiers, le petit village gaulois résiste et continue à fonctionner avec des crédits à taux fixes.
Les taux fixes permettent d’éviter les vagues d’insolvabilité à chaque fois que les taux montent et finalement les crises financières car les banques se retrouvent inévitablement fragilisées par le nombre d’emprunteurs en faillite qui augmente dans ces cas là.
C’est exactement comme cela que les banques américaines ont très largement tangué lors de la crise des Subprimes entre 2007 et 2010 et que la Lehman Brothers s’est effondrée dans un immense fracas qui a résonné dans le monde entier.
Pourtant, pourtant…
Malgré les nombreux accidents, les décès, les mains et pieds arrachés, les yeux crevés… malgré la condamnation du Conseil d’État concernant l’utilisation illégale de la « nasse » par les forces de l’ordre parisiennes, rien n’a changé car Gérald Darmanin méprise l’État de droit. Ils sont en train de s’armer contre la population comme s’ils partaient en guerre contre un ennemi étranger avec des véhicules suréquipés d’armes de guerre ( la violence des forces de l’ordre est observable sur la vidéo ci-dessous.) Depuis quand les forces de l’ordre ont pour mission d’arracher une banderole de manifestation ? Vous pouvez le voir sur les images, plusieurs policiers aux comportements de voyous, indignes ! De telles dérives ne peuvent avoir lieu que si la hiérarchie le permet, c’est une évidence. L’utilisation de la nasse n’est rien d’autre qu’une manière artificielle préméditée de faire monter la tension car il n’y a aucune possibilité de s’extraire de la manifestation !
Une chose est certaine, le gouvernement est en train de s’équiper de manière militaire car il sait très bien que la population finira par exploser étant donné les nombreuses trahisons et la gestion catastrophique des affaires de l’État. Ils savent parfaitement que leurs jours sont comptés, ils ne peuvent, alors, que s’appuyer sur la violence policière.
Cette demande à l’encontre des deux enseignes de la grande distribution fait suite au constat que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche contraignait les clients à régler leurs courses à des caisses automatiques.
La Banque de France a rappelé aux groupes de grande distribution Carrefour et Casino leur obligation d’accepter les paiements en espèces dans l’ensemble de leurs magasins, a indiqué mercredi le directeur des activités fiduciaires Christophe Baud-Berthier. Un rappel qui intervient quand il a été constaté que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche obligeait les clients à se diriger vers des caisses automatiques ne permettant pas le paiement en pièces et billets.
Pourtant, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Pologne, l’Italie et l’Allemagne se sont déjà engagés sur la voie de la censure. Il y a désormais des choses à ne pas dire.
En France, la secrétaire d’Etat chargée de la citoyenneté, Sonia Backès, tente de discréditer les opinions non-conformes. Elle les assimile à des dérives sectaires. L’Etat, a-t-elle annoncé, organisera des "assises des dérives sectaires et du complotisme" (sic). En Union soviétique, on plaçait les opposants en hôpitaux psychiatriques.
La liberté d’expression était une caractéristique de l’Occident depuis le XVIII° siècle. Ce fut la base sur laquelle le régime politique porté par les classes moyennes fut construit : la démocratie. Le principe selon lequel, la volonté générale surgirait de l’affrontement des diverses opinions n’était plus contesté. Toute atteinte à cette liberté était vécue comme un coup porté à la résolution pacifique des conflits.
Selon une nouvelle mise à jour d'EDF, les perspectives de production d’énergie nucléaire ont été réduites avant l’hiver, ce qui a provoqué le chaos sur les marchés de l’énergie.
EDF est le plus grand propriétaire de centrales nucléaires au monde. Elle a indiqué vendredi que son parc de réacteurs nucléaires devrait produire entre 27.5 et 28.5 térawatt/heures d’énergie cette année, contre une fourchette prévue de 28.0 à 30.0 térawattheures.
Emmanuel Macron avait jugé que les très contrôlés YouTube, BFMTV, Facebook & Cie étaient largement suffisants pour informer les Français. Or, tandis que notre information est de plus en plus limitée à des communiqués officiels, des publicités pour Pfizer et des jeux débiles, entre-temps Elon Musk a rouvert des comptes supprimés sur Twitter et viré les dirigeants qui avaient supprimé le compte de Trump après sa défaite aux élections. Un air de liberté anti-démocrate — du nom d’un parti américain fort peu démocrate — qui ne plaît guère à la macronie déjà fragilisée par les révélations de Pfizer sur ses vaccins.
Panique des démocrates à la veille des élections de mi-mandat, obéissance stricte aux ordres de BlackRock (Larry Fink a été un des premiers chefs d’entreprise reçus à l’Élysée en 2017) ont fait prendre une décision ouvertement dictatoriale.
Un nouveau transfert de souveraineté vient d'avoir lieu en toute discrétion au profit de la Commission Européenne. Et il ne s'agit pas de n'importe quel transfert ! En l'espèce, le Conseil vient d'adopter deux nouveaux règlements (d'application directe, donc) qui permettront à la Commission Européenne de remplacer les Etats-membres dans les réponses aux pandémies. Concrètement, c'est donc Ursula von der Leyen, à l'avenir, qui décidera de mettre en place un passe vaccinal en France.
Touchant à la question environnementale et surtout sociale, elle pourrait bien devenir l’un des principaux enjeux des prochaines années. Tour d’horizon de ses composantes majeures.
L’hiver approchant, la question des passoires thermiques va inévitablement revenir sur le devant de la scène. Et pour cause, la France ne compte pas moins de 7,2 millions d’habitations peu ou pas isolées. Parmi elles, 5,2 millions constituent des résidences principales, soit 17 % du parc immobilier. Le reste représente des résidences secondaires (1,2 million) et des logements vacants (800 000).
Quant au bouclier tarifaire c’est une escroquerie et un vol en bande organisé
Alors certes il faut faire un bouclier, mais l’aimable Maire de Neuilly se trompe, involontairement sans doute, mais il se trompe tout de même.
Encore une fois, le MW d’électricité en France coûte 50 euros à produire. Il peut donc être vendu à 51 euros allez disons même 65 euros prix auquel le payait la Mairie de Neuilly et tout le monde gagnerait de l’argent. Mais au nom du mode de fixation des prix de vente de l’énergie décidé par Bruxelles et la grosse commission de Bruxelles il faut payer des milliers d’euros le MW.
Cela provoque ce que nos technocrates complètement tarés et malades appellent des surprofits !
Ainsi, dernièrement, on apprend que même occupé illégalement, votre logement doit être entretenu.
Eh oui m’ame Ginette, même lorsque votre bien est squatté, vous avez obligation de vous en assurer le bon entretien et tout faire pour éviter que l’occupant ne subisse aucun préjudice provoqué par un défaut de maintenance. C’est en tout cas ce qu’a récemment jugé la Cour de Cassation dans une affaire où l’occupant illégal d’un logement s’est blessé en tombant par la fenêtre dont le garde-corps avait cassé faute d’entretien.